All Chapters of Punie par son amour: Chapter 301 - Chapter 310

Cécile a levé les yeux vers la femme d'en face et dit froidement : « Désolée, mademoiselle, je ne vous connais pas ! » « Quoi ! », Mélanie Min était étouffée et ne pouvait presque pas respirer, « Es-tu aveugle ? Tu ne me reconnais pas ? » Cécile ne voulait pas du tout lui parler. Elle venait de revenir dans la ville, capturée par Sébastien. Les personnes qu’elle avait offensées il y avait six ans attendaient maintenant sa mort avec impatience. Et juste avant-hier, elle avait de nouveau offensé une grande star dans la boîte. Elle ne savait même pas le nombre précis de personnes qu’elle avait offensées. Elle s'en fichait tout simplement. C'était la même chose que quand on avait trop de dettes, on ne s’en souciait plus. Quoi qu'il en soit, Sébastien et la famille Fu avaient reconnu Vanille. Tant que quelqu'un prenait soin d'elle, tant qu'elle était en sécurité, Cécile n'avait pas peur d'offenser qui que ce soit. Elle n'a même pas regardé Mélanie et a dit sans expression

Soudainement, Tristan a tenu la main de Cécile avec surprise : « Cécile, Tu m’as pardonné n'est-ce pas ? Enfin, Tu m’as pardonné. » Non loin de là, Quentin, qui regardait tout cela, était trop anxieux. Il était inquiet pour Tristan. « Maître Chu, Vous voulez mourir ? Pensez-vous que c’est votre grand-père qui vous a sauvé ? Si Maître Fu veut votre vie, personne ne peut vous sauver ! Lâchez sa main vite ! » pensait-il. À l'autre bout, Cécile a fait de son mieux pour se libérer de Tristan. Elle a reculé de quelques pas. Calmement, elle l’a regardé : « Tristan, pourquoi ne comprends-tu pas ? Nous sommes différents ! Peu importe ce que tu fais, tu as toujours le groupe Chu comme soutien. Tu as des parents, des grands-parents, des oncles et des cousins pour te protéger. Et moi ? Autrefois tu étais la lumière la plus brillante dans ma vie. Et pour garder cette lumière, j’étais prête à rester dans l’ombre durant toute ma vie, c’est à dire être ta maîtresse. Mais je ne savais p

Dans les documents que Sébastien a remis à Cécile, il était clairement indiqué de quelle université Cécile était diplômée, son expérience post-diplôme, ainsi que son diplôme universitaire. La photo sur le certificat de fin d'études était une photo d’elle quand elle était plus jeune. Cécile a regardé Sébastien abasourdie : « Quand ... Quand m'as-tu aidé à faire cela ? »Il a déclaré sans ambages : « Je ne veux pas que la mère de ma fille soit incapable de trouver un emploi sans diplôme universitaire ! » Cécile s’est mordu les lèvres : « Merci. » Sébastien n'a pas parlé non plus. Cécile était un peu embarrassée. Elle savait que ce que Sébastien avait fait pour elle était entièrement pour le bien de leur fille Vanille. Il ne devrait donc avoir aucune affection pour elle, n'est-ce pas ? Mais de toute façon, elle en était satisfaite. Alors, quand Sébastien lui a dit « Vanille changera son nom de famille en Fu à l'avenir », elle n’a pas hésité et a dit oui. Il lui a demandé : «

Perplexe, Cécile le regardait : « Pourquoi ? Tu veux qu’ils m'acceptent ? » Après lui avoir demandé, elle a souri calmement : « Je ne pense pas qu'un tel honneur me reviendra. Si j'y vais, il vont se moquer de moi. Il vaut mieux ne pas y aller. »Ces phrases ont fait taire Sébastien. Il a soudainement lâché sa main et en a profité pour s'échapper dans sa chambre. L'ancienne maison de la famille Fu ! Elle y est allée deux fois. La première fois, Sébastien l'y avait emmenée alors qu'elle venait juste de sortir de prison. Et la deuxième fois, c’était quand elle a été appelée par Renaud Fu à la veille de son évasion. Cette fois-là aussi, elle avait été humiliée. C’est pourquoi elle ne voulait plus y aller. Pour le moment, elle voulait simplement trouver un travail en toute tranquillité. Après avoir fermé la porte de la chambre, elle a de nouveau regardé les documents que Sébastien lui avait préparés. Pour être honnête, elle était quand même très reconnaissante pour ce qu'il a

Le père et la fille avaient des visages étonnamment similaires. Le père était grand et son costume lui allait très bien, dégageant une aura froide et dominatrice sur tout son corps. La petite fille qu'il tenait par la main était toute rouge, à la fois festive et ludique. Elle était juste un peu au-dessus des genoux de son père. Elle était vraiment mignonne. Mais si on la regarde attentivement, on pourrait voir qu’elle était aussi très arrogante, très méprisante. Les deux marchaient lentement, main dans la main, assez pour choquer tout le monde. Pas plus tard qu'hier, le vieil homme Renaud a appelé Sébastien et leur a demandé de venir chez lui pour un banquet. Ces dignitaires qui avaient une bonne relation avec la famille Fu ont plus ou moins entendu parlé du fait que Sébastien avait attrapé une femme dont la fille lui ressemblait beaucoup. À ce moment, ils ont vu que Sébastien a ramené seulement l'enfant dans la vieille maison, mais pas la mère. Ils savaient que Sébastien avait