Leur voiture n’était pas loin de Babé. En voyant cette scène, Aubéron avait les sentiments partagés.Il aurait dû être plus prudent.Yves lui a demandé : « Est-ce que nous pouvons partir ? »Il a retiré son regard et a répondu en se massant entre les sourcils : « Oui, nous rentrons. »Une semaine après.À l’entreprise bijoutière Soul.« Victor, tu aurais pu encore te reposer », a dit Isabelle en voyant Victor reprendre son poste, elle s’inquiétait pour lui.Victor a dit en souriant : « Je me suis déjà rétabli, ne t’inquiète pas. »Isabelle et Victor sont sortis de l’ascenseur ensemble, Victor lui a demandé sur ce qui s’était passé sur l’île Saint-Jeanne.Les médias avaient publié de nombreux articles sur cet accident, mais aucun d’entre eux n’évoquait le fait qu’Albert et Aubéron avaient failli perdre leur vie.La famille Gendron et la famille Brunerie ont décidé de ne pas mettre cette nouvelle en public pour s’épargner des affaires agaçantes supplémentaires.Elle a répondu avec un sou
Isabelle s’est assise sur un canapé, elle feuilletait un magasin de mode.Giada a ouvert la porte de la cabine d’essayage, elle avait changé une qipao. Mais Isabelle trouvait que le style de cette robe ne lui convenait pas.Giada s’est donc changée pour une autre robe, mais Isabelle trouvait que sa couleur ne lui convenait pas.Giada a essayé plusieurs robes, mais aucune d’entre elles ne satisfaisait Isabelle. Isabelle a donc demandé à la vendeuse d’apporter les robes qu’elle avait choisies tout à l’heure. Cette fois, les robes allaient beaucoup mieux à Giada.Après quelques essayages de plus, Giada s’est laissée choir sur le fauteuil et a dit : « Isabelle, je suis épuisée. »Isabelle réfléchissait en se grattant le menton, puis, elle a dit en pointant vers la robe que la vendeuse tenait dans la main : « Essaye celle-là ! »« Encore ? » s’est plainte Giada d’un air désespéré.Isabelle a hoché la tête.Giada est entrée dans la cabine d’essayage. Après qu’elle y est sortie, Isabelle se
Giada et Isabelle ont quitté le coiffeur. Quand Isabelle l’a vue marcher à pas désinvoltes, elle lui a frappé le dos et a dit : « Tiens-toi bien, aie confiance en toi ! »Giada a dit d’un ton impuissant : « Tout cela pour un entretien d’embauche ? Pourquoi cette peine ? »Isabelle a dit d’un ton sérieux : « Bien sûr que ça vaut la peine. Pense-y, les professeurs du Conservatoire sont tous jeunes et beaux, ils accordent beaucoup d’importance à leur apparence, veux-tu y aller avec tes pas désinvoltes et ton habit nonchalant ? »Giada se disait dans son cœur : « Il semble qu’elle a raison. »Elle l’a donc approuvée en hochant la tête : « Tu as raison, je vais bien tenir mon dos. »Elle a tenu son dos et a levé la tête.« Sois plus naturelle », a dit Isabelle. Elle a éclaté de rire et a gratté sa taille.Giada s’est instinctivement esquivée, puis, elle s’est lancée sur Isabelle pour gratter sa taille.Elles riaient joyeusement en ignorant les regards des passagers.À l’hôpital.Aubéron est
La troisième fois qu’il rencontrait Isabelle, il était allé à son entreprise la chercher en prétendant vouloir louer des bijoux. En voyant qu’Albert était agité, il savait qu’il avait atteint son but.C’était quand son cousin, Yves, l’a appelé pour lui dire qu’Isabelle a été blessée par une vipère et pour lui demander de faire venir le vieux monsieur Robert qu’il a confirmé qu’Albert aimait Isabelle du fond de son cœur, parce qu’il était extrêmement inquiet pour Isabelle.Quand Albert a réclamé un divorce après qu’il a attrapé le virus, Aubéron savait qu’Albert ne faisait pas ça parce qu’il n’aimait plus Isabelle. Au contraire, il savait qu’Albert a fait ça parce qu’il aimait sa femme.Albert prenait toujours ses décisions au sérieux, s’il insistait à divorcer avec Isabelle, il avait certainement ses raisons.Quand Isabelle avait fait l’accident, Albert avait le cœur brisé.Pendant trois ans, Albert n’était jamais apparu, mais il cherchait secrètement les traces d’Isabelle.Giada savai
