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Chapitre 145

« Tu as encore Yveline, n’est-ce pas ? » a dit Jean en souriant.

Ensuite, il a rajouté : « Sa famille a un magasin, et on peut dire que c’est sa profession. Prends cet endroit et embauche Yveline comme la directrice. N’est-ce pas bien d’être un patron qui n’a pas besoin de travailler ? »

En entendant ces mots, Yveline a immédiatement agité la main et a dit : « Chef, je ne peux pas le faire. Je travaille dans le petit magasin de ma famille. Je n’arrive pas à être la directrice d’un supermarché. Au cas où je cause une grande perte d’argent, tu perdras beaucoup. »

Jean a regardé tous les deux et a dit en souriant : « Pourquoi êtes-vous si peu confiants ? Cette affaire, c’est décidé. »

« Ah ? »

Tous deux se sont figés.

À ce moment-là, Jean a sorti son téléphone pour composer le numéro indiqué sur l’annonce.

« Allô. »

«Quel est le prix de votre magasin ? »

« Vingt-et-un millions d’euros, pas négociable. »

« Venez immédiatement signer le contrat et prendre l’argent », a dit Jean d’un ton fer
Chapitre verrouillé
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