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Chapitre 409

Penulis: Ursule Joly
Janine était au téléphone avec la police, fixant Carole et Louise devant elle.

Louise avait un air triomphant : « À quoi bon appeler la police ? Tu veux vraiment rendre public ton accord avec Monsieur Anthony ? »

Carole a changé légèrement de couleur, ne s'attendant pas à ce que Janine ait le courage d'appeler la police !

Cette dernière a souri faussement : « Oui, vous n'êtes pas toutes les deux témoins ? Il faut absolument apporter les preuves à la police, sinon comment comptez-vous faire arrêter Anthony ? »

Carole a immédiatement réagi et a dit rapidement : « Pourquoi appeler la police pour une chose si insignifiante ? Ça ne s'arrêtera donc jamais ? »

« Pourquoi ne pas appeler la police ? Après tout, je n'ai aucun souvenir des événements dont vous parlez. Si Louise a vraiment un ami qui m'a vu aller à l'hôtel, alors je suis sûrement tombée dans un piège et emmenée là-bas, et je dois absolument rechercher le responsable », a riposté Janine.

En entendant cela, Louise a enfin comp
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    Louise, en entendant cela, était furieuse au point de grincer des dents. C'était vrai, elle ne pouvait pas laisser Janine compromettre ses chances de se marier dans la riche famille Leclerc.Finalement, à contrecœur, Louise s'est dirigée Vers Janine : « Désolée, tout à l'heure, c'était juste des bêtises, ne le prends pas à cœur. »Janine la dévisageait de haut en bas : « Donc tu sais que c'était des bêtises, mais tu as parlé si sérieusement. En tant que femme, comment peux-tu être si malveillante ? »Louise s'est sentie prise au dépourvu. Même si elle n'était pas d'accord, elle devait temporiser. Elle ne pouvait absolument pas laisser Janine faire de cette histoire un scandale.Carole est intervenu : « Janine, regarde, Louise s'est excusée. Tu devrais vite appeler la police et leur dire que ce n'était qu'un malentendu. »Janine est restée de marbre : « J'attendrai l'arrivée de la police pour en parler. Mais avant qu'ils arrivent, Louise, tu devras m'aider un peu, en mettant en place

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    Après que Janine a terminé, elle a remarqué que les visages de Carole et de Louise avaient changé. Cette dernière était prête à exploser de colère, et a dit d'une voix enrouée : « Tu n'as pas appelé la police ? »« En effet, je voulais vous faire peur. »Janine, après avoir dit cela, a vu Louise se lever furieusement de sa chaise, pestant : « Janine, je vais te le faire payer ! Tu sais combien d'efforts j'ai fournis pour transporter ces lanternes ? Et tu oses me dire que tout ça n'était qu'une blague ! »Janine a reculé de quelques pas : « Tu devrais me remercier de ne pas avoir réellement appelé la police. Sinon, penses-tu que tu aurais pu tout finir dans les temps ? Mon choix d'appeler ou non a-t-il eu une influence sur le résultat d'aujourd'hui ? »Louise était perdue dans ses pensées, réalisant qu'elle avait été dupée par Janine. Carole était également en colère, mais maintenant elle était trop fatiguée pour s'en prendre à Janine. Elle s'est levée avec ses talons : « Louise, on

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    Paulin était assis sur sa chaise, observant calmement Franck. Les deux hommes se sont évalués mutuellement, puis Franck a tendu sa carte de visite : « Je suis avocat au cabinet XX de Marseille. Je suis ici aujourd'hui pour discuter des questions relatives au divorce de Madame Janine. »Paulin a jeté un œil à la carte de visite posée sur le bureau, puis a de nouveau fixé Franck : « Elle veut parler de quoi ? »Franck a sorti une pile de documents et l’a posé sur le bureau : « Voici le projet d'accord de partage des biens en cas de divorce. Il énumère les biens à répartir. Monsieur Paulin, vous pouvez le consulter. »Cependant, Paulin n'a même pas daigné regarder les documents : « Elle n'avait pas dit qu'elle ne voulait rien, qu'elle partirait les mains vides ? Pourquoi a-t-elle changé d'avis ? »Non seulement Janine avait changé d'avis, mais elle avait aussi envoyé l'avocat en chef de la famille Leclerc pour discuter avec lui !Très bien, elle était vraiment incroyable.En entendant