Personne ne portait de costume, chacun avait pris soin ses vêtements et de son maquillage.Giada portait la qipao azurée faite sur mesure qu’Isabella avait choisi pour elle. La jupe était décorée de broderies à jasmin, le col était décoré de perles.Ses cheveux tordus en chignon a mis en évidence son beau visage. Elle portait un maquillage léger, ses sourcils étaient peints en forme de feuille de tilleul.Elle faisait profil bas, mais avait l’air élégant et gracieux.Les candidats qui attendaient dehors ont tous regardé Giada, elle se sentait mal à l’aise d’avoir les yeux du monde rivés sur elle, elle a donc baissé la tête et a demandé à Isabelle : « Isabelle, est-ce que j’ai l’air étrange ? »Isabelle a dit en lui tapotant l’épaule : « Sois plus confiante ! »En attendant son tour, Giada est devenue encore plus nerveuse en voyant les autres candidats sortir de la salle.Isabelle a vu ses poings serrés, elle a pensé à quelque chose et lui a dit : « Giada, je me souviens que tu m’avais
Philippe la regardait. Son visage était impassible, mais des émotions intenses se cachaient dans ses yeux.Il n’a pas prononcé un mot.Giada est allée directement devant Isabelle.Isabelle lui a demandé : « Comment ça va ? »« Je ne sais pas », a répondu Giada avec un sourire gêné, « il faut attendre qu’ils me contactent. »Isabelle s’apprêtait à dire quelque chose quand elle a reçu un appel d’Yves. Elle s’est dirigée sur le côté pour répondre à son appel.Giada et Philippe se tenaient immobilement sur place, l’ambiance était un peu gênante.Elle a levé la tête mais a accidentellement croisé son regard, elle a précipitamment détourné son regard : « Pourquoi me regardes-tu ainsi ? »Elle se sentait mal à l’aise.Les bras croisés, Philippe la regardait et a dit : « Cette robe te va bien. »L’atmosphère tendue s’est soudainement détendue après qu’il a lancé ces mots, Giada était immédiatement soulagée, elle a dit : « Es-tu en train de dire que mes autres vêtements ne me vont pas ? »Il a
Yves a proposé : « Maman, as-tu besoin d’une femme de ménage ? Je crains ne pas pouvoir venir te voir souvent et je me soucie de toi. »Julia a dit en le regardant : « Je n’en ai pas besoin, je me débrouillerai très bien seule. »Isabelle baissait la tête.Julia avait vécu des années dans la grande villa de la famille Gendron entourée des femmes de ménages qui s’occupaient de sa vie. Pourtant, après le divorce, elle s’est rapidement adaptée à sa nouvelle vie modeste.Toutes les femmes n’étaient pas comme elle. La plupart d’entre elles ne pouvaient plus s’adapter à une vie modeste après avoir mené une vie abondante luxueuse.Julia avait invité Isabelle chez elle pour un déjeuner, c’était en fait un remboursement pour le repas perturbé par la présence de son ex-mari la dernière fois.« Je suis désolée, on aurait pu profiter joyeusement les mets copieux, mais ça a été perturbé à cause de moi. »Isabelle a dit en la regardant : « Non pas du tout, Victor et moi ne pensons pas que c’était de
Dans son rêve. Albert a ouvert les yeux. Elle se sentait tout à coup plus assurée et s’est sombrée dans son rêve en prenant inconsciemment la main qui effleurait son visage.Le lendemain, jusqu’à ce qu’il commence à faire jour, Isabelle s’est réveillée.Elle a sauté en voyant le lit vide devant elle.« Albert ? » a-t-elle crié son nom, mais personne ne lui a répondu.Isabelle s’est précipitée dans le couloir et a demandé à une infirmière qui passait devant elle : « Excusez-moi, avez-vous vu le patient de ce service ? »L’infirmière s’est figée, elle a répondu : « N’est-il pas… »Elle a jeté un coup d’œil sur le lit et s’est exclamée : « Mais où est-il ? »L’infirmière est précipitamment allée informer les médecins.Isabelle avait son cœur sur les lèvres en regardant le lit vide. Puis, elle s’est rappelée de quelque chose et est allée à l’ascenseur.Les vents de l’automnes étaient frais, les rues et les pelouses étaient couvertes de feuilles mortes.Isabelle regardait autour d’elle à la