Tous les chapitres de : Chapitre 201 - Chapitre 210

« Rien de grave, en effet, mais j’ai une belle proposition. J’espère que vous l’accepterez. » François avait l’air souriant, tout comme un parent affable et avenant. Néanmoins, Louis a légèrement froncé les sourcils. Malgré son comportement distingué comme celui de l'immortel, un vieux renard tel que François était très rusé de fait. Pourtant, Louis n’arrivait pas à deviner ses intentions.À la suite d’un moment d’hésitation, Louis s’est mis à parler doucement : « J’aimerais obéir à tous vos ordres dans un premier temps mais j’ai l’habitude d’être prudent. Il faudrait que je vous prévienne à l’avance que je vous rendrais n’importe quel service, pourvu que mes principes ne soient pas violés. »François a ri aux éclats, disant : « Vous avez du caractère, ce qui me plaît. Si un jeune homme as du caractère, c’est qu’il a du talent. Au contraire, un homme banal tend à être obséquieux. Sans dignité, comment aurait-il la chance de s’épanouir ? »« Puisque mon jeune ami est si franc, je me pas

« Jacques a raison ! Le centre commercial est très important pour notre famille. Il représente l’avenir de la famille Royer. Il ne faut jamais qu’il y ait un accident ! »« Il se peut bien que les bandits, voyant que Christy est une jeune fille, ait eu envie de lui faire mal ! Tout serait réglé si on la remplaçait par un homme. »« Christy, tu n’as pas peur ? Si oui, nous te donnerons un coup de main tant que tu nous le demandes. »Les Royer étaient tous plus bienveillants et généreux les uns que les autres. Ils souhaitaient ardemment remplacer Christina pour devenir responsables du centre commercial. Quant aux ennuis qu’elle rencontrait, personne ne pensait à la solution !D’après eux, c’était Christina qui avait provoqué les ennuis. Elle aurait à s’en occuper même si elle cédait son poste pour y arriver.Monsieur Royer avait la mine sombre comme un lac profond. Il n’avait pas beaucoup apprécié Christina. Il était obligé de nommer Christina comme responsable du projet, de crainte de v

« Ce n’est pas imprudent ? » Louis avait l’air calme. En effet, il était totalement troublé dans son coeur. Il était possible que ce soir il accomplisse ce qu’il n’avait pas fait la nuit de noces ? Qu’il était excité !« Tu… tu prends une douche d’abord. La salle de bain n’est pas disponible. On ne l’a pas encore réparée. » Christina s’est procuré une excuse dans la hâte.Louis ne bavardait pas. Il a pris une douche vite. Voyant que Christina est entrée dans la salle de bain en tenant ses vêtements, il s’est mis à effectuer des tractions, en guise d’échauffement.En moins d’une demi-heure, Christina est sortie de la salle de bain.Elle portait une robe de nuit très chouette, affichant un ourson. Louis apercevait bien des gouttelettes perlées sur sa peau. Elle ressemblait à une fleur de lotus qui venait de pousser de l’eau.Louis a bondi du sol. Il ne pouvait pas détourner ses regards de Christina pour un moment. Il a dit dans l’inconscience : « Comme elle est mignonne ! »« Qu’est-ce

« Tu crois vraiment que je vais secourir Christina ? » a demandé Jacques, transporté de joie.« Tu veux dire qu’il s’agit d’un piège ? » a rétorqué Pascal.Jacques n’avait rien à dissimuler en face de son propre père. Il a donc dit en souriant : « En fin de compte, c’est toi qui m’as fait la remarque la dernière fois. Je t’avoue que le responsable des ennuis provoqués au centre commercial était envoyé par moi ! »Pascal a froncé les sourcils. Il a dit en fixant son fils : « Je comprends bien que tu cherches des soucis à Christina en passant par un étranger. Pourtant, il ne faut pas que tu redresses la situation de toute force ? Pourquoi tu as décidé d’aider Christina ? »« Papa, à quoi bon si je redresse la situation de mon mieux ? Ce sera toujours Christina qui présidera le projet de centre commercial. Je n’en tirerai aucun avantage ! Ce que je voudrais, c’est détruire cette femme une bonne fois pour toutes ! Comme ça, je n’aurai nulle difficulté pour entrer au pouvoir à l’avenir ! »

« Mon époux, Louis Boucher. » a dit Christina d’un air calme.Sur ces mots, tout le monde, y compris Pierre, a commencé à s’esclaffer. Il fallait avouer que Louis, à titre de gendre matrilocal bon à rien, était célèbre au point d’être connu par tout le monde !« Hé, hé, hé ! il avait l’air décent comme un blanc-bec ! Mais comment il pourrait être si irraisonnable pour perdre ainsi la face devant tous les hommes ! Gars, tu n’es pas un eunuque ? » a dit Pierre d’un ton significatif.« Frère Pierre, ce mec est trop dégoûtant : j’ai envie de le battre ! »« Mais à moi ! Comme tu es trop fort, je crains que tu le tues d’un coup de poing. Moi, je suis plus tendre ! »« Bougre ! Pourquoi il faut être tendre ? Ce n’est pas une femme ! Il vaut mieux que je m’occupe de cette nouille ! » Voyant ses hommes qui l’entouraient et chahutaient, Pierre a agité la main afin de les empêcher d’avancer : « Assez ! Qu’est-ce que vous faites là ? Vous ne voyez pas que le petit garçon a peur ? Comme c’est dés