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Chapitre 465

Isabelle n’a rien dit.

Elle l'avait entendu de Cécile, à l'époque, si le vieux Monsieur Gendron n'avait pas abandonné Delphine à cause de sa famille, il n'y aurait peut-être pas eu Albert, et même Aubéron ne serait pas l'actuel Aubéron.

  Tout avait été prédéterminé. S'ils n'avaient pas changé à l'époque, peut-être qu'aujourd'hui, elle n'aurait pas rencontré Albert dans sa vie.

  Il y a six ans, c'étaient l'absurdité et la noirceur du mariage, six ans plus tard, les rouages du destin se sont réunis et ils se sont rencontrés, n'était-ce pas son choix ? À l'époque, si elle n'avait pas choisi de revenir se battre pour les bijoux de Buccellati, mais était restée au Seres pour jouir de la gloire et de la fortune, elle n'aurait peut-être pas rencontré le père de son enfant dans cette vie.

  Aubéron a regardé sa montre : « Il est très tard, laisse-moi te ramener. »

  Isabelle était d'humeur moins ennuyeuse après avoir entendu tout cela, elle s’est levée, « Merci. »

  « Pas besoin d'être poli
Chapitre verrouillé
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