Chloé, portant une jupe, était devant la porte de Saphir. Elle se voyait si ravissante que des paparazzis ont fixé leur caméra vers elle, ils la considéraient comme une nouvelle vedette. Même les gardes l’ont prise pour une vedette, alors, ils ne l’ont pas empêchée. Chloé s’est dirigée directement vers le bureau de directeur, cependant, tandis qu’elle allait frapper à la porte, Hélène est sortie du bureau et l’a côtoyée. À ce moment-là, Hélène allait préparer un thé pour Laurent, et elle a rencontré par coïncidence Chloé à la porte. À peine avait-elle connu son identité que Chloé a été emmenée par les gardes. Chloé était une beauté connue dans cette ville. Une frange des hommes la courtisait, et c’était toujours elle qui refusait les autres. Malheureusement, elle a été emmenée, cela l’a rendue désespérée. La grand-mère s’est rendue compte de ce qui s’était passé, elle se sentait de plus en plus désemparée. ... Le lendemain, dans la villa des Averie. Aujourd’
Une demi-heure après, chacun a montré son cadeau à la grand-mère. Bien que les cadeaux des autres ne soient pas aussi fastueux que celui de Charles, ils étaient toujours chers, n’importe quel cadeau coûtaient plus de trois cents mille euros. Le cadeau de Chloé a attiré aussi attention des autres. Elle a préparé une paire de bracelets dont la couleur et la qualité étaient parfaites, ils étaient vraiment extraordinaires. La grand-mère les aimait sans aucun doute en offrant une couronne de lauriers à Chloé. Après avoir reçu ce cadeau, elle a dénoncé au public : « Chloé était la sœur aînée de sa génération, et elle était aussi une fille soigneuse et douce. Maintenant, elle restait célibataire, ainsi, si certains d’entre vous veulent devenir son futur mari, venez pour demander sa main, s’il vous plaît ! Mais, tout compte fait, son fiancé ne peut pas être trop espiègle, car il devra être un exemplaire dans la famille. » À ces mots, Chloé a rougi. Beaucoup d’invités étaient aussi
« Montre-le-moi. » La grand-mère s’est levée. Les jeunes se sont écartés. Elle a ajusté ses lunettes et a attentivement regardé cette peinture. De petites touches, des utilisations chromatiques, des traces minutieuses ! C’était le huitième miracle du monde ! « C’est une peinture authentique. » Nathan a élevé son pouce, « C’est un miracle, je peux voir Les Nymphéas ici ! » « Oui ! Ces trésors ne se montrent que dans les musées ! » « C’est extraordinaire ! Ces touches merveilleuses, cela mérite une des peintures les plus connues de Monet ! » Les gens faisaient sans cesse des compliments. La grand-mère s’est épanouie de joie. « Très bien ! Très bien ! Très bien ! » La grand-mère a fait l’éloge sans arrêt et a reçu minutieusement cette peinture, « Posez ce trésor dans la boîte ! Vite ! Et n’oubliez pas de le garder attentivement ! » « D’accord. » Les serveurs domestiques ont dit. Puisque tout le monde a constaté que c’était une œuvre de Claude Monet et q
« Des ordures ? » Ces mots ont fait rire à Ingrid, en effet, cette boîte se limitait dans les Versailles du règne des Bourbons. Le matériel était aussi somptueux, elle avait été faite du pommier. Évidemment, le temps a laissé des traces et des citatrices sur sa surface. Mais, elle pouvait découvrir sa délicatesse et sa joliesse ! Cette boîte coûtait presque des centaines de mille euros, pourquoi les Averie l’ont prise pour un déchet ? Influencée par ses habitudes professionnelles, Ingrid a ouvert son sac à dos et a sorti une loupe. Les Poiriers faisaient des commerces des antiquités de génération en génération, et ils trouvaient souvent des trésors dans la rue. Ainsi, chaque Poirier devait apporter une loupe. « Mademoiselle Poirier ? Qu’est-ce que vous faites ? » La grand-mère a ajouté : « Cela, c’est simplement un déchet. Les serveurs vont le jeter dans la poubelle tout de suite. » Ingrid n’a rien dit en découvrant cette boîte à travers de sa loupe. Son