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    Janine a mis un moment à retrouver sa voix : « Franck, tu es en train de me faire une blague ? »« Je ne fais jamais de blagues. », a-t-il lancéJanine était à la fois amusée et exaspérée : « Alors, tu n'es pas encore allé voir Paulin, n'est-ce pas ? »« Je viens de le voir, je viens juste te chercher après l'école. », a-t-il répondu...C'était la fin, c'était la fin.Elle aurait dû clarifier les choses avec son cousin, cela aurait évité tout ça.Janine s'est tournée vers Franck : « Cousin, pourquoi tu ne m'as pas dit une chose aussi importante ? »« Janine, laisse-moi gérer cela pour toi, tu n’as pas à te faire du souci. Un divorce sans rien est tout simplement inacceptable. Ne crois pas qu’accepter de l’argent te rend vénale. Ce sont des discours toxiques que les hommes essaient d’inculquer aux femmes, simplement pour vous faire culpabiliser et vous empêcher de revendiquer ce qui vous est dû. Au final, ce sont eux qui en profitent », a ajouté Franck en tant qu'avocat de renom.En en

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    Il n'en revenait pas, ce célèbre avocat de Marseille s'était fait avoir par un homme.Janine a consolé Franck : « Bon, ce n'est pas de ta faute. Je n'avais pas l'intention de demander quoi que ce soit. Arrêtons-en là. »L'homme est resté silencieux, il avait du mal à accepter cela.« Cousin ~~ fais-moi plaisir, ne va pas discuter des questions de partage des biens avec Paulin. Je veux juste quitter la famille Cordier. » a-t-elle dit.Elle avait déjà perdu ce qu'elle considérait comme son bien le plus précieux, tout le reste lui importait peu.Franck, voyant les yeux pleins de larmes de sa cousine, a fini par soupirer. Il a alors compris la phrase de Cyril : Janine te supplie ! Peux-tu lui dire non ?C'était vraiment impossible de dire non !Mais d'un autre côté, promettre à sa cousine tout en n'avalant pas cette pilule, était frustrant.Après avoir rangé les documents, Janine est rentré chez elle, faisant comme si rien ne s'était passé.Une fois le dîner terminé et allongée dans son l

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    Paulin est resté figé après avoir entendu ces mots, une lueur d’incrédulité passant dans ses yeux sombres.Il a rétorqué instinctivement : « Impossible ! »Comment pourrait-il s'attacher à cette femme, Janine !Gaston l'a regardé avec sérieux : « Si tu n’as pas de sentiments pour Janine, alors pourquoi es-tu si sans défense à son égard ? Cela montre que, au fond de toi, tu lui fais confiance. De plus, vous êtes en plein conflit de divorce depuis si longtemps, et elle fréquente d’autres hommes, pourtant tu as pu tolérer cela jusqu’à maintenant. Est-ce que tu te sens bien avec ça ? »Les lèvres de l’homme se sont pincés froidement : « C'est par respect pour ma grand-mère. »Gaston a demandé: « Oui, avant son opération, tu pensais effectivement que Janine allait profiter de la situation pour s’accrocher à toi. Mais maintenant que l’opération est terminée, pourquoi n’avez-vous pas encore réglé le divorce ? Et quand elle a envoyé son avocat pour discuter du partage des biens, tu as signé sa

