......... Mon cœur battait très fort. Je pressai les pas et débouchai sur une grande voie. La chaussée était remplie de véhicules de toutes marques et de toutes les cylindrées. Désormais debout au bord de la route, je jubilais intérieurement.
Couverte de boue, de crasse et d'ordure, je ressemblais à un extra terrestre ou à un zombie au milieu des rares usagers qui envahissaient cette grande artère. Le jour ne devrait plus être loin car à voir la nature, la nuit s'éloignait déjà à grands pas. Je regardai autour de moi et ne vis que des inscriptions en anglais. La circulation devenait dense. Ne sachant que faire ni où aller, je marchait le long du trottoir. Je faisais des gestes de mains et parlais aux passants; mais nul ne m'accordait le moindre
............👉 Merci Docteur; mais dites moi, quand pourrai-je quitter ici?👉 Dès que possible ma puce. Prie d'abord afin que cette intervention donne un bon résultat ; si non, tu devras t'attendre à un greffage comme je te l'avais dit.👉 C'est compris. Au revoir Docteur. La doctoresse Latifath OUSHA s'en alla. Mon second sauveur vint me voir. Je séjournai dans cet hôpital pendant deux mois. A part ce monsieur de la Pajero, je ne reçus aucune autre visite car je n'avais personne dans cette ville de ABIA State. Ce messie était toujours à mon chevet jour comme nuit; comme si cela était pour lui une obligation. Je faisais presque partie de don quotidien. A chacune de ses visites, ses bras étaient chargés de cadeaux pour moi. Nous avions sympathisé et étions très liés.De nos échanges, cet homme sut tout de moi; de mon pass
J'en avais marre d'être là brebis galeuse de la famille, j'en avais marre d'être toujours relégué au second plan, j'en avais marre de toujours voir ma sœur cité en exemple. C'était elle qui avait réussi, qui avait fait un beau et bon mariage, qui avait fait de longues études, qui ait réussi, moi je n'étais que la roue de secours, j'avais même l'impression que s'il le pouvait mes parents m'auraient donné aux enchères. Je ne savais pas pourquoi mais il aimait elle que moi et je ne le supportais plus, j'étais jalouse d'elle à la limite je la détestais, elle avait tout ce dont je voulais, tout ce que je recherchais, elle avait fait de longues études et était ingénieur biologiste dans un cabinet privé , elle était marié à un homme d'affaires qui gagnait des millions par mois, elle ne manquait de rien et av
Quand j'ai franchis le seuil d'abidjan j'étais émerveillée, j'étais comme une petite fille devant le père Noël, j'étais juste bouche bée b, je n'avais pas de mot, je ne cessais de dire à maman comment c'était beau, elle ne faisait que sourire, tous ces gratte-ciel m'emrveillait, j'étais en admiration, la voiture qui était venue nous chercher même respirait le luxe. Nous nous sommes arrêtés devant un grand portail, il a klaxonne et devant mes yeux se sont offert une très belle maison avec une piscine que je pouvais apercevoir de loin, je savais que la grande sœur vivait dans l'opulence mais je ne savais pas que c'était à ce point, les vêtements que je portais paraissaient en contraction avec ce beau tableau, je me suis faite toute petite. Clarisse était la avec yvan et précieuse ces 2 enfants que je connaissais déj&ag
C'est vrai que j'avais commencé à travailler dans son magasin mais je n'étais pas à l'aise j'avoue que je méritais mieux, en plus de ça je jouais à la domestique à la maison et à la nounou avec ses enfants pourri gâté, quand je serai la maitresse de maison beaucoup de choses changeront. Je le seduisais lentement et sûrement et je savais y faire, je savais qu'il succomberais à mon charme et les dames du marché m'aidait bien avec de petits topos et des mixtures sans savoir que c'était le mari de ma sœur que je voulais. Quand on se retrouvait seule, je portais des tenues tout autant sexy les unes que les autres, je m'arrangeais à écarter mes jambes pour laisser apparaitre ma chatte bien épilée et souvent je faisais semblant de me masturber devant lui en émettant de longs gémissements, je savais que cela le rendait fou mais
J'entendais ma soeur et ses bâtards crier partiit dans la maison savoir que je venais de coucher avec son mari dans leur chambre conjugale, j'éteins la lumière pour profiter d'un bon sommeil réparateur. Le lendemain je me levai pour aller au travail comme d'habitude, je racontais mes exploits à mes collègues sans leur préciser que c'était mon beau-frère, elles me donnèrent à nouveau des mixtures à introduire dans mon sexe avant les rapports et d'autres quand je lui faisais la pipe, on rit de tout et de rien. Je m'apprêtais à quitter le magasin pour mes cours du soir lorsque je vis la voiture de charles venir se garer devant, j'étais surprise mais pas étonnée, je montais à l'avant de cette belle 4*4 aux vitres teintées et au fauteuil relaxant et à la climatisation inégalable, il était aussi beau que dans mes souvenirs et
Après nos ébats habituels, je me suis recroquevillée sur moi-même, il m'a demandé ce qui n'allait pas, il m'a demandé si je n'avais pas aimé. Je me suis mise à pleurer, il m'a prise dans ses bras, il m'a dit dis moi tout stp, te voir triste me brise le cœur, tu sais que je t'aime et je suis prêt à tout pour toi. Je me suis calmée et je lui ai dit d'un air coupable je suis enceinte, charles j'attends un enfant de toi, je ne sais quoi faire. Il s'est levé subitement et il m'a dit tu plaisantes je suppose, à ton âge tu ne sais pas prendre de précautions, je suis mariée à ta sœur, que va t'elle en penser? Tu t'es comportée comme une véritable gamine, tu vas avorter cet bâtard et ce n'est pas à discuter. Je me suis mise à pleurer, je lui ai dit cet enfant verra le jour, c'est le fruit de notre amour, tu penses que je ny ai
Quand je me suis réveillée il était à mes cotés, je ne cessais de répéter mon bb, mon bb, il m'a tenu délicatement la main et il m'a dit ne t'inquiète pas ma puce notre bb se porte bien en plus c'est un garçon et il sera mon héritier, tu seras libéré ce matin. J'étais heureuse de l'entendre parler ainsi, mon coeur ne cessait de se gonfler de joie. D'une voix triste je lui ai demandé et clarisse comment l'a t'elle pris? J'ai essayé crois moi dis je en pleurs de lui expliquer en douceur que le moment venu elle saurait qui est le père mais elle s'est mise à m'insulter et à me traiter de tous les noms et la suite tu le sais. Il m'a fait une bise sur le front pour me calmer et il m'a dit calme toi stp pense au bb, ne t'inquiète pas j'ai déjà réglé cette histoire. C'est donc main dans la main et unis plus qu'a
La mort de papa m'a déstabilisé, je l'aimais tant, tout ce que j'avais fait c'était pour qu'il soit fière de moi, j'avais mal très mal, j'avais un mal que je ne pouvais décrire, mon papa, mon papoush était parti me laissant seul affronter les problèmes de ce monde. Il devait être inhumer le même week-end compte tenu qu'il était fêwa, chez nous selon la tradition il devrait être enterré automatiquement et sans rien. Quand je suis arrivée au village avec charles dans la ville de Bouaflé, ma famille m'a rejeté, maman me tenait pour responsable de la mort de mon père. Mes frères étaient là et ils m'ont interdit d'avoir accès au cadavre de mon propre père, j'avais mal, j'étais déçue, je ne cessais de pleurer, il me traitait de meurtrière, de sorcière, moi je voulais juste voir mon papa