Ingrid était au seuil de continuer sa parole. À ce moment-là, la grand-mère a souri et s’est dirigée vers Charlotte avec un verre de vin. À la vue de cette action, tout le monde s’est arrêté de manger. « Charlotte, ma chère petite-fille. J’ai une chose à te dire. » Elle a dit lentement. « Oui, grand-mère. » a répondu Charlotte. La grand-mère a hoché la tête, « Charlotte, aujourd’hui est mon anniversaire, peux-tu réaliser un de mes souhaits ? Peux-tu négocier avec Saphir ? S’il met d’accord avec notre demande et qu’il nous laisse faire de Jacqueline Bonnet une star, nous pourrons y tirer des profits. Peux-tu m’aider ? » « Grand-mère, je... » Charlotte, en revanche, a jeté un coup d’œil en cachette sur son mari. Auparavant, elle avait fait des efforts pour négocier avec Saphir, et pourtant la grand-mère avait donné tous les lauriers à Charles. À vrai dire, Charlotte était déçue. Laurent lui avait dit qu’elle devrait y refuser... Elle s’est aperçue que
C’était Vincent ! Bien qu’elle ne le connaisse pas, ses amis parlaient souvent de lui ! Jeune, courageux, cruel, Vincent était très connu dans la ville. D’ailleurs, il avait un soutien invincible : Fernand Duval ! Qui était Fernand Duval ? Il était le directeur du Palais d’Artémis, le plus fastueux hôtel de toute la ville. Elle pouvait découvrir son air vicieux. Laurent allait être blessé gravement. « Ne reste pas ici, vite ! » Charlotte était énervée et inquiète, elle s’est levée mais les autres l’ont empêchée. Elle ne savait pas pourquoi elle voulait le sauver. À vrai dire, elle méprisait son mari, cependant, elle était triste quand Laurent allait recevoir des coups. Mais les autres ne le pensaient pas. Ils voulaient admirer ses tragédies. Claudel avait la fringale à voir ce spectacle, il a saisi Charlotte, « Ne t’inquiète pas pour un tel crétin ! Il a fait des siennes et a offensé Monsieur Averie. Tant pis ! » Vincent a saisi la machette et s’est
« Est-ce que M. Laurent est là ? » a demandé Pierre de nouveau quand personne ne lui a répondu. Tout le monde a encore secoué la tête. Puisque c’était Pierre Faure à l’entrée, M. Laurent dont il a parlé ne pourrait pas être Laurent, un bon à rien. Pierre avait l’air perplexe, ce n’était pas possible, il s’est informé que M. Laurent était bien dans la famille des Averie ! Ce jour-là, c’était l’anniversaire de M. Laurent, il venait exprès pour lui envoyer un cadeau. Quand il est arrivé à la famille des Averie, une fête d’anniversaire a eu lieu vraiment. Déglutissant, Pierre a sorti la boîte et a dit : « Puisque M. Laurent n’est pas là, je vous laisse. C’est le cadeau d’anniversaire. »Après que Pierre avait prononcé ces mots, il est parti avec ses subordonnés. Une fois parti, tout le monde s’est empressé de s’approcher de la boîte. La Grand-mère a fait signe aux autres de l’ouvrir. Après tout, Pierre était très connu dans la Cité Mer de l’Est, tout le monde a vu qu’il avait un g
Plusieurs filles ont commencé à se discuter, certaines ont dit que M. Laurent était homme d’âge moyen avec barbe, d’autres ont dit qu’il était grand et beau. Finalement, la grand-mère des Averie a fait un signe pour interrompre les discussions. En ce moment, Martin, accompagné des gens, a regardé autour de lui mais il n’a pas trouvé Laurent. « Le cadeau d’anniversaire est là, je vais y aller, » Martin s’est incliné. La grand-mère a fait aussi un signe de tête en retour. Après le départ de Martin, son cadeau a été aussi ouvert. Tout le monde avait l’air étonné. Il s’agissait d’un acte de don ! « Bonne santé d’année en année. Cadeau offert à l’occasion de l’anniversaire : Bâtiment A88 de la Villa Riviera ». Le silence ! Le silence complet ! Il était tellement silencieux qu’on pouvait même entendre voler mouche ! Euh... On a offert une villa comme cadeau d’anniversaire ? ! Il ne serait pas nécessaire d’être étonné si c’était une villa ordinaire, mais ’était la Villa Riviera ! E