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    « Franck. »« Encore un membre de la famille Leclerc. La dernière fois, tu as dit que Janine avait une relation étroite avec Cyril. Est-ce que la famille Leclerc a des intentions envers la famille Cordier ? », a demandé GastonPaulin a bu une gorgée de vin rouge : « Ce n'est pas des intentions hostiles envers la famille Cordier, mais des intentions envers Janine. »Gaston a complété : « Écoute, frère, si tu es vraiment tombé amoureux de cette fille, vous n'avez pas encore finalisé le divorce, donc il te serait facile de la garder. Après tout, elle t'adorait tellement à l'époque, toujours autour de toi comme une petite épouse, si tu lui fais un peu de charme, elle reviendra à toi, non ? »En entendant cela, une phrase de Janine a traversé l'esprit de Paulin : « Tant que le nouvel amour arrive rapidement, il n'y a pas de tristesse, seulement de l'amour, » et « Tant que le nouvel amour est assez bon, l'ancien amour n'est pas tant inoubliable. »Il a pincé les lèvres : « Elle n'est pas si

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    Paulin fixait l'appel manqué, devinant presque pourquoi Janine l'avait appelé.Gaston ne savait plus quoi dire : « Fais comme tu veux ! »Il a froncé les sourcils, l'air perplexe : « Et si elle me demandait ce qui s'est passé aujourd'hui, je devrais répondre quoi ? »Sur ces mots, Gaston s'est couvert le visage, désespéré : « Dis-lui ce que tu veux, à ta guise. »C’était vraiment désespéré, son ami avait déjà perdu la tête.Paulin regardait son téléphone et, finalement, il n'a pas agi, le posant à côté de lui.Gaston, surpris, a demandé : « Tu ne vas pas lui répondre ? »L'homme, dans un ton fier, a rétorqué : « J'attends qu'elle vienne me voir. »Gaston a haussé un sourcil : « T’es sûr ? »Paulin a dit : « Elle a tout cet argent, elle ne pourra sûrement pas bien dormir ce soir, elle viendra absolument me trouver. »Paulin affichait une expression convaincue, il connaissait cette femme, elle n'était pas matérialiste.Gaston, voyant son ami adopter cette attitude hautaine, n'a pu s'emp

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    Après avoir mangé ce morceau de pâtisserie, Janine a bu une gorgée d’eau. Elle a alors remarqué que Paulin la fixait sans détour.Ses yeux, longs et profonds, étaient rivés sur elle.Il ne disait rien, mais sous la lumière tamisée, ses traits ciselés paraissaient encore plus marqués.Son regard la mettait mal à l’aise. Elle a baissé les yeux et a murmuré : « Il se fait tard, tu devrais rentrer. »Elle l’a littéralement chassé de chez elle, sans même lui accorder un dernier regard.Elle ne voyait pas pourquoi elle devrait être aimable avec lui. Après tout, ils étaient divorcés maintenant. Peu importe ce qu’il faisait, elle s’en fichait complètement.Paulin a fini par se lever du canapé. Sa silhouette imposante s’est dressée sous la lumière, projetant une ombre longue sur le sol.L’espace, déjà exigu, paraissait encore plus étroit à cause de sa présence, son corps obstruant la lumière devant elle.Son ombre l’enveloppait, et son regard était à la fois sombre et insondable.Elle a senti s

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    Sérieux ? Il choisissait ce moment pour venir la perturber ?Peu de temps après, elle a cru entendre la sonnerie de la porte d’entrée.Janine s’est redressée d’un coup dans son lit.Il n’aurait quand même pas osé monter, si ?Elle a réfléchi un instant. Elle devait sûrement avoir mal entendu. Paulin ne viendrait pas jusqu’ici pour la voir !Mais elle a ensuite entendu qu’on frappait à la porte.Sans perdre une seconde, elle a ouvert la porte de sa chambre, juste à temps pour voir sa tante se diriger vers l’entrée.« Il est tard... C’est qui ? »« Tante Solène... »Elle a voulu l’arrêter, mais c’était trop tard.La porte s’est ouverte, révélant Paulin sur le seuil. Il portait un ensemble sportif gris, bien loin de son allure stricte et impénétrable en costume. Il avait l’air... plus accessible, plus ancré dans la vie quotidienne.Janine a esquissé un sourire gêné, mais poli. Ce salaud était vraiment monté jusqu’ici !Solène, en reconnaissant Paulin, a ouvert de grands yeux, stupéfaite.

