En entendant ce montant, Laurent s’est presque éclaté de rire. Charles était vraiment stupide ! Il avait donné une bouteille de vin à chaque table, même si tout le monde ne savait pas son étiquette, Laurent l’a reconnue. C’était Romanee-Conti dont le prix de détail était un million. Seulement une trentaine de bouteilles de ce vin ont été distribuées ! « Tu es fou ou quoi ? » Charles a été complètement paniqué, s’est levé et a crié au serveur : « Nous avons consommé quasiment quarante millions ? Cent mille euros par personne ? Ridicule, fais venir ton directeur, tout de suite. » Les deux serveurs se sont regardés dans les yeux et ont observé leur impuissance. Mais, après tout, ils ont dit au directeur ce qui s’était passé. Le directeur était un jeune homme de la trentaine en un costume soigneux. « Ton entreprise est proche de la faillite ou quoi ? » Charles s’est avancé vers lui et a hurlé, « Cent mille euros par personne ? Je vais adresser une plainte à l’association de
« Tu n’as pas apporté la carte bancaire, c’est une bonne excuse ! » Charles a éclaté de rire et a regardé Annie Moreau, « tante, toi non plus ? » « Si. » Les gens autour ont ri et une jeune femme a dit : « C’est sûrement que Laurent n’a pas apporté sa carte bancaire non plus, tous les trois sont ici pour la grivèlerie ! »Pinçant les lèvres, Charlotte ne savait pas quoi faire. A ce moment-là, Laurent a marché en avant. « Je l’apporte, mais... »Charles a arraché la carte de Laurent et l’a donnée au serveur : « Tiens, vois s’il y a trois cent mille euros ! »Charlotte a trépigné d’impatience. Elle lui a donné deux cents euros comme argent de poche, comment pourrait-il avoir trois cent mille dans la carte ? Charlotte a aperçu que tout le monde s’est retenu de rire et a attendu une farce. Et à ce moment-là, Ingrid, avec un visage magnifique, s’est levée doucement. « Si je ne me trompe pas, c’est la carte noire de la Banque d’Améthyste ? ! »Le silence a planté dans l’hôtel qui étai
Portant les chaussures à hauts talons, Vivian a frappé le tapis du pied : « Je voudrais qu’il m’appelle maman, et puis jette-le dehors. » « Toi, bâtard, tu entends ce que Mademoiselle Rosier a dit ? L’appelle maman maintenant. Sinon... » Vincent a violemment rugi. À peine avait-il terminé sa parole, une vingtaine d’hommes robustes ont mis leur main en arrière, puis ils ont tiré un bâton l’un après l’autre. « Sinon, ne m’en veut pas si je vais te cogner. Mais maintenant, je peux te montrer une issue : l’appelle maman tout de suite. » Vincent, avec des sourires aux lèvres, a dit, « Et puis, si tu veux quitter ici sain et sauf, agenouille-toi pour lui demander pardon. Sinon, je vais te battre jusqu’à ce que tu ne puisses pas tenir debout. » Vivian n’arrivait pas à retenir ses sourires, à ce moment-là, elle a fait deux pas en avant sur ses hauts talons, et a sorti son portable de son sac. Elle filmerait et enverrait cette vidéo à Charlotte au cas où Laurent aurait peur
« Toi... » une fois entendu la parole de Claudel, Charlotte a froncé les sourcils, « Mais non, je n’ai pas encore divorcé avec mon mari. » Quoique Laurent soit un peu inutile, il n’épargnait pas ses efforts en faisant des tâches ménagères depuis leur mariage. Il serait reçu des insultes au cas où il commettrait la moindre faute, néanmoins, il ne se plaindrait jamais. Et cette fois-ci, Laurent a emprunté cinq millions dont son entreprise avait besoin, à vrai dire, il l’a sauvée. La veille, lorsque Charles avait proposé que chacun payerait sa part dans la Tour Perle, c’était Laurent qui l’avait aidée à s’échapper de cette situation embarrassante en utilisant l’argent qu’il avait mis de côté pendant ces années. Claudel a fixé Charlottes avec douce : « Ma chère Charlotte, sur quel point je suis inférieur à Laurent ? Lui, il est complètement un rebut ! Assure-toi, à l’occasion de l’anniversaire de grand-mère, je participerai à la réunion familiale avec un cadeau splendide ! Elle
