Share

Chapitre 411

Auteur: Ursule Joly
Après que Janine a terminé, elle a remarqué que les visages de Carole et de Louise avaient changé.

Cette dernière était prête à exploser de colère, et a dit d'une voix enrouée : « Tu n'as pas appelé la police ? »

« En effet, je voulais vous faire peur. »

Janine, après avoir dit cela, a vu Louise se lever furieusement de sa chaise, pestant : « Janine, je vais te le faire payer ! Tu sais combien d'efforts j'ai fournis pour transporter ces lanternes ? Et tu oses me dire que tout ça n'était qu'une blague ! »

Janine a reculé de quelques pas : « Tu devrais me remercier de ne pas avoir réellement appelé la police. Sinon, penses-tu que tu aurais pu tout finir dans les temps ? Mon choix d'appeler ou non a-t-il eu une influence sur le résultat d'aujourd'hui ? »

Louise était perdue dans ses pensées, réalisant qu'elle avait été dupée par Janine.

Carole était également en colère, mais maintenant elle était trop fatiguée pour s'en prendre à Janine.

Elle s'est levée avec ses talons : « Louise, on
Chapitre verrouillé
Continuer la lecture sur GoodNovel
Scanner le code pour télécharger l'application

Related chapter

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 412

    Paulin était assis sur sa chaise, observant calmement Franck. Les deux hommes se sont évalués mutuellement, puis Franck a tendu sa carte de visite : « Je suis avocat au cabinet XX de Marseille. Je suis ici aujourd'hui pour discuter des questions relatives au divorce de Madame Janine. »Paulin a jeté un œil à la carte de visite posée sur le bureau, puis a de nouveau fixé Franck : « Elle veut parler de quoi ? »Franck a sorti une pile de documents et l’a posé sur le bureau : « Voici le projet d'accord de partage des biens en cas de divorce. Il énumère les biens à répartir. Monsieur Paulin, vous pouvez le consulter. »Cependant, Paulin n'a même pas daigné regarder les documents : « Elle n'avait pas dit qu'elle ne voulait rien, qu'elle partirait les mains vides ? Pourquoi a-t-elle changé d'avis ? »Non seulement Janine avait changé d'avis, mais elle avait aussi envoyé l'avocat en chef de la famille Leclerc pour discuter avec lui !Très bien, elle était vraiment incroyable.En entendant

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 413

    Janine a mis un moment à retrouver sa voix : « Franck, tu es en train de me faire une blague ? »« Je ne fais jamais de blagues. », a-t-il lancéJanine était à la fois amusée et exaspérée : « Alors, tu n'es pas encore allé voir Paulin, n'est-ce pas ? »« Je viens de le voir, je viens juste te chercher après l'école. », a-t-il répondu...C'était la fin, c'était la fin.Elle aurait dû clarifier les choses avec son cousin, cela aurait évité tout ça.Janine s'est tournée vers Franck : « Cousin, pourquoi tu ne m'as pas dit une chose aussi importante ? »« Janine, laisse-moi gérer cela pour toi, tu n’as pas à te faire du souci. Un divorce sans rien est tout simplement inacceptable. Ne crois pas qu’accepter de l’argent te rend vénale. Ce sont des discours toxiques que les hommes essaient d’inculquer aux femmes, simplement pour vous faire culpabiliser et vous empêcher de revendiquer ce qui vous est dû. Au final, ce sont eux qui en profitent », a ajouté Franck en tant qu'avocat de renom.En en

