All Chapters of Le baiser que je préfère: Chapter 11 - Chapter 20

J’ai incliné la tête sur le côté, souriant et armé ma hanche. « J’ai l’air tellement mieux nue. »Luca écarquilla les yeux, les agrippa pour me regarder et tira sur son col. J’ai souri, aimant à quel point il semblait mal à l’aise. Au début, il pensait que c’était parce que j’étais à moitié nue devant lui, mais j’ai réalisé que c’était parce qu’il était tellement resserré dans le département du rez-de-chaussée.Je me suis léché les lèvres. « Tu devrais prendre une photo, ça t’aidera à régler ton problème plus tard. »J’ai hoché la tête devant son énorme renflement, me léchant lentement les lèvres. « Il inspira profondément, secoua la tête et s’éloigna de la pièce. Au bruit de la porte qui claquait, j’ai poussé un petit rire et j’ai terminé mon travail. Je ne savais pas encore pourquoi cet homme ne m’avait pas viré. Si les rôles étaient inversés, j’étais sûr que je serais accusé de harcèlement, mais je ne pouvais pas fermer ma gueule et je n’allais pas le sauter.Sauf s’il m’a donné so

Mais je pensais qu’une fois que je me sentirais mieux dans ma peau, j’oublierais toutes les choses terribles qu’ils m’ont fait subir. Clairement, j’étais stupide de penser ça, mais ça ne faisait pas de mal de l’espérer.La plupart des gens connaissaient les familles portoricaines comme très fières de leur héritage et de leur culture ; ma mère n’était pas comme ça. J’avais dix ans quand nous avons déménagé en Californie et elle a rencontré mon beau-père, un homme qui était calme et gardé pour lui la plupart du temps, mais qui a gâché la merde de ma mère et de Veronica.C’était un » gringo « et le cercle social dans lequel nous nous trouvions soudainement n’approuvait pas vraiment que ma mère soit portoricaine même si nous étions des citoyens légaux des États-Unis. Alors, elle a réprimandé tout ce qui avait à voir avec notre culture. Elle a arrêté de parler espagnol, elle me réprimandait de vouloir parler ma langue maternelle et me disait que je n’irais jamais nulle part si je continua

Après l’étrange rencontre avec Luca la semaine dernière, j’ai fait de mon mieux pour garder la bouche fermée chaque fois que je le voyais. Je branchais simplement mes écouteurs et nettoyais ce que je devais nettoyer, puis partais dès que possible.Il ne semblait pas s’inquiéter de mon silence soudain et même si cela me tuait de garder mes commentaires sexuels pour moi, je le ferais pour éloigner la gêne. J’ai peut-être été folle et imprudente, mais quand il s’agissait de Luca, je me souciais de ce qu’il pensait.Je détestais ça.Il était actuellement assis sur le canapé, tapant sur son précieux ordinateur portable comme un fou. Il portait une chemise blanche à col en V avec un pantalon de survêtement gris et des chaussettes blanches. S’il se levait et que je voyais les pantalons de survêtement gris en action, j’aurais probablement fait pipi moi-même.Je venais de finir de rincer la vadrouille pour la laisser sécher et après avoir fait un dernier tour autour de la maison pour m’assurer

Elle a rendu le sourire et a dit : « Je vais vous l’obtenir tout de suite. »Elle s’éloigna et je respirai profondément, souriant à mon environnement.« Tu viens souvent ici ? Demanda Luca en jetant un coup d’œil à sa montre.J’ai hoché la tête. « Avant de travailler pour vous, j’avais un peu d’argent économisé et je l’ai dépensé en venant ici. Les danseurs sont incroyables et le service est vraiment bon. »Il ne répondit pas, baissa simplement les yeux sur ses mains puis gloussa doucement. « Tu es autre chose, Daniela. »J’ai levé un sourcil. « Pourquoi ? »« Mis à part l’évidence, » me jeta-t-il un coup d’œil de haut en bas, « tu es la première femme à vouloir volontairement aller dans un club. »« Non, » j’ai secoué la tête, « tu connais juste les femmes ennuyeuses. »La serveuse est revenue avec nos boissons et je lui ai donné un pourboire, gagnant une expression amusée de Luca. Je souriais à sa façon et pris une gorgée de ma Sangria, lentement, savourant le goût fruité de la bois

J’étais un peu reconnaissant qu’il n’ait pas évoqué notre aventure dans un club de strip-tease. Je pourrais dire sans vergogne que j’ai chatouillé la couleur de ma quille quand je suis monté dans ma chambre, après son départ. Tout ce à quoi je pouvais penser était son renflement frottant contre mon cœur pendant que je le broyais et cela m’a défait.J’ai jeté un coup d’œil à Luca alors qu’il parlait au valet et m’a mordu la lèvre inférieure. Il a rendu ce smoking noir tellement beau, qu’il m’a mis l’eau à la bouche. Ses cheveux étaient lissés en arrière avec désinvolture et il ne semblait pas y avoir de gel ajouté. Il était la définition d’une beauté diabolique.Maudit lui et sa beauté de ne pas vouloir coucher avec moi autant que je voulais coucher avec lui !« Luca ! »Une voix pleurnicharde, très nasillarde, m’a fait sortir de mes pensées et j’ai regardé dans la direction de la femme. Elle avait tellement besoin d’arrêter de rendre visite au chirurgien plasticien parce que cela comme