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Chapitre 413

Author: Ursule Joly
Janine a mis un moment à retrouver sa voix : « Franck, tu es en train de me faire une blague ? »

« Je ne fais jamais de blagues. », a-t-il lancé

Janine était à la fois amusée et exaspérée : « Alors, tu n'es pas encore allé voir Paulin, n'est-ce pas ? »

« Je viens de le voir, je viens juste te chercher après l'école. », a-t-il répondu

...

C'était la fin, c'était la fin.

Elle aurait dû clarifier les choses avec son cousin, cela aurait évité tout ça.

Janine s'est tournée vers Franck : « Cousin, pourquoi tu ne m'as pas dit une chose aussi importante ? »

« Janine, laisse-moi gérer cela pour toi, tu n’as pas à te faire du souci. Un divorce sans rien est tout simplement inacceptable. Ne crois pas qu’accepter de l’argent te rend vénale. Ce sont des discours toxiques que les hommes essaient d’inculquer aux femmes, simplement pour vous faire culpabiliser et vous empêcher de revendiquer ce qui vous est dû. Au final, ce sont eux qui en profitent », a ajouté Franck en tant qu'avocat de renom.

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    Il n'en revenait pas, ce célèbre avocat de Marseille s'était fait avoir par un homme.Janine a consolé Franck : « Bon, ce n'est pas de ta faute. Je n'avais pas l'intention de demander quoi que ce soit. Arrêtons-en là. »L'homme est resté silencieux, il avait du mal à accepter cela.« Cousin ~~ fais-moi plaisir, ne va pas discuter des questions de partage des biens avec Paulin. Je veux juste quitter la famille Cordier. » a-t-elle dit.Elle avait déjà perdu ce qu'elle considérait comme son bien le plus précieux, tout le reste lui importait peu.Franck, voyant les yeux pleins de larmes de sa cousine, a fini par soupirer. Il a alors compris la phrase de Cyril : Janine te supplie ! Peux-tu lui dire non ?C'était vraiment impossible de dire non !Mais d'un autre côté, promettre à sa cousine tout en n'avalant pas cette pilule, était frustrant.Après avoir rangé les documents, Janine est rentré chez elle, faisant comme si rien ne s'était passé.Une fois le dîner terminé et allongée dans son l

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    Paulin est resté figé après avoir entendu ces mots, une lueur d’incrédulité passant dans ses yeux sombres.Il a rétorqué instinctivement : « Impossible ! »Comment pourrait-il s'attacher à cette femme, Janine !Gaston l'a regardé avec sérieux : « Si tu n’as pas de sentiments pour Janine, alors pourquoi es-tu si sans défense à son égard ? Cela montre que, au fond de toi, tu lui fais confiance. De plus, vous êtes en plein conflit de divorce depuis si longtemps, et elle fréquente d’autres hommes, pourtant tu as pu tolérer cela jusqu’à maintenant. Est-ce que tu te sens bien avec ça ? »Les lèvres de l’homme se sont pincés froidement : « C'est par respect pour ma grand-mère. »Gaston a demandé: « Oui, avant son opération, tu pensais effectivement que Janine allait profiter de la situation pour s’accrocher à toi. Mais maintenant que l’opération est terminée, pourquoi n’avez-vous pas encore réglé le divorce ? Et quand elle a envoyé son avocat pour discuter du partage des biens, tu as signé sa

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    « Franck. »« Encore un membre de la famille Leclerc. La dernière fois, tu as dit que Janine avait une relation étroite avec Cyril. Est-ce que la famille Leclerc a des intentions envers la famille Cordier ? », a demandé GastonPaulin a bu une gorgée de vin rouge : « Ce n'est pas des intentions hostiles envers la famille Cordier, mais des intentions envers Janine. »Gaston a complété : « Écoute, frère, si tu es vraiment tombé amoureux de cette fille, vous n'avez pas encore finalisé le divorce, donc il te serait facile de la garder. Après tout, elle t'adorait tellement à l'époque, toujours autour de toi comme une petite épouse, si tu lui fais un peu de charme, elle reviendra à toi, non ? »En entendant cela, une phrase de Janine a traversé l'esprit de Paulin : « Tant que le nouvel amour arrive rapidement, il n'y a pas de tristesse, seulement de l'amour, » et « Tant que le nouvel amour est assez bon, l'ancien amour n'est pas tant inoubliable. »Il a pincé les lèvres : « Elle n'est pas si

