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Chapitre 5

Maintenant, c’était la grand-mère qui dominait les affaires des Averie, en plus, Charles était profondément admiré par elle. En outre, il menait bien sa bien avec des fonds de trois cent millions d’euros. Personne ne voulait pas l’offenser.

« Maman, qu’est-ce que tu fais ? » Charlotte s’est approchée de sa mère pour l’empêcher.

Bien qu’elle déteste son mari, mais c’était lui qui l’avait sauvée de la situation pénible et gênée.

Laurent a couvert son visage rougi par cette gifle, mais il y avait aussi un sourire sur ses joues. Cela faisait trois ans, et c’était la première fois que Charlotte a défendu pour lui. Laurent a quitté en souriant.

« Rebut ! Reste ici ! » Les insultes et les cris d’Annie se sont répandus en air quoique loin.

Juste au moment où tout le monde regardait cette comédie, on a entendu une voix âgée et respectueuse.

« Qu’est-ce qui s’est passé ? »

La grand-mère des Aveire s’est dirigée vers eux en disant cela. La salle, qui avait été animée, s’est soudainement occupée du silence.

« Alors, ne soyez pas si rigide, asseyez-vous. » La grand-mère a agité la main et s’est lentement assise sur la chaise sous le soutien des serveurs : « D’après des nouvelles, un jeune homme est devenu le nouveau directeur de l’entreprise Saphir, il prendra ses fonctions demain. »

Le public a éclaté dans des discussions animées. Sous l’égide des Averie, il y avait plus d’une dizaine d’agences de publicité. Ces dernières années, ils ont toujours voulu coopérer avec Saphir. Parce que Saphir était la plus grande entreprise de divertissement de la Cité Mer de l’Est. La coopération entre Saphir était une bonne chance pour faire fortune.

Mais derrière lui se trouvaient les Travers ! Ils méprisaient les Averie ! Par conséquent, chaque fois que la famille des Averie proposait de coopérer, Saphir refusait cette invitation. Maintenant le nouveau président monterait au trône de cette entreprise, les Averie voulaient bien sûr essayer et saisir des opportunités !

« Qui veut négocier avec lui ? » La grand-mère a regardé autour d’elle et a dit lentement, « Si quelqu’un peut réussir, cela sera une grande contribution à notre famille ! »

« Moi ! »

« Grand-mère, moi ! »

« Moi aussi ! »

Tout le monde a levé la main avec désir. Seule Charlotte n’a pas levé la main, elle savait bien, son statut dans la famille était très bas.

La grand-mère a regardé la foule et a hoché la tête avec appréciation, et puis elle a souri en désignant Charles : « Charles, peux-tu aller essayer demain ? »

Charles a souri et hoché la tête avec confiance.

Après que Laurent était parti seul, il a arrêté un taxi et est rentré chez lui pour dormir. Hier soir, il avait su qu’il était devenu riche, alors, il avait été si exalté qu’il n’avait presque pas fermé les yeux. Il devrait bien dormir cette nuit.

Il a bien dormi cette nuit. Le lendemain matin, il est allé dans le Saphir à scooter après avoir préparé le petit-déjeuner.

Son oncle lui a dit que sa secrétaire, Hélène Privet, l’attendait déjà à l’entreprise.

Saphir, situé au centre-ville, était dans la zone la plus prospère. Une rangée de voitures de luxe étaient garées devant l’entreprise. Beaucoup d’entre elles étaient des voitures de sport qui appartenaient aux stars de cette compagnie.

Saphir avait une règle selon laquelle les stars devaient signaler tous les jours dans l’entreprise, elles devaient prendre congé dans les cas urgents. Donc, autour de l’entreprise, des paparazzis erraient souvent. Ils gagnaient de l’argent en prenant des photos de célébrités, et s’ils prenaient des commérages par hasard, ils pourraient gagner davantage.

Aller à l’entreprise à scooter, c’était vraiment triste. Il fallait acheter une voiture... Laurent a garé son scooter devant l’entreprise en y pensant.

À ce moment-là, un bruit de moteur est venu avec un fracas. Une voiture l’a presque heurté.

En regardant en arrière, Laurent a vu qu’une Porsche Cayenne avait renversé son scooter. Porsche a juste gratté un peu, au contraire, l’arrière de son scooter a été cassée.

Son nouveau scooter a été en panne !

Laurent avait presque des larmes dans les yeux. Plusieurs personnes l’ont entouré en faisant des tintamarres.

« Regarde. Qu’est-ce que tu as fait ? » Une beauté a ouvert la porte et est descendue.

« Superbe... »

Les émerveillements se sont éclatés, cette jeune fille a attiré tous les regards. Elle portait une jupe courte et des talons hauts, avec une taille adorable.

« Jacqueline Bonnet ? »

Laurent a crié, elle est vraiment venue pour signer le contrat avec Saphir ! Laurent a souri. Bien que sa voiture ait heurté son scooter et qu’elle en ait fait un déchet, il n’a pas été blessé. Il n’avait pas l’intention de la reprocher, alors, Laurent s’est approché d’elle pour la saluer. Mais à ce moment-là, Jacqueline l’a remarqué.

