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Penulis: RS WILD
last update Terakhir Diperbarui: 2025-04-15 23:52:32

— Tu penses vraiment mériter une place à notre table ? demanda la mère de Maximus, sa voix douce comme du miel empoisonné, mais saturée d’un mépris qui semblait suinter de chaque mot. Après tout ce que t’as fait ? Retourner fouiner dans nos archives, remuer des secrets qui ne t’appartiennent pas… Tu crois qu’on est aveugles, petite bêta ? Que ton petit jeu passe inaperçu ?

Soléna garda le silence, la gorge si nouée qu’elle craignait que le moindre son ne se transforme en sanglot. Répondre, c’était tendre une corde pour qu’ils la serrent autour de son cou. Toute justification serait tordue, déformée pour nourrir leur mépris. Elle serra les poings, ses ongles mordant la chair tendre de ses paumes, la douleur devenant un point d’ancrage pour ne pas vaciller. Les regards de la famille pesaient sur elle, lourds comme des chaînes – certains froids, d’autres curieux, quelques-uns franchement railleurs, comme si elle n’était qu’un divertissement, une bête curieuse exposée pour leur amusement.
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    Allongée dans le lit, Soléna fixait le plafond, les ombres des poutres dansant dans la lumière pâle comme des spectres moqueurs. Le silence qui avait suivi le départ d’Alpha Maximus était plus oppressant encore que sa présence, un vide saturé de l’écho de ses derniers mots : Pas un mot. Pas un geste. Chaque syllabe résonnait dans son esprit, une chaîne invisible qui la maintenait clouée sur place. Les draps, froids contre sa peau nue, semblaient l’enserrer, amplifiant la sensation de vulnérabilité qui la rongeait. Son souffle, toujours irrégulier, emplissait la pièce, un son faible mais qui semblait assourdissant dans ce calme morbide.Elle serrait les poings sous les couvertures, ses ongles s’enfonçant dans ses paumes jusqu’à ce qu’une douleur sourde la ramène à elle. Un, deux, trois… Elle compta encore, un réflexe futile pour ancrer son esprit, pour empêcher ses pensées de sombrer dans le chaos. Mais chaque chiffre semblait amplifier l’angoisse qui montait en elle, une marée inexora

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    Soléna, le souffle court, sentit une larme couler sur sa joue, chaude contre sa peau glacée. Elle ne savait pas d’où venait cette larme – de la peur qui lui nouait les entrailles, de la colère qui bouillonnait en elle face à ce carnage, ou de cette étrange fascination qui la retenait, incapable de détourner les yeux. Elle était là, spectatrice d’un affrontement qui dépassait la simple rivalité, un combat où chaque coup portait le poids d’un passé qu’elle ne comprenait pas encore. Était-ce le destin de Maximus, de Cerbère, ou le sien propre qui se jouait sous ses yeux ? Luna grondait toujours, son cri résonnant dans l’esprit de Soléna, mais il y avait autre chose dans ce hurlement – une douleur, une perte, comme si sa louve pleurait quelque chose qu’elle-même ne pouvait nommer.Le vent sifflait dans la cour, portant avec lui l’odeur métallique du sang et la sueur âcre des combattants. Les torches crépitaient, leurs flammes dansant dans l’obscurité, jetant des ombres mouvantes sur les m

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