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    Paulin fixait l'appel manqué, devinant presque pourquoi Janine l'avait appelé.Gaston ne savait plus quoi dire : « Fais comme tu veux ! »Il a froncé les sourcils, l'air perplexe : « Et si elle me demandait ce qui s'est passé aujourd'hui, je devrais répondre quoi ? »Sur ces mots, Gaston s'est couvert le visage, désespéré : « Dis-lui ce que tu veux, à ta guise. »C’était vraiment désespéré, son ami avait déjà perdu la tête.Paulin regardait son téléphone et, finalement, il n'a pas agi, le posant à côté de lui.Gaston, surpris, a demandé : « Tu ne vas pas lui répondre ? »L'homme, dans un ton fier, a rétorqué : « J'attends qu'elle vienne me voir. »Gaston a haussé un sourcil : « T’es sûr ? »Paulin a dit : « Elle a tout cet argent, elle ne pourra sûrement pas bien dormir ce soir, elle viendra absolument me trouver. »Paulin affichait une expression convaincue, il connaissait cette femme, elle n'était pas matérialiste.Gaston, voyant son ami adopter cette attitude hautaine, n'a pu s'emp

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    « De toute façon, ça ne vous concerne pas ! » Après avoir dit cela, Janine s'est dirigée vers le bâtiment des cours. Carole, réalisant la situation, regardait sa silhouette s'éloigner, furieuse : « Janine, arrête-toi et explique-toi ! »Janine s'est retournée et a lancé un regard en arrière : « Ils vivent longtemps parce qu'ils ne se mêlent pas des affaires des autres ! Que j'apprenne ou non le piano, ça ne te regarde pas ! »Après avoir fini de parler, elle s'est éloignée, un léger sourire aux lèvres, ignorant complètement les paroles de Carole.Elle a recommencé à pratiquer le piano, qui était sa passion.Elle n’avait pas l’intention de participer à des compétitions ou de rejoindre l’équipe musicale cette fois-ci ; elle voulait simplement combler un regret d’enfance.Elle ne se souvenait plus très bien des événements de son enfance, mais en jouant du piano, elle pouvait vaguement se rappeler certains moments, bien que tout soit flou.Janine s'est rendue directement dans une salle d

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    Carole regardait le bâtiment devant elle, écoutant cette mélodie de piano mêlée à tant d'autres musiques, réveillant complètement la peur enfouie dans ses souvenirs.Autrefois, après avoir menti pour revenir dans la famille Leclerc, elle avait eu une période où elle faisait des cauchemars, se voyant démasquée par la véritable héritière et chassée de la maison familiale, et devant mener une vie de misère.Un éclat sombre est passé dans ses yeux. Elle avait juré de ne jamais retourner à une vie de souffrance ! Peu importe le moyen, elle devait retrouver la véritable héritière des Leclerc avant la famille elle-même. C'était la seule façon pour elle de s'assurer une place, d’empêcher la vraie fille de la famille Leclerc de revenir et de la remplacer.La pièce de piano s'est terminée après quelques minutes.Mais Carole ressentait une sueur froide dans le dos, incapable de bien dormir ces derniers temps. Si les gars de la famille Leclerc la retrouvaient avant elle, ce serait la fin du m

