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Chapitre 464

« Eh bien, je l'envie d'avoir des parents qui l’aiment et d'être libre. » Aubéron a souri.

  La solitude sous ses yeux a fait sentir à Isabelle qu'il enviait vraiment Albert, et il a dit légèrement, « Une personne m'a dit un jour qu'il était vraiment triste que les gens n'aient pas de rêves, qu'ils n'osent pas vivre pour eux-mêmes, qu'ils ne sachent que vivre jour après jour en suivant des règles. »

  Il a tourné la tête pour la regarder, « La personne qui m'a dit ça, c'est la mère d’Albert, tante Delphine. »

  Isabelle a ouvert la bouche, mais n’a rien dit.

  « Les aînés de ma famille étaient très stricts. Quand j'étais jeune, j'apprenais toutes les bonnes manières, les règles, et je devais lire toutes sortes de livres pour compléter mes savoirs, et quand je suis allé dans un collège privé, les choses que je devais apprendre sont devenues encore plus nombreuses, il n'y avait pas de temps libre pour se détendre, et je n'osais même pas espérer me faire des amis. »

  Isabelle comprenait
Chapitre verrouillé
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