Tous les chapitres de : Chapitre 151 - Chapitre 160

Des personnes étaient déjà arrivées à l’entrée.Ayant entendu cela, un jeune homme riche lui a répondu : « Quoi ça ? Tu plaisantes ? Je l’ai vu dans ta main à peine. »« Oui, j’avais envie de faire pipi ? Je me suis arrêté pour le faire dans les bois au bord de la route. Putain de merde, j’avais encore le ticket d’entrée dans ma main. Ensuite, quand j’ai terminé, je ne me souviens pas avoir eu quoi que ce soit dans ma main, je pense que c’est à ce moment-là que je l’ai perdu ! »Ces gens étaient tous les meilleurs amis, même comme ils se moquaient de lui, tout le monde était également anxieux.« Cherchons encore. Si nous ne pouvons pas le chercher, retournons pour en prendre un autre…… »« C’est un peu loin ! »La foule a discuté et essayé de parler à la réceptionniste pour savoir s’ils pouvaient entrer dans cette situation.Mais ils se sont heurtés immédiatement à un refus de sa part. « Qu’est-ce qui s’est passé ? »À ce moment-là, un homme d’âge moyen en costume s’est approché et a

Charley a compris immédiatement ce que Yolaine voulait dire. Elle voulait certainement qu’il fasse semblant d’être son petit ami pour qu’elle puisse gérer sa tata. Toujours le même scénario ! Il était assez insupportable.« Monsieur le jeune maître Marchand, aidez-moi et venez ici en tant que mon petit ami, s’il vous plaît. Si je demande à William ou aux autres de le faire, ma tata ne le croira pas. Parce qu’ils ne sont pas mon genre. Quant à vous, vous êtes un homme fiable, vous êtes la meilleure personne à mes choix. Si vous ne m’aidez pas, elle va certainement me laisser avoir un rendez-vous avec ce garçon, je ne veux vraiment pas le faire. », Yolaine a plaidé à l’autre côté du fil. Charley voulait voulu refuser, il n’a pas vraiment trouvé une bonne raison pour le faire. Après tout, cette fille l’avait aidé plusieurs fois. De plus, cette tâche n’était pas difficile, donc s’il la refusait, il aurait l’impression qu’il était impitoyable et ingrat.« Bon, d’accord ! »Finalement, il

« Tata, arrête-toi ! Comment tu peux dire cela ! » Yolaine s’est figée avec de grands yeux. Elle ne s’attendait vraiment pas à ce que sa tante puisse dire des mots aussi durs. « Sais-tu qui est la personne qui se tient devant toi ? Un très gros magnat ! Il est le grand soutien de toute notre famille ! » Elle s’est dit dans son cœur.On pouvait voir qu’elle avait l’air un peu effrayé. Mais Charley n’était que légèrement en colère après avoir été autant grondé. Et il était depuis longtemps engourdi face à ces voix méprisantes. Perrine était sur le point de le réprimander à nouveau pour qu’il sache quoi faire et qu’il recule. Mais à ce moment-là, son téléphone portable a sonné et elle l’a décroché pour y répondre. « Allô ? Oui, Lamarre. Désolée, Yolaine n’est pas disponible aujourd’hui ! Quoi ? Tu es déjà devant la porte ? D’accord, d’accord, je vais venir te voir un petit moment. » C’était l’appel de Lamarre. Mais tout à l’heure, Perrine lui avait déjà dit qu’il n’avait pas besoin d

Pendant le reste de la discussion, Lamarre n’a pas cessé de se vanter des industries de sa famille à Savoy. Et bien sûr, tout le temps en train de parler, il a lancé des insinuations infamantes contre Charley. Ce serait mentir que de dire qu’il n’était pas du tout en colère. Il avait vraiment envie d’écraser ce Lamarre en miettes. Mais il s’est ensuite dit qu’il pouvait frimer s’il le voulait, ricaner s’il le voulait, à part ça, qu’avait-il d’autre ? Dans les moqueries des personnes, après un déjeuner sans appétit, des discussions sans cesse, quelques heures se sont écoulées.Charley était déjà un peu endormi car il s’était levé tôt ce matin et avait passé presque une journée là-bas. Mais la chouette de Jessica l’a fait sursauter. « Ah, Lamarre, Yolaine, il est presque cinq heures ! La fête du bateau de croisière va commencer ! Allons-y vite ! Ce ne sera pas bon si nous arrivons en retard. » « D’accord, dépêchons-nous ! »« Après tout, c’est l’initiative de M. Truffaut de l’organi

Parce que Charley était trop fatigué à l’instant, il n’a pas pris la peine de vérifier l’environnement et s’est juste allongé près de lui pour se reposer un moment. Mais à l’instant, quand il pensait à ces choses, son regard se était fixé dans la direction de ces belles filles jouant au volleyball, ce qui leurs a fait mal entendre.Mais aux yeux de ces filles en bikini, elles pensaient qu’il était un satyre. Ces filles avaient déjà fait face une telle situation auparavant. Elles savaient clairement ce que les hommes pensaient quand ils fixaient leur corps. C’était une violation indirecte. Toutes les filles se sont senties dégoûtées.« C’est dégoûtant, regardez-le, plus on parle de lui, plus il nous regarde ! » « Il doit être en train de regarder Neige, tout à l’heure un jeune homme voulait même prendre une photo avec elle, mais dès qu’il a entendu qu’elle était extrêmement proche de Monsieur Truffaut, il s’est enfui par peur. »« Oui ! Cet homme est trop impoli et éhonté. J’ai peur