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    Cependant, il se trouvait qu'elle avait aussi des choses à discuter avec Paulin.Alors que Janine se préparait à avancer, une fille devant elle s'approchait, les joues rouges : « Monsieur, vous m’avez appelée ? »Soudain, Janine est restée figée.Le principal était également surpris : « Je ne t'ai pas appelée, c'est Madame Janine que je cherchais. »Puis, Janine a toussé un peu et est sortie, recevant un regard mécontent de la part de la fille, qui semblait comprendre que, après tout, qui pouvait résister à un homme aussi beau et riche que Paulin ?Quelle fille ne rêvait pas de ça ?En sortant de la foule, elle a senti de nombreux regards rivés sur elle, la plupart teintés d'un brin de jalousie.Janine a soupiré légèrement, se disant que tout cela était de la faute de cette espèce d'homme, tellement attirant pour les filles.Elle s’est approchée discrètement du principal, espérant jouer le rôle d’un petit suiveur ordinaire, mais le principal a fait un pas en avant pour lui laisser la p

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    Janine avait du mal à comprendre le comportement de Paulin.Dans leur contrat de divorce, il avait stipulé qu'il lui laissait toutes ses actions.Les clauses de divorce que son cousin avait rédigées faisaient de Paulin un homme presque à nu !Elle ne s'attendait vraiment pas à ce qu'il ne soit pas du tout pressé !L'homme était affalé sur sa chaise, le regard baissé sur la femme devant lui : « Si je ne suis pas pressé, pourquoi l'es-tu tant ? »Janine : « ? » Est-ce que c'est quelque chose qu'on peut dire publiquement ?Furieuse, elle a éclaté de rire : « Paulin, si tu n'es pas pressé, alors demain, j'irai avec ce contrat de divorce à ton bureau au Groupe. Je devrais pouvoir m'asseoir à ta place de PDG. »Après avoir prononcé ces mots, elle a réalisé que non seulement l'homme ne s'était pas fâché, mais qu'il souriait même, ses lèvres se retroussant légèrement : « Oh, cela peut aussi fonctionner. Après tout, avec tout le travail que le Groupe a à faire, j'aimerais aussi me reposer un p

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  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 573

    Après avoir mangé ce morceau de pâtisserie, Janine a bu une gorgée d’eau. Elle a alors remarqué que Paulin la fixait sans détour.Ses yeux, longs et profonds, étaient rivés sur elle.Il ne disait rien, mais sous la lumière tamisée, ses traits ciselés paraissaient encore plus marqués.Son regard la mettait mal à l’aise. Elle a baissé les yeux et a murmuré : « Il se fait tard, tu devrais rentrer. »Elle l’a littéralement chassé de chez elle, sans même lui accorder un dernier regard.Elle ne voyait pas pourquoi elle devrait être aimable avec lui. Après tout, ils étaient divorcés maintenant. Peu importe ce qu’il faisait, elle s’en fichait complètement.Paulin a fini par se lever du canapé. Sa silhouette imposante s’est dressée sous la lumière, projetant une ombre longue sur le sol.L’espace, déjà exigu, paraissait encore plus étroit à cause de sa présence, son corps obstruant la lumière devant elle.Son ombre l’enveloppait, et son regard était à la fois sombre et insondable.Elle a senti s

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    Sérieux ? Il choisissait ce moment pour venir la perturber ?Peu de temps après, elle a cru entendre la sonnerie de la porte d’entrée.Janine s’est redressée d’un coup dans son lit.Il n’aurait quand même pas osé monter, si ?Elle a réfléchi un instant. Elle devait sûrement avoir mal entendu. Paulin ne viendrait pas jusqu’ici pour la voir !Mais elle a ensuite entendu qu’on frappait à la porte.Sans perdre une seconde, elle a ouvert la porte de sa chambre, juste à temps pour voir sa tante se diriger vers l’entrée.« Il est tard... C’est qui ? »« Tante Solène... »Elle a voulu l’arrêter, mais c’était trop tard.La porte s’est ouverte, révélant Paulin sur le seuil. Il portait un ensemble sportif gris, bien loin de son allure stricte et impénétrable en costume. Il avait l’air... plus accessible, plus ancré dans la vie quotidienne.Janine a esquissé un sourire gêné, mais poli. Ce salaud était vraiment monté jusqu’ici !Solène, en reconnaissant Paulin, a ouvert de grands yeux, stupéfaite.