« C’est toi, Laurent ? Pourquoi es-tu ici ? »

Jacqueline a froncé les sourcils, elle constatait que Laurent travaillait comme garde chez Saphir.

« Tu es aveugle, non ? Regarde, qu’est-ce que tu fais ? » Jacqueline a grincé les dents. Elle avait acheté cette voiture il y avait uniquement une semaine, bien qu’elle ait seulement des traces, Jacqueline se sentait triste.

« Mais tu m’as frappé... » Le visage de Laurent était plein d’impuissance, « Pourquoi tu m’as blâmé... »

« Que se passe-t-il ? » À ce moment-là, la voix d’un homme d’âge moyen est venue et le capitaine de l’équipe de sécurité a marché rapidement avec un groupe de gardes de sécurité.

En voyant cette scène devant lui, le capitaine de la sécurité a été choqué. Un scooter a heurté une Porsche ? Cette beauté devrait être une star qui est venue dans l’entreprise, et il ne pouvait certainement pas l’offenser !

En pensant à cela, le capitaine de la sécurité a pointé du doigt Laurent et a crié : « Que fais-tu ? Les scooters sont interdits ici ! »

« Il y a encore une telle interdiction ? D’où vient cette règle ? » Laurent a dit avec indifférence.

« D’où vient cette règle ? Moi ! » Le capitaine de l’équipe de sécurité s’est avancé, « Excuse-toi auprès de cette demoiselle ! Vite ! »

À ces mots, Jacqueline a montré un sourire, a pointé Laurent et a dit : « Lui, il est un nouvel agent de sécurité, non ? »

Le capitaine de la sécurité a été stupéfait et a jeté un coup d’œil à Laurent. En effet, ce mec portait des vêtements de campagnard et se déplaçait à scooter, il a donc dû venir demander la poste d’un agent de sécurité.

« Rassurez-vous, je ne l’admettrai pas pour rien au monde ! » Il a tapoté la poitrine et a dit à Jacqueline, et puis il s’est tourné vers Laurent, « Aujourd’hui, c’est ton premier jour de travailler, non ? Tu es licencié ! »

L’ambiance de cette entreprise n’était pas très bonne. Laurent a secoué la tête, même un capitaine de sécurité était méchant et impoli.

« Je voudrais voir, comment pouvez-vous me licencier. » Laurent a souri, « Avez-vous le droit de renvoyer les autres ? »

« Tais-toi ! » Le capitaine a pointé du doigt Laurent. Il était fou ou quoi ? À vrai dire, il n’avait pas le droit de licencier les autres, mais il est venu demander une poste sous sa direction, il allait lui donner des conséquences en guise de son chef.

« Laurent, tu es une personne si dégoûtante. » Jacqueline s’est dirigée vers lui avec un regard de mépris, « Oui, le capitaine de la sécurité n’est pas en droit de t’envoyer, mais la directrice adjointe ? Elle est digne de te licencier ? »

En parlant de cela, Jacqueline a sorti son téléphone portable et a édité un message. Au bout d’un moment, une femme en costume est sortie.

Cette femme ravissante, faisant 1,65 mètre, avait plus de trente ans. Avec le costume et les hauts talons noirs, sa maturité et son charme étaient mélangées dans sa beauté.

« Madame Fontaine. »

En voyant cette dame, tous les gardes et employés se sont inclinés pour montrer leur respect. Cette femme était la directrice adjointe de Saphir, Florence Fontaine.

« Tante. » Voyant Florence arriver, Jacqueline s’est avancée pour la saluer. C’était précisément parce que sa tante était la directrice adjointe de Saphir, elle voulait devenir une vedette ici.

Florence a hoché joyeusement la tête et s’est tournée vers Laurent : « Fais des excuses à Jacqueline. »

Quoi ?

Laurent trouvait cela ridicule : « Pourquoi ? Qui es-tu ? »

« Il est fou. Il n’a pas reconnu Madame Fontaine. » Plusieurs employés ont chuchoté.

« Ouais, pourquoi il hésite ? Il veut être blâmé ou quoi ? »

Florence a regardé froidement Laurent et a froncé les sourcils. Elle a dit : « Tu veux chercher une poste de garde ? Qui t’a embauché ? Peu importe, tu ne veux pas faire des excuses, oui ? Moi, la directrice adjointe d’ici, t’informe : Tu es licencié ! Va-t’en avec ton scooter ! »

« Moi ? » Laurent a dit avec un sourire.

« Tu es sourd ou quoi ? Tu ne comprends pas ce que ma tante a dit ? » Jacqueline a grincé les dents et a dit d’un ton froid, « Je n’ai pas de chance aujourd’hui en raison que je te rencontre. Tu as gratté ma voiture mais je ne t’ai pas demandé de compenser mes pertes. Va-t’en tout de suite. Je ne veux pas te voir, jamais ! »

« Bip. »

C’était à ce moment-là qu’une voiture a gazouillé et qu’une Bentley est arrivée. Puis une femme d’une vingtaine d’années, vêtue d’un costume noir et d’une paire de lunettes à bords noirs, est descendue.

« Monsieur le directeur, je suis désolée d’être en retard. » Le secrétaire Hélène Privet s’est dirigée vers Laurent rapidement et s’est inclinée.

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