« Charlotte, la fête Saint-Valentin s’approche. Si je peux recevoir une série royale comme cadeau, je me trouverais dans le paradis ! » a dit Dolorès. « C’est impossible. » Charlotte a ri. En effet, la série royale n’existait pas dans le marché, le prix était seulement une chose clinquante. Puisqu’il n’y avait que 520 dans la sphère mondiale, cette série aurait été immédiatement achetée par les autres. Ces consommateurs étaient sans aucune doute issus des castes nobles et privilégiées, des familles comme les Averie n’étaient pas aptes à l’acheter. « Alors, mon amie. » Charlotte a souri, « M’accompagne pour acheter quelques vêtements, d’accord ? L’anniversaire de grand-mère s’approche, et moi, je dois être revêtue de manière somptueuse. » Dolorès a hoché la tête et a pris son amie intime par le bras. Ces deux jeunes femmes sont entrées dans un centre de commerce. Le jour suivant, chez Saphir. Laurent était assis dans le bureau du directeur après s’être levé sur l
« Charlotte, penses-y ! Au cours de ce mariage, tu as subi tant de mépris, n’est-ce pas ? » a dit Annie d’une voix indifférente, « Pendant ces trois années, nous lui avons offert de quoi vivre. Aujourd’hui, il a emprunté cet argent pour sauver ton entreprise, c’est ce qu’il nous doit. Il n’y a aucune dette entre nous et Laurent. Maintenant, tu dois le quitter, tu dois quitter ce crétin tout de suite. » « Mais maman... » Charlotte s’est mordu les lèvres. « D’ailleurs, Claudel m’a téléphoné. Il viendra dans la réunion familiale à l’occasion de l’anniversaire de grand-mère. » Annie a ajouté, « Il a dit qu’il avait déjà préparé un cadeau splendide, et ta grand-mère sera satisfaite. Si elle le trouve aussi bon, tu pourras te marier avec lui. » En parlant, elles ont vu un homme se diriger vers elles. Il portait des costumes de haute qualité, avec une valise dans les mains. C’était le père de Charlotte, Stéphan Averie. Charlotte et Annie se sont avancées vers lui, et tous le
Chloé, portant une jupe, était devant la porte de Saphir. Elle se voyait si ravissante que des paparazzis ont fixé leur caméra vers elle, ils la considéraient comme une nouvelle vedette. Même les gardes l’ont prise pour une vedette, alors, ils ne l’ont pas empêchée. Chloé s’est dirigée directement vers le bureau de directeur, cependant, tandis qu’elle allait frapper à la porte, Hélène est sortie du bureau et l’a côtoyée. À ce moment-là, Hélène allait préparer un thé pour Laurent, et elle a rencontré par coïncidence Chloé à la porte. À peine avait-elle connu son identité que Chloé a été emmenée par les gardes. Chloé était une beauté connue dans cette ville. Une frange des hommes la courtisait, et c’était toujours elle qui refusait les autres. Malheureusement, elle a été emmenée, cela l’a rendue désespérée. La grand-mère s’est rendue compte de ce qui s’était passé, elle se sentait de plus en plus désemparée. ... Le lendemain, dans la villa des Averie. Aujourd’
Une demi-heure après, chacun a montré son cadeau à la grand-mère. Bien que les cadeaux des autres ne soient pas aussi fastueux que celui de Charles, ils étaient toujours chers, n’importe quel cadeau coûtaient plus de trois cents mille euros. Le cadeau de Chloé a attiré aussi attention des autres. Elle a préparé une paire de bracelets dont la couleur et la qualité étaient parfaites, ils étaient vraiment extraordinaires. La grand-mère les aimait sans aucun doute en offrant une couronne de lauriers à Chloé. Après avoir reçu ce cadeau, elle a dénoncé au public : « Chloé était la sœur aînée de sa génération, et elle était aussi une fille soigneuse et douce. Maintenant, elle restait célibataire, ainsi, si certains d’entre vous veulent devenir son futur mari, venez pour demander sa main, s’il vous plaît ! Mais, tout compte fait, son fiancé ne peut pas être trop espiègle, car il devra être un exemplaire dans la famille. » À ces mots, Chloé a rougi. Beaucoup d’invités étaient aussi