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    Deux hommes se sont croisés dans le couloir. L’un affichait une maturité froide et impitoyable, tandis que l’autre dégageait une distance glaciale et détachée.L’atmosphère semblait d’un calme absolu.Alors qu’ils allaient se croiser, Paulin n’a pas pu s’empêcher de prendre la parole : « Elle et toi, ça ne marchera pas. »Un léger sourire a effleuré les lèvres d’André : « En tant qu’ex-mari, tu te mêles un peu trop de ce qui ne te regarde pas. »« Arrête ! »Paulin a pivoté légèrement, son regard perçant et glacial : « C’est un avertissement. De toute façon, ta famille n’acceptera jamais les enfants qu’elle porte. Elle est têtue, elle ira jusqu’au bout pour les garder. »« Non. Ma famille sera ravie d’accepter les enfants qu’elle porte. Parce que moi, je suis stérile. Je n’aurai jamais d’enfant. Si je l’épouse, j’aurai à la fois une femme et des enfants. Et en plus, ce sont des jumeaux. Ma mère ne va pas en revenir de joie. »D’un ton léger, André a lâché ces mots avant de tourner les

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    Si les autres frères l'apprenaient, elle ne pourrait probablement pas les retenir.Alors qu'elle s'apprêtait à répondre, elle a soudain remarqué le reflet sur la bouteille de vin rouge derrière elle – l'homme debout à la porte n'était autre que Paulin.Quelle coïncidence, sa salle privée était juste à côté ?Depuis combien de temps cet homme odieux se tenait-il là ?Janine a hésité un instant, puis a regardé André en face d'elle : « Parce que l'enfant n'est pas de lui. »En entendant cette réponse, une lueur de surprise a traversé le regard d'André, comme s'il ne croyait pas tout à fait ses paroles.Après avoir parlé, Janine a continué à surveiller du coin de l'œil le reflet sur la bouteille de vin.Peu de temps après, la silhouette s'est éloignée et est retournée à l'intérieur.Janine a poussé un léger soupir de soulagement. Pour l'instant, elle ne voulait pas que Paulin sache que l'enfant était de lui, car elle était déterminée à emmener l'enfant avec elle.Le repas était à moitié te

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    Quand Janine a vu Paulin, elle a soudain réalisé à quel point le monde était petit. Comment pouvait-elle le croiser ici, de toutes les places ?Paulin se tenait au milieu d'un groupe, sa haute stature et sa démarche assurée le rendant particulièrement remarquable.Mais quand il a aperçu Janine en compagnie d'un homme, son pas s'est légèrement décalé, et son regard s'est fixé intensément sur elle.En tant que grand patron, quand Paulin regardait quelque part, les autres suivaient naturellement son regard.Ses lèvres minces se sont serrées en une ligne froide. Pour être honnête, il était surpris de la voir ici.Mais ce qui l'a encore plus surpris, c'était de la voir dîner avec un homme inconnu.Son regard s'est immédiatement assombri. Chaque fois qu'il voyait un homme à ses côtés, son humeur devenait exécrable.L'atmosphère dans le hall est devenue étrangement tendue.Janine ne s'attendait pas à croiser Cet homme odieux ici. Elle a ignoré Paulin et s'est tournée vers André : « Allons-y.

