Au cas où ils montraient leur identité, Simonet serait poussé à bout et les attaquerait. Si Emmanuel était blessé, ce serait un gros problème.Jean a souri légèrement et a dit : « Sois patient. Si tu les fais venir, Lucien se cahera bien, ce qui causera des ennuis pour t’occuper de l’affaire. Avançons pas à pas. Il ne sera jamais trop tard de le faire jusqu’à ce que Lucien sorte. »Clémont a hésité, après tout, la sécurité d’Emmanuel ne pouvait pas tolérer le moindre problème.Mais à ce moment-là, Emmanuel a dit : « Écoute Jean. S’ils veulent se battre, même s’ils viennent en grand nombre, ce sera vain. »Celui qui pouvait ramener Général Guillaume à la vie, ce celui que Général Guillaume prenait pour un cultivateur des dieux, s’il ne pouvait pas conquérir une bande de gangsters, alors cela ne servirait à rien.En entendant Emmanuel dire cela, Clémont s’est arrêté de parler.Cependant, lorsqu’il allait aux toilettes, il a quand même envoyé un message, demandant à l’escadron des agents
« J’ai entendu dire que tu était fort en combat ? »Le chauve Danis a fixé Jean dès qu’il est entré, ignorant les autres.Au même moment, de nombreux subordonnés de Danis ont bloqué la porte, et d’autres ont occupé le couloir et même tout l’hôtel.À ce moment-là, Clémont et Yveline étaient déjà un peu nerveux, après tout, leurs adversaires étaient beaucoup plus nombreux qu’eux.Cependant, Emmanuel et Farbie n’ont pas du tout paniqué, parce qu’ils savaient que Jean était très fort.Jean a souri légèrement et a dit : « Moyen, mais c’est suffisant pour m’occuper de vous, salauds. »« Vraiment ? »Danis a gloussé, et il s’est assis sur la chaise, puis il a dévissé l’accoudoir en acier inoxydable de la chaise à mains nues. Après l’avoir tordu dans les mains, il l’a jeté sur le sol avec fracas.Bien qu’il ne s’agisse que d’acier inoxydable, on pouvait voir qu’il était beaucoup plus fort que les gens ordinaires.Clémont et Yveline étaient tous les deux choqués, et Clémont a déjà tendu la main
Sur ce, Jean s’est retourné et est entré dans la pièce, laissant la porte ouverte, mais personne n’osait faire un pas en avant.Même Danis avait été arrêté, et ceux qui étaient tombés étaient les subordonnés les plus forts de Danis. Ils étaient venus pour avoir le nombre suffisant. Comment osaient-ils se manifester ?À ce moment-là, quelqu’un a couru précipitamment à l’arrière pour avertir Félicien qui était à l’extérieur.Quand Félicien l’a entendu, il a immédiatement eu peur. Après avoir réfléchi un certain moment, il savait que s’il ne le disait à Simonet, cette affaire ne serait pas résolue.Bien qu’ils étaient nombreux, s’il s’agissait de se battre, si Danis et ses subordonnés ne pouvaient pas le conquérir, alors ils n’auraient aucune chance dans le combat. Il était préférable de laisser Simonet résoudre le problème.Félicien a composé le numéro du téléphone de Simonet avec impuissance.À ce moment-là, Jean était tranquillement assis en face de Danis dans la suite. Il le regardait
Soudain, il a tristement éclaté de rire. Après avoir ouvert la fenêtre et il s’est jeté en bas sans prévenir.Sa femme est sortie de la cambre après avoir enfilé les sous-vêtements qu’elle avait reçus de quelqu’un d’autre. En voyant cette scène, elle a crié de peur et s’est effondrée sur le sol.Au même moment, après avoir lu le message de Félicien, Simonet s’est mis en colère dans sa villa.Tant de gens ne pouvaient même pas conquérir un voyou, et même Danis avait été retenu, c’était vraiment inacceptable.Fumant une cigarette, Simonet a dit méchamment : « Putain, ils se sont bien préparés avant de venir. Ils sont venus dans le comté B, même s’ils étaient des dragons, ils devraient s’enrouler; s’ils étaient des tigres, ils devraient se coucher au sol. »Après avoir juré, il a immédiatement sorti un pistolet standard du coffre-fort, puis il s’est précipité à l’hôtel avec une attitude féroce, ses gardes du corps l’ont suivi.Sur le chemin, Simonet a appelé Lucien à plusieurs reprises. I
