All Chapters of Je suis Quadrillionnaire: Chapter 431 - Chapter 440

Après avoir entendu les paroles d’André, tout le monde dans le salon a tout de suite poussé un soupir. Ce n’était pas parce qu’André avait dit cela avec détermination. C’était parce qu’il avait dit qu’il avait donné deux cents millions d’euros au Premier Lycée de la Ville de Privet hier. C’était deux cents millions d’euros !Il pouvait directement acheter des maisons d’une valeur de centaines de millions d’euros à Julie et à Marie. En plus, il gérait un hôtel huit-étoiles d’une valeur de dizaines de milliards d’euros. Puisqu’il avait dit cela devant eux, c’était vrai. Les deux familles de Benoit et de Jacques étaient très étonnées. S’il pouvait leur donner cet argent, ce serait très bien. Cependant, il l’avait déjà donné à son ancien lycée.Allen était aussi très content à ce moment-là. Quand il voyait Lucie et Auguste conduire la voiture de luxe en rentrant dans la ville, il rêvait aussi de conduire ce genre de voiture pour se vanter tous les jours. Ensuite, beaucoup de belles femmes

Il restait encore les deux familles de Jacques et de Benoit, et Auguste dans le salon. Ces deux familles se sont regardées. Elles ne savaient pas quoi dire d’un air déçu.Ce qu’André avait dit tout à l’heure leur a donné une douche froide. Toutes leurs illusions étaient perdues. Ils auraient voulu demander des avantages, habiter dans une maison luxueuse, conduire une voiture de luxe et obtenir un bon emploi comme Julie, mais ils ne s’attendaient pas à ce qu’André ne veuille leur rien donner. Ce dernier pouvait directement donner deux cents millions d’euros à son ancienne école, mais il ne voulait pas du tout leur faire du bien. Les deux familles regrettaient beaucoup maintenant. S’ils avaient su qu’il serait riche dans le futur, ils auraient pu être très gentils avec lui.Même s’ils pouvaient être un peu gentils avec lui, ils pourraient obtenir beaucoup aujourd’hui. André avait non seulement donné des maisons d’une valeur de centaines de millions d’euros à Marie et à Julie, mais aussi

André et Natalie ont conduit la voiture pour la banlieue de la Ville de Privet après qu’ils soient sortis de l’appartement de Julie.Les paysages autour de cette ville étaient très bons. Les deux personnes étaient aussi contentes. Ils ne sont rentrés que quand il faisait noir. Quand ils sont revenus à l’hôtel, André a appelé Marie et lui a dit qu’il aurait quelque chose à faire le lendemain. Il pourrait aller chez elle quand il rentrerait à Garnière.Après être allé chez Julie aujourd’hui, il pouvait aussi deviner ce que Marie voulait faire. Elle voulait probablement aider ses deux oncles, les frères de sa mère, à le persuader. Ils s’étaient aussi disputés pour l’indemnité après que ses parents étaient morts. Cependant, il avait finalement choisi Jacques, ils ne lui avaient donc plus parler comme Benoit. Pour ces personnes qui pensaient que l’argent était beaucoup plus important que les proches, il ne voulait avoir aucune relation avec eux. Marie a peut-être compris ce qui s’était

 « Garfield, qu’est-ce que tu fais maintenant ? » André a dit à un petit et gros homme près de lui. C’était Garfield Ripoche. Il était l’un des bons amis d’André au lycée. Comme il était aussi issu d’une famille pauvre, il travaillait souvent à temps partiel avec André. Quand ils étaient au lycée, beaucoup de camarades lui avaient donné des surnoms, mais il n’était pas du tout furieux et souriait tous les jours. En fait, André savait qu’il avait aussi un fort sentiment d’infériorité. S’il pouvait flatter les camarades et leur faire plaisir de cette façon, ce n’était pas grave d’avoir des surnoms.« André, je travaille avec mon père sur le chantier maintenant. Je suis différent de toi. Je ne suis pas aussi intelligent que toi. Tu faisais des études en travaillant à temps partiel, mais tu étais encore capable d’entrer à l’Université du Sud, l’une des plus célèbres universités du pays. » Garfield a dit avec un sourire. Il était vraiment envieux. André était admis à l’Université du Sud.

 « Elliott, qu’est-ce que tu veux faire ? » Fiona a demandé d’un air un peu furieux. Elle a aussi trouvé que cet homme l’a fait exprès.En tant que leur ancienne professeure, elle pouvait encore leur faire des reproches même s’ils étaient déjà diplômés. Auparavant, elle pouvait les apprivoiser. Maintenant, elle était encore capable. « Madame Lefèbvre, je ne veux rien faire. C’est André qui veut tout payer. Je ne l’ai pas forcé. » Elliott a dit d’un air calme.« Oh ! Je te le dis, André est plus conscient que toi. Il est riche maintenant, il veut donc faire des dons pour notre lycée. Et toi ? »« Oui, oui, oui. Vous avez raison, Madame Lefèbvre. Pour vous, André est toujours un bon élève. Et nous, nous sommes moins excellents que lui. »« Quand j’étais votre professeure, je n’ai jamais donné des cours à André après l’école. Je vous ai traités de la même façon. Tu n’es pas aussi excellent que lui, c’est de ta faute. En plus, André a fait les études en travaillant à temps partiel. Comme