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    « Parler dans le dos des gens, ce n’est pas très bien non plus, n’est-ce pas ? » a déclaré André.Janine a immédiatement senti un frisson lui parcourir le dos. Elle s’est retournée et a vu le beau médecin debout à l’entrée, appuyé contre le cadre de la porte, le regard pénétrant fixé sur elle.Elle ne s’attendait pas à se faire prendre sur le fait.Elle a forcé un sourire : « Euh... ce n’est pas ce que je voulais dire. En général, plus un médecin est strict, meilleur il est. »« Janine, ne le prends pas trop à cœur, il est toujours comme ça », a dit son frèreCyril a tapoté son épaule : « À propos, Janine, on sort dîner ce soir ? C’est rare que certains viennent en mission à Paris pour une semaine. Il a fait le déplacement pour me voir, alors je dois au moins l’inviter à manger. »« Tu n’es pas si important que ça. J’ai entendu dire que tu avais retrouvé ta sœur, alors je suis venu spécialement pour voir à quoi elle ressemble », a ajouté André.Janine a cligné des yeux. Il était venu s

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    Janine a réfléchi attentivement avant de répondre : « Il ne devrait pas y avoir de problème, Mamie. Y a-t-il quelque chose que tu aimerais que je fasse pour toi ? »« Cette opération était une question de vie ou de mort, et après avoir finalement quitté l'hôpital et commencé à récupérer, j'ai décidé d'organiser une petite fête pour célébrer cela. Je voudrais t'inviter, ainsi que tes frères, à y participer. Penses-tu qu'ils auront du temps ? » a demandé la vieille dame NadineJanine ne s'attendait pas à ce que la grand-mère de Paulin invite également ses frères à la fête.Cette image était si indescriptible qu'elle osait à peine y croire !Elle a hésité un moment : « Euh, Mamie, je devrais en parler à mes frères d'abord. Je te répondrai plus tard. »Après avoir raccroché, Janine était distraite pendant son petit-déjeuner.Comment allait-elle aborder ce sujet avec ses frères ?À midi, Janine a commencé à sentir un certain inconfort dans son ventre, comme si quelque chose le frappait.Inq

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    Josiane s’est empressée de parler : « Janine, en tant qu’anciennes camarades de classe, je t’en prie, pardonne-moi cette fois. Je n’oserai plus jamais. L’entreprise de ma famille a fait faillite, mon père a été emmené par des hommes, et si cela continue, nous n’aurons vraiment plus aucun recours. »« Et quand tu harcelais les autres, quand tu répandais des rumeurs malveillantes pour nuire aux autres, tu n’as jamais pensé que tu en arriverais là un jour ? »En voyant Josiane rester sans voix, Janine lui a lancé un regard froid : « Je te le répète, je ne te pardonnerai pas. »Elle allait partir, mais Josiane s’est agenouillée soudainement : « Janine, pardonne-moi cette fois, je m’excuserai publiquement dans le groupe des anciens élèves et je publierai un message épinglé sur mon réseau social. Je n’oserai plus jamais ! »« Lâche-moi ! Pourquoi est-ce que tu penses que tu peux harceler les autres quand tu veux, et maintenant que tu t’excuses, les autres doivent forcément te pardonner ? Le

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    Janine se tenait au bord de la route animée, le regardant attentivement.Autour d’eux, les passants allaient et venaient, nombreux à se retourner pour admirer l’apparence exceptionnelle de Paulin.La lumière des réverbères n’était pas très vive, et le regard de Paulin est devenu légèrement mal à l’aise. Il a répondu instinctivement : « Janine, tu es si narcissique ? »Après avoir prononcé ces mots, Paulin a serré immédiatement ses lèvres minces, éprouvant un certain regret.Janine a hoché la tête : « Puisque tu ne m’aimes pas, alors ne te montre pas si souvent à mes côtés et ne faites pas toutes ces choses gentilles pour moi. Ça me donne l’impression que tu es tombé amoureux de moi. »Paulin a avalé difficilement : « Je fais tout cela parce que ... parce que je veux te compenser. Ces trois dernières années, je t’ai vraiment négligée. »Janine n’était pas le genre de fille visant l’argent qu’il avait imaginée.Les yeux de Janine ont picoté, et un goût amer lui est venu à la bouche. Elle

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