Tous les chapitres de : Chapitre 161 - Chapitre 170

Florence sur le côté ne savait pas quoi penser et a dit : « Michel, tu vas trop loin. » « Florence... » Michel a froncé légèrement les sourcils, il n’a pas prêté du tout attention à Christina, et même toute la famille Royer n'était rien pour leur famille. Mais la famille de Nolan était différente. La famille de Nolan était aussi une grande famille dans la capitale provinciale. Maintenant que Florence a pris la parole, il ne pouvait pas l’ignorer.En pensant à cela, Michel a souri et a dit : « Depuis que Mme de Nolan a parlé, je ne dirai pas de bêtises, mais il faut être un peu conscient de soi-même, de savoir ce qui lui appartient vraiment, je pense que l’histoire peut nous enseigner quelques choses ! » Après ses paroles, Michel a jeté un regard sur Louis, puis s'est retourné et est parti. Quoi qu'il en soit, tant qu'il savait que la peinture était entre les mains de Louis, ne serait-il pas facile de le récupérer ?En regardant les yeux de Michel, Louis a froncé légèrement les sourci

Christina sur le côté était légèrement choquée. Elle ne s'attendait pas à ce que Louis refuse de prendre l'argent, mais à échanger contre le Stella Aeterna. Vous savez, s'il demande de l’argent, il ne devrait pas être un gros problème pour obtenir quelques centaines de millions, non ? Mais cet homme n'avait que sa femme dans son cœur, même dans une telle situation, il pensait à elle et voulait se faire plaisir.En pensant à cela, Christina a regardé Louis à côté d'elle, s’est inconsciemment mordu les lèvres et une émotion étrange s’est levée dans son cœur.« Mme Masson, vous ne pouvez pas être d'accord ! Cette peinture n'est peut-être pas authentique ! » a soudainement dit Jérome qui était à côté de lui.Quoi ? Pourquoi a-t-il dit ça tout d'un coup ? Tous les regards ont tombé sur lui en un instant.Natalie a regardé, avec une expression froide sur son visage, d'où venait ce type ? Qu'essayait-il de faire en faisant interrompre leur plan tout d'un coup ?Mais en ce moment, Natalie n’av

« Tsk tsk tsk, Louis, considères-tu vraiment comme un génial ? » Jérome a souri : « Si tu es si génial, laisse Natalie venir maintenant ? Laisse-la te ramener à la maison ? Si tu peux le faire, Je vais m'agenouiller devant toi tout de suite ! » Tout en parlant, on a vu Natalie marcher vers eux.« M. Boucher, notre président était déjà au courant de notre coopération. Il m'a spécifiquement demandé de vous dire que cette fois, la Société d'investissement de la famille Boucher en a profité. Afin d'exprimer notre gratitude, nous accepterons l'investissement dont Mme Royer a besoin et nous décidons de signer le contrat demain. » Après cela, Natalie a poursuivi : « De plus, si cela ne vous dérange pas, puis-je vous conduire chez vous ? Après tout, vous venez de terminer l'affaire avec moi, nous avons la responsabilité de vous renvoyer chez vous en toute sécurité. »« D'accord, alors je vous remercie. » Louis a souri, puis a jeté un coup d'œil désinvolte à Jérome.Quoi ? Natalie l'a invité

« Maman. » a dit Christina doucement. « Ne te mets plus de mes affaires ! Cette fois-ci, le mérite est à Louis. D’ailleurs, il m’a introduise à Natalie. Je gagnerai le financement de la Société Boucher. »« C’est vrai ? » Marie était surprise et joyeuse. Elle s’en était inquiétée. Incroyable que l’affaire se règle comme ça. Elle regardait Louis, sans savoir quoi dire.« Voilà, maman. On se repose maintenant. Demain matin je dois me rendre à la Société Boucher. Le reste, on s’en occupe plus tard, d’accord ? » a dit Christina.« Oui, cette affaire est la plus importante. » Marie a hoché la tête, puis elle a toisé Louis d’un regard sévère, disant : « Le plancher n’est pas nettoyé pendant plusieurs jours. Dépêche-toi de le nettoyer ! Tu ne sais que vagabonder partout. Tu prends ici pour la maison ou non ? »« Okay, d’accord. » Louis était habitué à l’attitude de Marie. Il n’y faisait pas d’attention. De toute façon, c’est lui qui s’occupait du ménage depuis trois ans. Ça ne lui déplait pas

« Mon grand-père, j’ai une autre chose à te dire. Comme le délai des travaux est assez court, je voudrais démarrer le moutonnage, faisant partie des travaux préliminaires du centre commercial, à partir de demain. J’ai envie d’y emmener une personne issue de la famille Royer pour surveiller les ouvriers sur place. » A repris Christina.M. Royer a dit en souriant : « D’accord. Tu peux choisir n’importe qui de notre famille comme tu veux. »Christina a hésité un peu. Elle a lancé un regard sur Louis, disant : « Papi, j’aimerais emmener Louis... »À ce moment-là, Christina gardait certain espoir. C’était dur de surveiller les ouvriers sur place et ça demandait beaucoup d’efforts physiques, pourtant, on était capable d’aborder le terrain. Christina s’est mise à accepter Louis, donc elle souhaitait que Louis fasse du progrès dans la carrière, au lieu de simplement se servir de conducteur.M. Royer a faiblement froncé les sourcils. Il n’a pas dit « oui » tout de suite.Tandis que Jacques a fr