Tous les chapitres de : Chapitre 171 - Chapitre 180

Pas longtemps, il est arrivé à l’entrée du dortoir de Manon. « Charley ? » Manon, dont les paupières étaient enflées à force de pleurer, a ouvert la porte de sa chambre, et quand elle l’a vu, elle a visiblement été surprise. « Manon, tu vas bien ? Je suis venu te voir ! » Il a dit. Manon s’est assise sur le bord du lit, couvrant ses yeux et pleurant encore : « Je vais bien, je ne veux pas te déranger. De toutes les façons, j’ai maintenant l’impression que je suis inutile dans ce monde et que je vais entraîner beaucoup de gens vers le bas. »« De quoi parles-tu ! Manon, dans le passé, j’étais comme toi. Depuis que je suis jeune, mon père me disait que notre famille avait beaucoup de dettes et était très pauvre. Pour gagner d’argent pour me permettre de poursuivre mes études, ma sœur est partie travailler sans même étudier au lycée. Elle était une bonne élève mais avait renoncé à ses examens du secondaire. »Charley a essayé de la convaincre. Tous les deux ont passé des moments très

Après un moment, le message de banque est arrivé, indiquant que son compte avait reçu un milliard d’euros. Sa sœur a été très rapide. Mais comment il dépenserait cette somme ?« Aïe ! Si je fais des investissement, la famille le saura certainement. Mais si j’achèterai juste quelques trucs, alors peut-être que papa ne le remarquera pas. » Il s’est dit.Mais avec un milliard… Il devait acheter quoi ? Charley, anxieux, est tombé dans ses pensées. Il s’est tapoté la tête et n’avait plus d’intérêt de se promener. Il est simplement retourné s’allonger dans son dortoir. Trois jours sont passés vite, mais il n’avait pas trouvé de bonnes solutions. Pendant ces trois jours, trois choses se sont produites qui méritent d’être mentionnées. L’une d’entre elles était que Manon avait pris un congé et que sa mère l’avait forcée à quitter l’école. Charley était très en colère à ce sujet et voulait l’aider, mais il ne pouvait pas la contacter. Alors il prévoit de commencer à se renseigner dans les

« Oui, je viens ici pour jeter un coup d’œil. Je n’ai pas d’autres intentions. »Charley reconnaissait bien sûr le mépris dans les mots de Sabrina, et ne voulait vraiment pas trop s’attarder sur elle, donc il ne pouvait que dire cela. « Oh, tu te fais une idée juste de toi. D’ailleurs, Charley, tu es après tout le petit ami de ma cousine, je dois te rappeler, tu ne devrais pas te comparer avec ces riches. Leurs industries familiales sont plus grandes et plus fortes que les siennes. Si tu continues comme ça, cet argent, tôt ou tard sera dépensé. Pour être honnête, sur la base de ta capacité, je trouve difficile de croire que tu peux offrir une vie heureuse et abondante à ma sœur. »Sabrina était aussi fier qu’un paon. Dans son cœur, Charley n’était qu’un homme qui avait gagné à loterie des dizaines de millions d’euros. Et cette somme lui avait permis d’acheter une Lamborghini qui coûtait vingt millions d’euros. Plus elle connaissait cette personne, plus elle sentait qu’elle était stupi

Viviane était très impuissante.« C’est vrai, mais Viviane, il y a un dicton vraiment juste, les gens sans tempérament n’auront jamais de tempérament, même s’ils étaient riches. Regarde Dominique, non seulement sa famille est riche, mais aussi il a été bien élevé ! Il est un homme civilisé qui a des expériences sociales. »« Contrairement à ce Charley, il a gagné à la loterie, mais il n’a pas d’autres avantages. », Jeanne l’a également regardé et a secoué la tête sans rien dire. Les gens, s’ils n’ont pas une certaine estime d’eux-mêmes, quelle serait la différence entre eux et un perdant ? Pour être honnête, Charley a ressenti beaucoup de frustration dans son cœur, la sensation d’avoir son visage chaud sur le cul froid, il était vraiment désagréable. Mais puisqu’il était entré, il devait s’asseoir tranquillement, laissons-les dire ce qu’elles voulaient.Charley s’est ensuite assis. Bien sûr, son siège était à l’arrière. À ce moment-là, Gigi a regardé vers l’arrière et a vu que c’ét

« Haha, c’est vrai que personne n’achète ! » Dominique a dit en riant. Aron a souri amèrement : « Je te l’ai dit, quand qu’on est un homme d’affaires intelligent, on ne gaspille pas huit cents millions d’euros pour une maison, à moins que… »« Je l’achète ! »Avant qu’Aron n’ait pu terminer ses mots, il a entendu une voix pas très forte, mais qui pouvait être entendue par tout le monde dans la salle entière. « Qui ? »Ayant entendu cela, tout le monde a changé leur expression et ont tourné leur tête pour regarder l’homme qui avait crié.Aron et Dominique étaient également abasourdis, et plusieurs d’entre eux ont retourné la tête à l’unisson. Parce que celui qui a crié ces mots n’était autre que le paysan que Dominique avait amené.« Putain ! Charley, tu es fou ! Comment tu oses dire ça ? Si tu ne peux pas sortir autant d’argent, connais-tu le prix à payer ? »« Oh là là, c’est très éhonté ! Il n’a pas honte ? »Viviane et Jeanne ont dit en en état de choc, tous voulaient le frapper à