Au moment où les gardes étaient en mesure de prendre la mère de Azoumi pour répondre aux desiderata du roi, un tambour retentit au seuil de la cour royale. Les yeux se rivent immédiatement vers le son du tambour. Là, un spectacle passait en filme. Azoumi dansait avec avidité dans tous les sens avec sa souplesse. Avec les larmes aux yeux, elle entonna un chant mélancolique :- Prenez pitié mon roi, prenez pitié mon prince. Prenez pitié mon roi, prenez pitié mon prince. Tout ce dont vous m’accusez, je l’ai fait. Oui je l’ai fait mais épargnez la vie de mes géniteurs. Je pelures mes pelures d’enfant et je coule mes larmes de remord sur vos pieds. Pitié pour moi, pitié pour moi, pitié mon roi, pitié mon prince. Tout ce dont vous m’accusez, je l’ai fait, oui je l’ai fait mais laissez sauve mes parents. Je m&rsqu
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