Simonet a soudainement changé de mine, et il a mis sa main derrière lui en secret.Si c’était le cas, l’affaire de ce jour-là n’aurait pas une bonne fin.En voyant le petit geste de Simonet, Jean a montré un regard sombre.À ce moment-là, le téléphone de Simonet a sonné. En entendant la sonnerie spéciale, il savait que c’était Lucien.À priori, il n’avait de temps pour répondre au téléphone à ce moment-là, mais en pensant à la situation actuelle, il avait envie de le faire savoir à Lucien. Dans ce cas-là, il pourrait avoir une contre-mesure, au moins il pourrait se préparer.Il a lentement décroché le téléphone.« Allô. »« Simonet, quelque chose est arrivé. »La voix paniquée de la femme de Lucien s’est fait entendre au téléphone.Simonet a soudainement été choqué. Serait-il possible que Lucien ait également un problème ?« Qu’est-ce qui ne va pas ? » a-t-il demandé à la hâte.La femme de Lucien a dit en sanglot : « Lucien, il s’est soudainement jeté en bas par la fenêtre, il est mort
En un instant, Clémont n’arrivait pas à le comprendre, il a demandé : « Dégage le champ ? Quel champ ? »À ce moment-là, Emmanuel a toussé et a dit : « C’est la suite de notre chef, personne d’autre n’est autorisé à entrer. Emmène Danis et les autres dans d’autres pièces, quant à Simonet, dis qu’il a résisté à l’arrestation et s’est enfui avec une arme à feu, et qu’il est poursuivi. »En entendant cela, Clémont a immédiatement hoché la tête.Tout d’abord, on dirait que Simonet s’était enfui pour se soustraire à la justice, et le moment venu, il dirait comme ils voulaient, par exemple, il était mort après être tombé d’une falaise, ou il s’était disparu. C’était à eux de décider.À ce moment-là, les agents s’étaient déjà précipités à cet étage. En voyante cela, les subordonnés de Simonet s’étaient précipités de s’accroupir sur le sol. Se tenant la tête dans les mains, ils n’osaient pas bouger.Ils savaient bien qu’ils n’étaient pas coupables à mort, mais ils ne seraient pas si stupides d
Le magasin d’Yveline était un petit magasin dans le village. Ce n’était pas grande, mais il y avait des objets de la vie quotidienne, ainsi que du papier-monnaie et quelque chose comme ça.Elle a rapidement ouvert la porte, a pris deux bouteilles de vin, un tas de papier-monnaie, des bougies d’encens et d’autres choses, puis elle les a mis dans la voiture.Jean a dit : « Repose-toi d’abord, Farbie et moi allons faire quelque chose. Nous reviendrons vers toi demain. »Yveline a jeté un coup d’œil à Simonet inconsciente et a hoché la tête en silence. Elle savait qu’elle ne pourrait pas se mêler de ce qui se passerait plus tard.Jean et Farbie sont montés dans la voiture. Sous la direction de Farbie, ils sont arrivés devant la tombe de ses parents.Dans un cimetière au pied d’une montagne, Jean et Farbie sont descendus de la voiture et se sont rendus sur la tombe des parents de Farbie.Jean a aidé Farbie à allumer des bougies d’encens et du papier-monnaie, puis il s’est agenouillé devant
« Tu as encore Yveline, n’est-ce pas ? » a dit Jean en souriant.Ensuite, il a rajouté : « Sa famille a un magasin, et on peut dire que c’est sa profession. Prends cet endroit et embauche Yveline comme la directrice. N’est-ce pas bien d’être un patron qui n’a pas besoin de travailler ? »En entendant ces mots, Yveline a immédiatement agité la main et a dit : « Chef, je ne peux pas le faire. Je travaille dans le petit magasin de ma famille. Je n’arrive pas à être la directrice d’un supermarché. Au cas où je cause une grande perte d’argent, tu perdras beaucoup. »Jean a regardé tous les deux et a dit en souriant : « Pourquoi êtes-vous si peu confiants ? Cette affaire, c’est décidé. »« Ah ? »Tous deux se sont figés.À ce moment-là, Jean a sorti son téléphone pour composer le numéro indiqué sur l’annonce.« Allô. »«Quel est le prix de votre magasin ? »« Vingt-et-un millions d’euros, pas négociable. »« Venez immédiatement signer le contrat et prendre l’argent », a dit Jean d’un ton fer