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 414

    Il n'en revenait pas, ce célèbre avocat de Marseille s'était fait avoir par un homme.Janine a consolé Franck : « Bon, ce n'est pas de ta faute. Je n'avais pas l'intention de demander quoi que ce soit. Arrêtons-en là. »L'homme est resté silencieux, il avait du mal à accepter cela.« Cousin ~~ fais-moi plaisir, ne va pas discuter des questions de partage des biens avec Paulin. Je veux juste quitter la famille Cordier. » a-t-elle dit.Elle avait déjà perdu ce qu'elle considérait comme son bien le plus précieux, tout le reste lui importait peu.Franck, voyant les yeux pleins de larmes de sa cousine, a fini par soupirer. Il a alors compris la phrase de Cyril : Janine te supplie ! Peux-tu lui dire non ?C'était vraiment impossible de dire non !Mais d'un autre côté, promettre à sa cousine tout en n'avalant pas cette pilule, était frustrant.Après avoir rangé les documents, Janine est rentré chez elle, faisant comme si rien ne s'était passé.Une fois le dîner terminé et allongée dans son l

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 415

    Paulin est resté figé après avoir entendu ces mots, une lueur d’incrédulité passant dans ses yeux sombres.Il a rétorqué instinctivement : « Impossible ! »Comment pourrait-il s'attacher à cette femme, Janine !Gaston l'a regardé avec sérieux : « Si tu n’as pas de sentiments pour Janine, alors pourquoi es-tu si sans défense à son égard ? Cela montre que, au fond de toi, tu lui fais confiance. De plus, vous êtes en plein conflit de divorce depuis si longtemps, et elle fréquente d’autres hommes, pourtant tu as pu tolérer cela jusqu’à maintenant. Est-ce que tu te sens bien avec ça ? »Les lèvres de l’homme se sont pincés froidement : « C'est par respect pour ma grand-mère. »Gaston a demandé: « Oui, avant son opération, tu pensais effectivement que Janine allait profiter de la situation pour s’accrocher à toi. Mais maintenant que l’opération est terminée, pourquoi n’avez-vous pas encore réglé le divorce ? Et quand elle a envoyé son avocat pour discuter du partage des biens, tu as signé sa

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 416

    « Franck. »« Encore un membre de la famille Leclerc. La dernière fois, tu as dit que Janine avait une relation étroite avec Cyril. Est-ce que la famille Leclerc a des intentions envers la famille Cordier ? », a demandé GastonPaulin a bu une gorgée de vin rouge : « Ce n'est pas des intentions hostiles envers la famille Cordier, mais des intentions envers Janine. »Gaston a complété : « Écoute, frère, si tu es vraiment tombé amoureux de cette fille, vous n'avez pas encore finalisé le divorce, donc il te serait facile de la garder. Après tout, elle t'adorait tellement à l'époque, toujours autour de toi comme une petite épouse, si tu lui fais un peu de charme, elle reviendra à toi, non ? »En entendant cela, une phrase de Janine a traversé l'esprit de Paulin : « Tant que le nouvel amour arrive rapidement, il n'y a pas de tristesse, seulement de l'amour, » et « Tant que le nouvel amour est assez bon, l'ancien amour n'est pas tant inoubliable. »Il a pincé les lèvres : « Elle n'est pas si

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 417

    Paulin fixait l'appel manqué, devinant presque pourquoi Janine l'avait appelé.Gaston ne savait plus quoi dire : « Fais comme tu veux ! »Il a froncé les sourcils, l'air perplexe : « Et si elle me demandait ce qui s'est passé aujourd'hui, je devrais répondre quoi ? »Sur ces mots, Gaston s'est couvert le visage, désespéré : « Dis-lui ce que tu veux, à ta guise. »C’était vraiment désespéré, son ami avait déjà perdu la tête.Paulin regardait son téléphone et, finalement, il n'a pas agi, le posant à côté de lui.Gaston, surpris, a demandé : « Tu ne vas pas lui répondre ? »L'homme, dans un ton fier, a rétorqué : « J'attends qu'elle vienne me voir. »Gaston a haussé un sourcil : « T’es sûr ? »Paulin a dit : « Elle a tout cet argent, elle ne pourra sûrement pas bien dormir ce soir, elle viendra absolument me trouver. »Paulin affichait une expression convaincue, il connaissait cette femme, elle n'était pas matérialiste.Gaston, voyant son ami adopter cette attitude hautaine, n'a pu s'emp

