บททั้งหมดของ La Chanson de Guerre Gracieuse: บทที่ 471 - บทที่ 480

Sébastian a sorti une feuille de papier, sur laquelle il avait noté plusieurs médicaments et poisons, avec leurs effets et effets secondaires. Il l'a montrée rapidement à tout le monde avant d'expliquer chaque substance un par un.Le premier s'appelait Enfer flamme. Ce poison provoquait des hallucinations, amplifiant les obsessions profondes d’une personne, et lui donnait ainsi une force décuplée. Mais il fallait un antidote. La femme, après avoir tué sa famille, a essayé de poursuivre les voisins. Mais quand les autorités sont arrivées, elle s'était déjà calmée. Donc, Enfer flamme ne semblait pas être la cause.Le deuxième s'appelait Handicap. C’était un champignon capable de provoquer des hallucinations et de la folie, ce qui pouvait mener à des comportements autodestructeurs ou violents. Avant d'atteindre ce stade, la personne montrait des symptômes comme des rires ou des pleurs incontrôlables et des mouvements erratiques. Handicap ne donnait pas assez de force pour tuer douze perso

Pour démontrer la puissance du ver Threadworm, Ivy a ordonné qu’un poulet soit amené. Elle l’a fait avaler par le ver, puis a utilisé de la fumée médicinale pour stimuler l’énergie du ver.Le public a regardé, stupéfait, alors que le poulet est devenu totalement incontrôlable, picorant tout ce qui bougeait et volant frénétiquement autour de la salle d’audience, dans une agitation déchaînée.Même le coq de combat local le plus réputé, amené pour défier ce poulet erratique, a perdu instantanément un œil.Le poulet s’est calmé seulement après qu'Ivy ait administré plus de médicament, et qu’il a vomi lentement le Threadworm.« Cet être est appelé le Threadworm, un ver contrôlé par quelqu’un. Lorsqu’il a été ingéré par Lola, c’était simplement un œuf. Ces œufs résistent aux températures élevées. Une fois dans le corps, ils se déplacent à travers le sang jusqu’au cerveau. Ce processus prend généralement environ six mois, ce qui correspond à ce que James a dit. Maintenant que le ver est arriv

Lulu s’est précipitée en bas pour chercher plus de café et a servi une tasse fraîche à Alana.Une fois qu'Alana a fini son café, elle a repris la parole : « Madame Léona attendait qu'il vienne, alors on ne l'a pas empêchée. On pensait que ce serait mieux que le couple règle leurs conflits ouvertement. Enfin, avant que l'enfant ne naisse, la duchesse devrait être dans un meilleur état d’esprit, plutôt que de pleurer seule chaque nuit. »Carissa s'est sentie soudainement inquiète. « Il est allé dans ses appartements et il l'a insultée ? »« L'insulter ? Si c'était juste ça, je ne l'aurais pas frappé. Il a poussé la duchesse et son ventre a heurté l'angle de la table. Elle a eu tellement mal qu'elle s'est mise à transpirer froidement, et c’est là que je suis intervenue pour lui donner une leçon. »« Il a poussé Léona ? Et comment va-t-elle maintenant ? » a demandé Carissa, visiblement paniquée.« Le médecin de la famille l'a vue. Elle risque une fausse couche et devra rester au lit pendan

En entendant la voix douce d'Hélène, Léona n'a plus pu retenir ses larmes.Bien qu'Alana ait déjà expliqué la situation, la servante de Léona a pleuré encore en la racontant une nouvelle fois.« Depuis que M. Samuel a perdu son titre, Madame Léona est confinée au domaine, mais notre pauvre maîtresse n'a jamais eu un moment de tranquillité. M. Samuel la tient responsable de tout. Deux fois, lorsqu'ils se sont croisés alors qu'elle rendait hommage à Madame Langley, M. Samuel a pointé du doigt Madame Léona en l'accusant de colporter des rumeurs. Il a dit que c'était de sa faute si le Département de Surveillance l'avait dénoncée au roi. »« Bien que Madame Abigail protège notre maîtresse, Madame Langley protège M. Samuel. Elle dit que bien que notre maîtresse soit duchesse, elle est mariée à un comte et doit considérer son mari comme son monde. Elle ne doit ni se plaindre ni critiquer son mari à l’extérieur, sinon elle perdra son statut de femme respectable. »« Comme aujourd'hui, c'est cl

Noah a vu le changement d’expression de sa mère et est intervenu immédiatement : « Maman, s'il te plaît, discutons de ça calmement… » « Tais-toi, espèce d'incapable ! Ils se sont déjà installés chez nous sans vergogne, et toi, tu joues encore au fils obéissant ?! » Dorothy a crié avec rage, son visage déformé par la colère. « Dégage de mon chemin ! » Elle s'est dirigée d'un pas décidé vers son siège, a pris une profonde inspiration, et a croisé le regard d'Hélène. « Le rang et la place ? Une fois que la duchesse a épousé notre famille, elle est devenue l'une des nôtres — notre belle-fille ! Les femmes suivent leurs maris, que ce soit à la maison ou en public. Et pourtant, elle a semé le trouble et a incité même la princesse consort du Monarque des Enfers à dénoncer son propre mari, tout ça pour une affaire domestique. Quelle famille n’a pas de concubines ? Au lieu de tirer parti des bons exemples, elle a pris tous les mauvais — l'envie et la mesquinerie. Elle les a tous adoptés, et t