Tous les chapitres de : Chapitre 501 - Chapitre 510

En effet, Nathalie voulait dire à Iris qu'elle n'avait jamais passé la nuit avec André, de plus, elle ne lui avait jamais donné un bisou. Tout au plus, ils n'avaient fait que se prendre la main ou se prendre dans les bras. Bien qu'elle ne sache pas du tout ce qu'il pensait, elle ne voulait pas le pousser à faire cela. À ce moment-là, même Roland n'en pouvait plus et a pris la parole : « Iris, pourquoi es-tu devenue tellement impulsive ? Nathalie reste encore une jeune fille, n'est-ce pas ? Toi, sa mère, ne peux pas faire cela ? Les autres mères ont demandé à leur fille de bien se protéger, mais toi, qu'est-ce que tu as fait ? Pourquoi veux-tu que notre fille passe la nuit avec son copain ? » Ayant entendu cela, Iris s'est mise en colère. Elle s'est levée tout d'un coup et l'a contredit d'un ton fâché : « Roland, tout cela est à cause de toi. En effet, pendant la vie lycéenne, notre fille était déjà sa copine, pourquoi m'as-tu donné le tort ? Pourquoi tu ne lui as pas demand

Ensuite, Rosine et André sont entrés dans une autre chambre au milieu de laquelle il y avait une grande table ronde, sur laquelle il y avait beaucoup de boîtes en bois. Dans ces boîtes, il y avait sans doute des ingrédients. André s'est avancé vers la table et a pris une boîte en bois dans la main, après qu'il l'avait ouverte, il sentait tout d'abord une fragrance tout à fait fraîche, et se sentait vraiment bien à l'aise. Avant de vérifier cet ingrédient, il a déjà su que c'était sans aucun doute un trésor. En effet, dans la boîte, il y avait un ginseng plus grand que la pouce, il avait au moins une centaine de racines. Avec la médecine traditionnelle du Pays de Dragon, il a commencé à examiner ce ginseng dans la boîte, tout d'abord, il a vérifié son apparence et a senti son odeur, à la fin, il a posé une racine dans sa bouche. « André, comment ça va ? » À ce moment-là, Rosine a demandé avec inquiétude, parce qu'elle avait peur que ce ginseng ne puisse pas sauver Aldo. En r

À ce moment-là, même Edgar avait aussi des larmes dans ses yeux. En effet, à cause de sa faiblesse, sa fille chérie ne devait grandir que dans le Mont d'Olympe, et n'est revenue que deux fois pendant une vingtaine d'années. Alors, il se sentait tout à fait mélancolique. Mais ayant vu sa fille, il trouvait qu'elle était heureuse dans le Mont d'Olympe. « Papa, maman, où est mon grand-père ? » À cet instant, Valérie a demandé. En réalité, elle savait que son grand-père la chérissait bien dès sa naissance. La dernière fois, c'était aussi lui qui l'avait accueillie quand elle était revenue, mais cette fois-ci, elle ne l'a pas encore vu. « Ton grand-père a été gravement blessé au cours des combats avec d'autres hommes il y a trois ans et il doit encore rester au lit maintenant. Tu peux le voir tout de suite. En effet, tu lui manques beaucoup, il veut te voir avant de mourir. Maintenant, il peut enfin te voir. » Edgar a répondu avec un air triste. En effet, il se sentait très

« Mais arrière-grand-père... » À ce moment-là, Rosine voulait dire quelque chose, mais Aldo l'a empêchée. « André, je sais ce que tu veux dire. Mais moi, je suis déjà au seuil de la mort, cette fois-ci, c'est un miracle que je puisse survivre, alors, je te remercie beaucoup. De plus, je ne tiens plus à mon espérance de vie, mais j'espère seulement que tu peux faire des progrès le plus vite possible, après ma mort, tu devras guider notre pays. » Aldo a dit. « Rassurez-vous, Monsieur Cousteau, je vais faire des progrès. » André a hoché la tête. « Très bien. Je vais aussi éliminer certains malfaiteurs spéculant sur le Pays de Dragon avant ma mort, avec cela, tu ne seras plus très fatigué. » Aldo a souri. À ce moment-là, André était muet, parce qu'il ne savait pas du tout comment convaincre cette personne âgée qui tenait au destin du Pays de Dragon à tout prix. Alors, il ne devait que faire des efforts sans cesse, et devenir plus fort que lui avant qu'Aldo ait rempli sa tâc

À ce moment-là, dans la capitale, dans la Résidence des Chirac. Adrian, Nino et les deux doyens sont déjà rentrés dans la chambre des hôtes, en même temps, Valérie est venue dans la chambre de son grand-père. Un vieil homme dont le visage était rempli par des rides et dont les cheveux étaient poivre-sel était couché sur le lit. C’était justement Othello, grand-père de Valérie, père d'Edgar. À cet instant, elle était assise près du chevet, Edgar et Emma se tenaient debout près d'elle. « Grand-père, ne t'en fais pas, je peux te guérir. » Valérie l'a rassuré avec des yeux rouges. En fait, elle était la fille aînée de toute la famille. Pendant son enfance, Othello l'avait beaucoup chérie et l'avait toujours accompagnée. Quand elle était rentrée la dernière fois il y avait dix ans, son grand-père était en bon état, mais à sa surprise, dix années après, Othello restait au lit depuis déjà trois ans. « Ma chère Valérie, je suis heureux de te voir avant ma mort, tu me manques beauco