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 418

    « De toute façon, ça ne vous concerne pas ! » Après avoir dit cela, Janine s'est dirigée vers le bâtiment des cours. Carole, réalisant la situation, regardait sa silhouette s'éloigner, furieuse : « Janine, arrête-toi et explique-toi ! »Janine s'est retournée et a lancé un regard en arrière : « Ils vivent longtemps parce qu'ils ne se mêlent pas des affaires des autres ! Que j'apprenne ou non le piano, ça ne te regarde pas ! »Après avoir fini de parler, elle s'est éloignée, un léger sourire aux lèvres, ignorant complètement les paroles de Carole.Elle a recommencé à pratiquer le piano, qui était sa passion.Elle n’avait pas l’intention de participer à des compétitions ou de rejoindre l’équipe musicale cette fois-ci ; elle voulait simplement combler un regret d’enfance.Elle ne se souvenait plus très bien des événements de son enfance, mais en jouant du piano, elle pouvait vaguement se rappeler certains moments, bien que tout soit flou.Janine s'est rendue directement dans une salle d

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 419

    Carole regardait le bâtiment devant elle, écoutant cette mélodie de piano mêlée à tant d'autres musiques, réveillant complètement la peur enfouie dans ses souvenirs.Autrefois, après avoir menti pour revenir dans la famille Leclerc, elle avait eu une période où elle faisait des cauchemars, se voyant démasquée par la véritable héritière et chassée de la maison familiale, et devant mener une vie de misère.Un éclat sombre est passé dans ses yeux. Elle avait juré de ne jamais retourner à une vie de souffrance ! Peu importe le moyen, elle devait retrouver la véritable héritière des Leclerc avant la famille elle-même. C'était la seule façon pour elle de s'assurer une place, d’empêcher la vraie fille de la famille Leclerc de revenir et de la remplacer.La pièce de piano s'est terminée après quelques minutes.Mais Carole ressentait une sueur froide dans le dos, incapable de bien dormir ces derniers temps. Si les gars de la famille Leclerc la retrouvaient avant elle, ce serait la fin du m

Latest chapter

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 516

    Lorsque Janine a dit cela, elle a jeté un regard à ses frères devant elle : « Mais maintenant, je ne m'inquiète plus de ces choses, ce qui est passé est passé. Au moins, je sais que je n'ai pas été abandonnée, ma famille n'a jamais cessé de chercher mes traces. C'est suffisant pour moi. »Elle n'était pas seule, elle était aimée par sa famille.Vraiment, elle n'avait rien à regretter !Bruno a senti les larmes lui monter aux yeux et a dit d'une voix étranglée : « Janine, tu es vraiment trop gentille et raisonnable. »Il le savait, sa petite sœur était la personne la plus gentille, la plus adorable et la plus sage au monde !Janine a souri et répondu : « Allez, on y va, participons au dîner de fin d'année. Bien que je n'aie jamais eu de famille pour venir à mes réunions parents-professeurs quand j'étais petite, j'ai de la famille qui est venue à ma remise de diplôme, et ça me rend vraiment heureuse. »Les six hommes ont tous rougi, leur regard devenant légèrement humide. C'était bien sû

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 515

    Janine a entendu cela et a commencé à comprendre ce qui s'était réellement passé à l'orphelinat.Il semblerait que Carole, sachant que la personne que son frère cherchait c’était elle, avait choisi de mentir et de cacher la vérité, la remplaçant pour revenir dans la famille Leclerc en tant que fille adoptive, menant une vie de riche héritière.Bruno regrettait profondément.Il a fixé froidement Carole et a dit : « La famille Leclerc va poursuivre cette affaire. Prépare-toi à aller en prison. »Madame Pascaline, également furieuse, a ajouté : « Et concernant l'incident où mon fils a été blessé, je vais m'assurer que justice soit faite. Elle n'arrivait pas à croire que Carole ait osé sortir un couteau, blessant ainsi son fils.Madame Pascaline était convaincue que Carole était une folle.Heureusement que c'est Janine qui a épousé sa famille, et non cette femme folle qu'était Carole !Elle a commencé à crier, alternant entre rires et pleurs, se comportant comme une véritable folle.Bruno

