Juste au moment où tout le monde voulait demander à André le sens de "grand patron" que Fiona avait dit, tout d'un coup, Charlotte s'est levée. « Charlotte, qu'est-ce qui ne va pas ? » La jeune femme assise près d'elle a demandé, ensuite, tout le monde s'est concentré sur elle. « Mathilde, je te remercie. » Elle a dit. « Charlotte, tu es guérie ? Très bien ! Le médecin avait raison, tu dois participer à la réunion des camarades de lycée, tes parents seront heureux de cela ! » La jeune femme, dont le nom était Mathilde Bellanger, a dit avec excitation. « Je vous remercie tous, merci beaucoup. » À ces mots, Charlotte a quitté sa place et s'est avancée directement vers André. À ce moment-là, il se sentait un peu embarrassé, car il a enfin dévoilé sa richesse. « André, pourrais-tu me pardonner ? Je sais bien que j'ai tort ! J'aurais dû entendre tes conseils. » Elle a dit avec sanglots. « Charlotte, en effet, tout le monde a le droit de trouver son bonheur. » Il a ré

Alors, la réunion des camarades est devenue un spectacle destiné à André, tout le monde voulait le flatter et s'approcher de lui pour son futur. S'ils pouvaient faire ami-ami avec lui, ils seraient aussi riches désormais, et à ce moment-là, ils ont trouvé une chance tout à fait optimale. En tant que des personnes d'une vingtaine d'années, personne n'était stupide, ainsi, à cet instant, personne ne faisait attention à la face. En plus, tout le monde le flattait, si un homme ne le flattait pas, les autres ne le trouveraient pas du tout lucide mais stupide ; devant une telle bonne chance, il fallait la saisir. Même Elliott ne restait plus arrogant et est devenu tout à fait respectueux devant lui. Bien que sa famille soit un peu riche, il voulait faire des progrès avec une telle bonne chance. En effet, puisqu'André avait donné deux cent millions d'euros à l'école sans peine, il était sans aucun doute riche. En plus, pendant la vie lycéenne, il avait été gentil avec André, quand ses

« C'est vrai ? » À ce moment-là, André a demandé d'un ton fâché. « André, tu ne me crois pas ? Je n'ai jamais menti devant toi, en plus, nous sommes les meilleurs amis depuis la vie lycéenne, ne sais-tu pas la nature de Franklin ? Il ne peut pas faire cela pour rien au monde. » Garfield a répondu. « Je le sais, mon ami. » André a dit. « Mon ami, tu dois trouver des solutions pour le sauver, il reçoit des coups dans la prison tous les jours, j'ai peur qu'il veuille se suicider... » Garfield a dit avec inquiétude. André ne lui a pas répondu, mais à ce moment-là, au fond de son cœur, la colère se répandait comme une éruption du volcan. Ensuite, il s'est levé et a dit : « Mes chers amis, j'ai des choses à faire maintenant, alors, je ne peux pas prendre le dîner avec vous, mais ne vous en faites pas, aujourd'hui, c'est moi qui vais payer l'addition. Elliott, ne paie plus, je dois vous demander pardon pour mon absence ! Désormais, si vous avez besoin de mon aide, vous pourrez

À ce moment-là, Gabriel Aubry, gouverneur de la Province du Sud, était en train de participer à une conférence, tout d'un coup, son portable a sonné. Ensuite, il est sorti de la salle de conférence et a accroché le téléphone. « Bonjour, je suis Gabriel, gouverneur de la Province du Sud. » Il a dit. « Bonjour Monsieur Aubry, je suis Evan, capitaine de l'Équipe de Vautour. » Evan a dit. « Bonjour Monsieur Herve, je suis à votre disposition. » Gabriel a dit d'un ton tout à fait respectueux, car si les membres de l'Équipe de Vautour lui ont téléphoné, c'était que des personnes dangereuses sont apparues dans sa juridiction, alors, ils avaient besoin de son aide. « Monsieur Aubry, allez tout de suite dans la Ville de Privet et suivez tous les ordres d'un homme appelé André. » Evan a demandé. « Monsieur Herve, y a-t-il des cas urgents dans la Ville de Privet ? Quel est le garde des alarmes ? » Gabriel a demandé, en effet, il devait savoir le garde des alarmes pour assembler

« Monsieur Langlois, votre ami est déjà envoyé à l'hôpital. Il est fragile et a besoin des soins médicaux. En plus, qu'est-ce que vous voulez faire ensuite ? » Gabriel a demandé. « Monsieur Aubry, je voudrais condamner tout le monde qui l'a calomnié à la prison, en plus, je ne veux pas que ces harcèlements visant les personnes ordinaires se reproduisent. » André a dit. « Oui, oui, après que je serai rentré, j'exercerai des actions dans toute la Province du Sud. Ces cas ne se reproduiront jamais ! » Gabriel a répondu. « Je vous remercie bien, Monsieur Aubry, êtes-vous disponible maintenant ? Voulez-vous que nous prenions un repas ensemble ? » André a invité, en effet, comme Gabriel le respectait, il ne voulait pas qu'il perde la face. « Alors, je vous suis, Monsieur Langlois. » Gabriel a hoché la tête, en effet, il ne voulait pas du tout refuser cette chance de s'approcher d'André et il voulait bien le flatter. « Allons-y, Monsieur Aubry. » André a proposé. « All