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    Deux hommes se sont croisés dans le couloir. L’un affichait une maturité froide et impitoyable, tandis que l’autre dégageait une distance glaciale et détachée.L’atmosphère semblait d’un calme absolu.Alors qu’ils allaient se croiser, Paulin n’a pas pu s’empêcher de prendre la parole : « Elle et toi, ça ne marchera pas. »Un léger sourire a effleuré les lèvres d’André : « En tant qu’ex-mari, tu te mêles un peu trop de ce qui ne te regarde pas. »« Arrête ! »Paulin a pivoté légèrement, son regard perçant et glacial : « C’est un avertissement. De toute façon, ta famille n’acceptera jamais les enfants qu’elle porte. Elle est têtue, elle ira jusqu’au bout pour les garder. »« Non. Ma famille sera ravie d’accepter les enfants qu’elle porte. Parce que moi, je suis stérile. Je n’aurai jamais d’enfant. Si je l’épouse, j’aurai à la fois une femme et des enfants. Et en plus, ce sont des jumeaux. Ma mère ne va pas en revenir de joie. »D’un ton léger, André a lâché ces mots avant de tourner les

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    Si les autres frères l'apprenaient, elle ne pourrait probablement pas les retenir.Alors qu'elle s'apprêtait à répondre, elle a soudain remarqué le reflet sur la bouteille de vin rouge derrière elle – l'homme debout à la porte n'était autre que Paulin.Quelle coïncidence, sa salle privée était juste à côté ?Depuis combien de temps cet homme odieux se tenait-il là ?Janine a hésité un instant, puis a regardé André en face d'elle : « Parce que l'enfant n'est pas de lui. »En entendant cette réponse, une lueur de surprise a traversé le regard d'André, comme s'il ne croyait pas tout à fait ses paroles.Après avoir parlé, Janine a continué à surveiller du coin de l'œil le reflet sur la bouteille de vin.Peu de temps après, la silhouette s'est éloignée et est retournée à l'intérieur.Janine a poussé un léger soupir de soulagement. Pour l'instant, elle ne voulait pas que Paulin sache que l'enfant était de lui, car elle était déterminée à emmener l'enfant avec elle.Le repas était à moitié te

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    Quand Janine a vu Paulin, elle a soudain réalisé à quel point le monde était petit. Comment pouvait-elle le croiser ici, de toutes les places ?Paulin se tenait au milieu d'un groupe, sa haute stature et sa démarche assurée le rendant particulièrement remarquable.Mais quand il a aperçu Janine en compagnie d'un homme, son pas s'est légèrement décalé, et son regard s'est fixé intensément sur elle.En tant que grand patron, quand Paulin regardait quelque part, les autres suivaient naturellement son regard.Ses lèvres minces se sont serrées en une ligne froide. Pour être honnête, il était surpris de la voir ici.Mais ce qui l'a encore plus surpris, c'était de la voir dîner avec un homme inconnu.Son regard s'est immédiatement assombri. Chaque fois qu'il voyait un homme à ses côtés, son humeur devenait exécrable.L'atmosphère dans le hall est devenue étrangement tendue.Janine ne s'attendait pas à croiser Cet homme odieux ici. Elle a ignoré Paulin et s'est tournée vers André : « Allons-y.

