Tous les chapitres de : Chapitre 31 - Chapitre 40

Le bar empestait la sueur, la bière et les cigarettes. Ce n’était pas une odeur terrible, mais c’était quand même piquant et pas des plus agréables. Cette musique était forte, je pouvais la sentir cogner contre mon corps et j’ai souri.Ouais, ça sentait un peu bizarre et ça m’a rappelé beaucoup de souvenirs de mon temps dans les clubs, mais je me sentais à l’aise. Je me sentais confiante et sexy.Ma robe était serrée et un peu modeste. Il ne montrait pas beaucoup de décolleté, mais il était suffisamment serré pour que mes courbes soient exposées. J’avais eu quelques regards en entrant, mais le seul regard qui comptait n’était pas encore dans la pièce.Je me suis assis sur le tabouret de bar, tambourinant mes doigts sur le comptoir en contemplant la boisson que je voulais. Je ne voulais pas trop boire et me gaspiller au point de ne pas pouvoir réaliser mon fantasme avec Luca, mais je voulais aussi le petit buzz qui accompagnait l’alcool.J’ai jeté un coup d’œil à mon téléphone, vérifia

« S’il te plaît », ai-je supplié, forçant mes yeux à s’ouvrir pour le regarder. Il sourit, appréciant visiblement le plaidoyer. C’était tout ce qu’il voulait. Le fücker.Après ce qui semblait être une éternité, Luca a lentement enfoncé son dïck en moi. Mes yeux s’écarquillèrent devant la sensation familière mais oubliée du sexe et je jurai fort. Ma mâchoire s’est ouverte et j’ai cambré le dos, aimant la sensation de son cou.Luca glissa lentement, se contentant d’entrer et de sortir. Je ne savais pas vraiment pourquoi parce que j’étais assez humide pour nous lubrifier tous les deux, mais le côté masochiste de moi ne se souciait pas qu’ils continuaient à me taquiner. Ça rendait le sexe encore meilleur.Il a continué son modèle un peu plus longtemps. Il poussait la tête de son cou dedans, me taquinait un peu puis se glissait en arrière. Si j’avais su que le sexe avec lui serait si délicieusement tortueux, je me serais mieux préparé.J’ai fermé les yeux, me concentrant sur le fait de ne

J’ai haussé les épaules, regardant mon moi nu. « Je veux dire, je n’ai pas l’air mal. »Il soupira, roulant des yeux et attrapa ma robe par terre. « Je sais que tu n’as pas l’air mal, mais je ne te laisserai pas partir nue. »« Oui, papa. »J’ai levé les mains, n’ayant pas l’énergie de me lever moi-même.Encore une fois, il soupira et me tira à genoux. « Est-ce que je t’ai dit à quel point tu es sexy dans un costume ? »Mes lèvres frôlèrent son cou et il se raidit. « Tu es comme mon bonbon personnel. J’adore te déballer. »Un autre soupir. Il m’a jeté un coup d’œil avec une expression rétrécie et a tiré ma robe sur ma tête.« J’ai peut-être déchiré ou non ta culotte. »Il a regardé mes sous-vêtements déchirés au pied du lit.« Eh, » j’ai agité la main, « ce n’est pas comme si ce serait la première fois que je deviendrais commando. »« Je n’aurais pas dû m’attendre à moins, » gloussa-t-il. « Allez, » il m’a offert sa main et je l’ai prise.« Je ne peux bouger », me mordis – je la lèvre in

« Je ne sais pas comment tu t’assois là-dedans. J’ai mal au cul. »Luca éclata de rire, attrapa mes hanches et me souleva sur ses genoux. J’ai presque ronronné comme un putain de chat. Mec, est-ce que j’aimais ce côté gâtant de lui. « Est-ce mieux ? »J’ai hoché la tête, enroulant mon corps contre lui. Il était si chaleureux et ferme. Je l’ai senti…en sécurité. Je ne savais pas de quoi je devais me sentir en sécurité, mais je l’ai fait. C’était étrange que je me sente ainsi, il n’était que mon patron, mais j’avais l’impression que je pouvais lui faire confiance avec mon âme et qu’il aurait pris soin de moi.C’était la partie chiante sur les émotions. J’ai commencé à trop réfléchir à tout. Tout ce qu’il faisait semblait soudain parfait et ça commençait à m’agacer. Je ne voulais rien ressentir pour lui à part de la luxure et de l’appréciation.« Alors, » s’éclaircit-il la gorge, « vas-tu me parler d’elle ? »Je me tendis contre lui. Voilà, ça recommence ; mon corps stupide réagit bizarr

J’inspirai profondément, essayant de ne pas attaquer la merde et forçai un sourire. « Je suis la personne qui a pris soin de ta mère, pendant que toi, espèce de merde, tu t’inquiètes pour une putain de compagnie. »Puis, ajouta-t-il. « Et si tu dois savoir, je suis à lui, » pointai-je vers Luca, « femme de ménage. »Michael roula des yeux, me fixant vers le bas. Ce connard pensait sérieusement qu’il était meilleur que moi. Je ne sais pas qui lui a mis le bâton dans le cul, mais j’étais sur le point de le fouetter avec. « Un bon homme d’affaires connaît ses priorités. »« Alors, ta mère, la femme qui a accouché et s’est occupée de ton cul dégoûtant, n’est pas une priorité ?! »Je me suis tourné vers Mme Maggie, tremblant de colère. « Sans vous offenser, Mme Maggie, mais vous auriez vraiment dû avaler. »Mme Maggie serra ses lèvres l’une contre l’autre, supprimant un sourire et Michael me regarda de haut en bas avec dégoût. « Où as-tu trouvé cette pute inculte, mère ? Tu devrais vraiment