Voyant que Méline était si surprise, sa deuxième tante Adeline Honneur a tapoté son épaule et a dit d’un air mécontent : « Pourquoi tu cries ? Quel âge as-tu déjà ? Tu n’as même pas de petit ami jusqu’à maintenant ! Celui que je te présente aujourd’hui, est un jeune entrepreneur de notre bourg, il a une usine alimentaire, et il a des dizaines de millions d’euros. N’est-il pas digne d’être ton époux ? »« Oui, Méline. » La mère de Méline, Mélisa Honneur, a également dit : « Il a une famille riche, il est beau, nous l’avons déjà tous vu. »Le père de Méline, François Morrice, avait l’air plus humble, il n’a rien dit.Mais comment Méline pouvait-elle être d’accord avec eux ? Elle a dit précipitamment : « Je n’ai pas encore envie de chercher un petit ami, Jean, arrête, je n’y vais plus. »Méline ne savait pas que ce repas était en effet une rencontre matrimoniale pour elle. Elle n’avait pas eu cette idée du tout. D’ailleurs, Jean était à ses côtés à ce moment-là, elle avait hâte d’avoir un
Quant à Jean, il ne voulait plus continuer sur ce sujet.Après tout, ils avaient déjà divorcé. Elle avait le droit de faire ce qu’elle voulait.Il a réconforté Stéphanie avec quelques mots. Il est parti après avoir demandé l’état d’avancement de la fusion de la Société Legrand Flottant avec le KP Fiance.De retour sur l’île de Mer, Jean s’est enfermé dans sa chambre pour méditerr pendant un jour et une nuit, jusqu’au lendemain matin quand Méline l’a appelé.« Et bien, Jean, tu as dit de retourner dans notre ville natale, est-ce que tu y vas toujours ? »La voix faible de Méline a retenti au téléphone.Jean a immédiatement dit : « Oui, où es-tu ? Attends-moi, j’arrive tout de suite. »Ensuite, Méline lui donné une adresse, et Jean est immédiatement parti pour s’y rendre.Quand il est arrivé sur le lieu, Méline l’attendait déjà sur le bord de la route.Ce jour-là, Méline portait une chemise blanche et un jean skinny, ce qui lui donnait l’allure d’une élite sur le lieu de travail.Jean a
« Non, non », a dit Méline en agitant la main.Après avoir réfléchi, Jean a pensé que ce n’était pas possible, parce que Méline était la directrice générale de cet immeuble commercial à ce moment-là, et Stéphanie la protègeait, qui osait lui faire du mal ?« Alors, qu’est-ce qui se passe ? » a demandé Jean. Il ne savait pas ce qui lui était arrivé.Voyant cela, Méline a jeté un coup d’œil à Jean, et les deux se sont retirés dans un coin éloigné.Méline a dit avec embarras : « Depuis que je suis devenue la directrice générale, il y a eu beaucoup de rumeurs dans le centre commercial, ce qui n’est pas très gentil, donc je suis un peu gênée de te voir. »Après avoir réfléchi un moment, Jean a enfin compris ce que Méline voulait dire.Globalement, il avait aidé Méline à devenir la directrice générale, et les rumeurs entre eux deux s’étaient répandues dans le centre commercial. Il se racontait que Méline avait dragué un homme riche, ce qui était normal sur le lieu de travail.Après avoir
Hélène s’est assise dans le bureau de la directrice. Pendant un moment, elle n’arrivait pas à croire que c’était vrai.Elle a caressé le grand bureau, un sourire s’étalant lentement sur son visage.Tout ce qu’elle avait fait en valait la peine.Mais quelques instants plus tard, elle s’est calmée et a commencé à analyser le tout attentivement.En fin de compte, son attention était sur la vidéo envoyée par Suzanne. Qui était l’homme qui l’avait codée.L’identité de cette personne n’était certainement pas simple. Même dans le KP Fiannce, il devrait être un directeur de haut niveau, parce que cet incident était arrivé à Emmanuel. Il pouvait être lié à Emmanuel. Pouvait-il être un homme ordinaire ?Après y avoir réfléchi, elle a immédiatement commencé un plan pour organiser une interview pour le KP Finance, et dont l’animateur devrait être Jeanne.Après avoir fait le plan, Hélène était très fière.Jeanne et elle étaient toutes les deux bénéficiaires de cette affaire, alors elle devait profi
« Ah non. » Jean n’a pas pu s’empêcher de laisser échapper un soupir. Quelque chose est arrivé ?« Entrez. »Julien est entrée.Jean a froncé les sourcils et a regardé Julien. Au bout d’un moment, il a dit : « Dois-je faire quelque chose tout de suite ? »« Selon les règles, veuillez vous rendre au bureau maintenant et définir votre mot de passe ». a dit Julien.Jean a soudainement poussé un soupir de soulagement et a dit : « Je me suis demandé ce qui se passait, vous m’avez fait peur. »Ensuite, Jean a demandé à Luna et aux autres de l’attendre, et il est allé au bureau avec Julien.À ce moment-là, les collègues sont partis après l’installation et l’ajustement des équipements. Seuls les deux sont restés dans la pièce.Julien a d’abord appris à Jean comment utiliser ces équipements, puis lui a demandé de définir divers mots de passe.Il devait définir les mots de passe pour se connecter aux satellites, les mots de passe de démarrage d’ordinateur, les mots de passe de niveau deux d’opér