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 514

    « Pas besoin, je vais juste passer à l’infirmerie de l’université pour un simple soin », a répondu Paulin d’un ton ferme, le visage impassible.« Je dois encore assister à un événement plus tard. »Ce qui comptait surtout, c’était que Janine devait monter sur scène aujourd’hui, et il ne voulait pas manquer ça.Il avait un pressentiment : si jamais il partait aujourd’hui, il deviendrait très difficile de revoir Janine à l’avenir.Jamais il n’aurait imaginé que Janine était la véritable fille de la famille Leclerc !Elle lui semblait de plus en plus distante.Janine a perçu une sorte de mélancolie dans le regard qu’il lui lançait, un sentiment de réticence à la laisser partir ?Elle a pensé immédiatement qu’elle devait se tromper. Comment Paulin pourrait-il ressentir de l’attachement envers elle ?Baissant les yeux, elle a murmuré :« Je pense aussi qu’aller à l’hôpital serait mieux. »« Oui, mon fils, tu vois, même Janine le dit ! Elle se soucie tellement de toi, alors va à l’hôpital,

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 513

    Janine a levé les yeux et a croisé le regard de Paulin. Soudain, elle a réalisé quelque chose.C’est vrai, Cet homme avait toujours mal compris la relation qu’elle entretenait avec son troisième frère, pensant que l’enfant qu’elle portait était celui de ce dernier.À l’époque, pour faciliter son divorce, elle n’avait pas démenti cette idée.Mais maintenant que Paulin savait que Cyril était son frère, il devait se rendre compte qu’elle avait menti, et commencerait probablement à se demander qui était le père de l’enfant qu’elle portait.Tout à coup, une bataille intérieure a fait rage dans l’esprit de Janine !Elle ne voulait pas révéler sa grossesse à ce moment précis, encore moins admettre que l’enfant qu’elle portait était celui de Paulin.Quelques jours plus tôt, pour obtenir son divorce, elle avait menti à la grand-mère de Paulin en disant qu’elle n’attendait pas d’enfant.Si la grand-mère venait à apprendre la vérité, elle serait certainement blessée.L’esprit de Janine s'est mis

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 512

    Puisque Janine est vraiment la fille aînée de la famille Leclerc, c’est une bonne nouvelle pour tout le monde !Louise a acquiescé également : « Oui, oui, Janine, oh pardon, ma belle-sœur ! »Janine a ressenti pour la première fois la différence apportée par son identité et son statut.La dernière fois qu’elle était allée au centre commercial, elle se souvenait encore très bien de l’expression hautaine de Madame Pascaline et de Louise ...C’est dommage qu’elle ne soit pas aussi mesquine !Elle a baissé les yeux et répondu avec un sourire qui n’en était pas vraiment un : « Désolée, mais je ne fais plus partie de la famille Cordier. Après tout, j’ai déjà divorcé de Paulin. »Après avoir dit cela, elle a senti le regard perçant de Paulin se poser sur elle.Elle a redressé son dos, désormais soutenue par sa propre famille, qu’avait-elle à craindre ?Madame Pascaline a semblé soudainement un peu paniquée : « Mon fils, tu as divorcé de Janine quand ? Vous n’aviez pas traîné pour régler les f

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 511

    En entendant les paroles de son sixième cousin, Janine a regardé immédiatement Carole avec un air surpris.Carole était une usurpatrice ?En entendant ces trois mots, elle est devenue instantanément furieuse, à tel point qu'elle en a perdu son sang-froid. Elle a répondu en criant : « Pourquoi n'aurais-je pas le droit d'avoir mon mot à dire ? Je fais aussi partie de la famille Leclerc, alors pourquoi je ne pourrais pas m'exprimer ? Pourquoi ai-je été la seule à être tenue dans l’ignorance ? Je ne suis pas une usurpatrice ! »Carole affichait une expression pleine de rancune. Si elle avait su plus tôt que Janine avait été retrouvée, elle aurait pu s’occuper d’elle avant et éviter de se retrouver dans cette position désavantageuse.Bruno, le visage sombre, a pris la parole :« Parce que tu n’as jamais fait partie de la famille Leclerc. C’est quelque chose que tu savais depuis que tu es sortie de l’orphelinat. Aujourd'hui, c'est ton avidité croissante qui te pousse à convoiter des choses