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    « Parler dans le dos des gens, ce n’est pas très bien non plus, n’est-ce pas ? » a déclaré André.Janine a immédiatement senti un frisson lui parcourir le dos. Elle s’est retournée et a vu le beau médecin debout à l’entrée, appuyé contre le cadre de la porte, le regard pénétrant fixé sur elle.Elle ne s’attendait pas à se faire prendre sur le fait.Elle a forcé un sourire : « Euh... ce n’est pas ce que je voulais dire. En général, plus un médecin est strict, meilleur il est. »« Janine, ne le prends pas trop à cœur, il est toujours comme ça », a dit son frèreCyril a tapoté son épaule : « À propos, Janine, on sort dîner ce soir ? C’est rare que certains viennent en mission à Paris pour une semaine. Il a fait le déplacement pour me voir, alors je dois au moins l’inviter à manger. »« Tu n’es pas si important que ça. J’ai entendu dire que tu avais retrouvé ta sœur, alors je suis venu spécialement pour voir à quoi elle ressemble », a ajouté André.Janine a cligné des yeux. Il était venu s

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    Janine a réfléchi attentivement avant de répondre : « Il ne devrait pas y avoir de problème, Mamie. Y a-t-il quelque chose que tu aimerais que je fasse pour toi ? »« Cette opération était une question de vie ou de mort, et après avoir finalement quitté l'hôpital et commencé à récupérer, j'ai décidé d'organiser une petite fête pour célébrer cela. Je voudrais t'inviter, ainsi que tes frères, à y participer. Penses-tu qu'ils auront du temps ? » a demandé la vieille dame NadineJanine ne s'attendait pas à ce que la grand-mère de Paulin invite également ses frères à la fête.Cette image était si indescriptible qu'elle osait à peine y croire !Elle a hésité un moment : « Euh, Mamie, je devrais en parler à mes frères d'abord. Je te répondrai plus tard. »Après avoir raccroché, Janine était distraite pendant son petit-déjeuner.Comment allait-elle aborder ce sujet avec ses frères ?À midi, Janine a commencé à sentir un certain inconfort dans son ventre, comme si quelque chose le frappait.Inq

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    Josiane s’est empressée de parler : « Janine, en tant qu’anciennes camarades de classe, je t’en prie, pardonne-moi cette fois. Je n’oserai plus jamais. L’entreprise de ma famille a fait faillite, mon père a été emmené par des hommes, et si cela continue, nous n’aurons vraiment plus aucun recours. »« Et quand tu harcelais les autres, quand tu répandais des rumeurs malveillantes pour nuire aux autres, tu n’as jamais pensé que tu en arriverais là un jour ? »En voyant Josiane rester sans voix, Janine lui a lancé un regard froid : « Je te le répète, je ne te pardonnerai pas. »Elle allait partir, mais Josiane s’est agenouillée soudainement : « Janine, pardonne-moi cette fois, je m’excuserai publiquement dans le groupe des anciens élèves et je publierai un message épinglé sur mon réseau social. Je n’oserai plus jamais ! »« Lâche-moi ! Pourquoi est-ce que tu penses que tu peux harceler les autres quand tu veux, et maintenant que tu t’excuses, les autres doivent forcément te pardonner ? Le

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    Janine se tenait au bord de la route animée, le regardant attentivement.Autour d’eux, les passants allaient et venaient, nombreux à se retourner pour admirer l’apparence exceptionnelle de Paulin.La lumière des réverbères n’était pas très vive, et le regard de Paulin est devenu légèrement mal à l’aise. Il a répondu instinctivement : « Janine, tu es si narcissique ? »Après avoir prononcé ces mots, Paulin a serré immédiatement ses lèvres minces, éprouvant un certain regret.Janine a hoché la tête : « Puisque tu ne m’aimes pas, alors ne te montre pas si souvent à mes côtés et ne faites pas toutes ces choses gentilles pour moi. Ça me donne l’impression que tu es tombé amoureux de moi. »Paulin a avalé difficilement : « Je fais tout cela parce que ... parce que je veux te compenser. Ces trois dernières années, je t’ai vraiment négligée. »Janine n’était pas le genre de fille visant l’argent qu’il avait imaginée.Les yeux de Janine ont picoté, et un goût amer lui est venu à la bouche. Elle

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