À ce moment-là, les quatre collègues avaient déjà commencé l’installation des équipements.Tout d’abord, ils ont installé un radar circulaire sur le toit, puis divers instruments ont été déployés dans la chambre.« Qu’est-ce que c’est ? » a demandé Jean.Julien a répondu : « C’est un récepteur de signal satellite, le système d’accès au réseau T, un superordinateur pour le bureau de la Défense. »« Ah ! » a dit Jean, en montrant que c’était clair.Le récepteur de signal satellite, bien sûr que c’était pour se connecter au signal satellite. Cela était plus stable que la ligne dédiée.Jean connaissait également le réseau T qui s’agissait d’un projet de sécurité nationale, qui pouvait être connecté à toutes les caméras publiques du pays et on pouvait y regarder des vidéos à tout moment.Quant à ce superordinateur, Jean n’en savait pas grand-chose, pourtant il savait bien que c’était certainement un ordinateurs doté d’une super puissance de calcul et d’un fonctionnement extrêmement rapide.
Avec une valise dans la main droite et un bandage sur le bras gauche, cet homme-là se tenait debout comme une lance.En le voyant, Jean a demandé avec surprise : « Julien Ferrand ? »Il a rapidement traversé le pont couvert, s’approchant de Julien. Après avoir regardé son bras, Jean a demandé : « Pourquoi êtes-vous venu si vite ? »« Julien Ferrand, combattant de première classe du bureau de la Défense, à vos ordres, Monsieur Claudel », a dit Julien avec un salut militaire standard.Jean a regardé le véhicule derrière lui et a demandé en fronçant les sourcils : « Qu’est-ce que ça veut dire ? »« C’est les équipements de notre poste, et plusieurs collègues », a dit Julien.« Comment savez-vous que j’habite ici ? » a demandé Jean.Julien a répondu : « Notre chef a déjà donné un ordre aux départements concernés dans la province Q, donc je l’ai appris. »En entendant ces mots, Jean était impuissant.Ce devrait être Frédéric. Mais en même temps, il craignait que le pouvoir du bureau de la D
S’il était un proche de la famille Véran, il était fini ! Sa carrière serait foutue !Il s’est relevé malgré la douleur qui se faisait sentir partout et s’est mis à genoux devant Emmanuel et les autres, il a dit d’un air pitoyable : « Mesdames, messieurs, j’ai tort, j’ai tort, je n’aurais pas dû être aussi grossier, je vous présente mes excuses, pouvez-vous m’épargner ? Je vous prie la grâce ! »« Dégage ! Ne dérange pas notre dîner ! », a froidement dit Emmanuel.À ce moment-là, Guillaume a compris qu’il ne servait plus à rien de crier grâce, s’il restait toujours devant eux, il risquait d’avoir plus de conséquences que de perdre son emploi. Malgré la douleur physique, il s’est respectueusement penché sur Emmanuel et a présenté ses excuses, puis, il est parti d’un air angoissé avec ses amis.Cette scène choqué tout le monde dans le restaurant.Cette femme était une excellente combattante, et par quelques mots, ce jeune homme a fait son adversaire crier grâce en s’agenouillant. Qui ét
Jean a secoué la tête, cet homme avait évidemment trop bu et était pris par son désir, c’était vraiment un type chiant.Emmanuel a froncé les sourcils, il était déjà très mécontent.Céline a grondé : « Si tu as trop bu, rentre et repose-toi, ne te cherche pas de problèmes. »Luna s’est penchée sur Jean et a affiché un rire en couvrant sa bouche.L’homme portant un costume se sentait humilié, il était donc un peu en colère. Pourtant, avant qu’il ne finisse ses mots, deux hommes derrière lui se sont avancés et ont dit à Céline : « Montre un peu de respect, sais-tu qui il est ? »« Je m’en moque complètement. Peu importe qui il est, dégage immédiatement ! », a froidement dit Céline.Un homme a furieusement dit : « Merde, Guillaume travaille dans le département des commerces, et nous, beaucoup de personnes dans le quartier ont entendu parler de notre nom, comment oses-tu parler avec Guillaume d’un tel ton ? »« Ah bon ? Alors ? »Céline semblait avoir du mal à réprimer sa colère.Ces homme