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 510

    C’est ça, cette explication était la seule logique !Carole s'est sentie comme plongée dans un bain de glace. Elle a tourné la tête pour regarder Janine, puis Madame Pascaline : « Qu’est-ce que vous voulez dire, la famille de Janine ? »« Tu n’arrêtais pas de demander qui avait accompagné Janine au centre commercial pour lui acheter une robe, n’est-ce pas ? Eh bien, c’était ta belle-sœur ! »Ces mots de Madame Pascaline ont éteint complètement la flamme de colère et de jalousie au fond du cœur de Carole.Elle a vacillé, incapable de rester debout : « Ce n’est pas possible, comment cela pourrait-il être vrai ? »Depuis quand la famille Leclerc avait-elle retrouvé Janine ? Pourquoi n’en avait-elle absolument rien su ?Et même que sa belle-sœur, Donatienne, a accompagné Janine faire du shopping, cela lui était complètement inconnu !À cet instant, Carole s’est avancé vers Janine avec un sourire : « Madame Pascaline, il n’y a jamais eu deux jeunes filles de grande lignée dans la famille

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 509

    Carole a eu soudain un mauvais pressentiment.Madame Pascaline a été visiblement surprise en disant : « Tu n’es pas au courant ? Janine a retrouvé sa famille. Ce jour-là, elle était au centre commercial avec eux pour acheter une robe. Sa famille possède même une carte VIP suprême de Dior, avec laquelle ils peuvent choisir n’importe quelle pièce en édition limitée. »En disant cela, Madame Pascaline a jeté un regard perplexe à Janine : « Pourquoi as-tu seulement acheté une robe, sans prendre un sac ? C’est un ensemble pourtant ! »Le visage de Janine s’est assombri légèrement. Elle a senti le regard de Paulin posé sur elle, mais a répondu calmement : « Parce que je n’aime pas. »Les sourcils de l'homme se sont froncés.Était-ce parce qu’elle n’aimait pas le sac ou parce qu’elle n’aimait pas ce qu’il lui avait offert ?À côté, Carole a poussé soudain un cri strident : « C’est impossible ! Ce n’est pas possible ! Janine, comment as-tu pu retrouver ta famille ? C’est forcément faux ! »Si

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 508

    « Pourquoi serai-je en colère ? », a-t-elle demandé« La robe de Janine … » a marmonné CaroleMadame Pascaline, légèrement impatiente, a interrompu : « Une robe, encore une robe. Mademoiselle Carole, tout ce qui vous intéresse, c’est de comparer ces choses ? »Carole ne s’attendait absolument pas à ce que Madame Pascaline dise une telle chose.Janine a esquissé un léger sourire : « Carole, sais-tu pourquoi ton coup n’a pas marché aujourd’hui ? Parce que le jour où j’ai acheté cette robe, Madame Pascaline était justement présente. »« Quoi ? »Le visage de Carole a changé plusieurs fois de couleur, comme si elle avait quelque chose de coincé dans la gorge qu’elle ne pouvait ni cracher ni avaler.Cela signifiait que la robe de Janine était bel et bien authentique !Janine a jeté un coup d’œil à Madame Pascaline, visiblement contrariée, et a poursuivi : « J’ai raison, n’est-ce pas, Madame Pascaline ? »Cette dernière, le visage sombre, a répondu : « Oui, et maintenant, tu es fière de toi,

Scanner le code pour lire sur l'application
DMCA.com Protection Status