EdenLe silence gronde entre nous.Aleksandr me tient toujours prisonnière contre le mur, son souffle brûlant effleurant ma peau.Ses doigts serrent légèrement ma gorge, juste assez pour que je ressente son contrôle absolu.Mais je ne détourne pas les yeux.Je le défie.Son regard est un abîme de ténèbres, une promesse de danger.Et pourtant, je me sens vivante comme jamais.— Tu joues avec le feu, Eden.Sa voix est basse, rauque.Elle glisse sur ma peau comme une lame effilée, me provoquant un frisson délicieux.— J’aime le feu.Un battement de silence.Un sourire lent étire ses lèvres.Mais ce n’est pas un sourire tendre.C’est un avertissement.— Tu vas brûler.Je souris à mon tour.— Alors brûle-moi.---AleksandrElle n’a pas peur.Ou plutôt, elle a peur… mais elle s’en nourrit.C’est fascinant.Exaspérant.Je resserre légèrement ma prise sur sa gorge, la forçant à sentir ma force.À comprendre qu’elle ne contrôle rien.Et pourtant, elle me regarde toujours avec cette lueur provo
EdenMon cœur tambourine.Trop fort. Trop vite.Ma main tremble à peine lorsqu’elle frôle celle d’Aleksandr.Il ne dit rien. Ne bouge pas.Mais ses yeux…Ses yeux m’avalent toute entière.Un piège.Un piège dans lequel je suis en train de plonger.— C’est toi qui viens à moi, Eden.Je serre la mâchoire.Je refuse de lui donner ce pouvoir.— Ne confonds pas prudence et soumission, Aleksandr.Il esquisse un sourire.Lent. Carnassier.— Oh, vraiment ?Son ton est moqueur.Ses doigts se referment autour des miens.Un frisson court sur ma peau.Non. Hors de question.Je recule.Il m’attrape aussitôt par la taille et me plaque contre lui.Mon souffle s’étrangle.Son torse dur contre ma poitrine.Son odeur trop enivrante.— Tu ne peux pas reculer maintenant.Oh, si.J’ai encore une échappatoire.Je joue ma dernière carte.Je me cambre, frôlant son cou de mes lèvres.Aleksandr se fige.Un souffle rauque s’échappe de sa gorge.Je souris.C’est moi qui contrôle maintenant.— Tu vois ? Je peux a
EdenLe bruit du réveil est une agression.Je grogne, enfouissant mon visage dans l’oreiller. J’ai mal partout. Un mal diffus, un rappel de la nuit dernière.Je m’étire, et c’est pire encore.Je devrais être en colère. Vraiment.Et pourtant…Je me redresse lentement, sentant encore sa présence dans les draps. L’odeur d’Aleksandr.Mais il n’est plus là.La chambre est vide.Je serre les dents.Évidemment.Cet homme disparaît toujours au matin.Un frisson me traverse.Parce que cette fois…Quelque chose est différent.Je quitte le lit, enroulant un drap autour de moi. La pièce est immense, luxueuse, intimidante. À son image.Sur la table de nuit, un petit carton noir.Je le saisis.Quelques mots tracés à l’encre sombre :Ne bouge pas. Attends-moi.Ma main se crispe.Il rêve.Je ne suis pas une femme qu’on enferme.Je me dirige vers la salle de bain, bien décidée à retrouver ma liberté.Mais à peine ai-je ouvert la porte que quelque chose me frappe de plein fouet.Pas une main.Un presse
EdenL’air sent le sang et la poudre.J’ai encore l’adrénaline au ventre, le cœur qui bat trop vite.Mais Aleksandr, lui…Il est calme.Trop calme.Il relâche son arme, glisse un regard vers le corps effondré, puis revient vers moi.— On s’en va.Son ton ne permet aucune discussion.Je devrais protester.Je devrais courir.Mais mes jambes ne bougent pas.Aleksandr m’attrape par le bras.Son contact est chaud, brûlant même.Il me traîne hors de la pièce, traversant le couloir sans un regard en arrière.Je jette un dernier coup d’œil au cadavre.Et un frisson me traverse.Pas de peur.D’autre chose.Excitation ? Non…Ou peut-être que si.Qu’est-ce qui m’arrive ?---AleksandrL’immeuble est déjà sécurisé.Mes hommes sont en place.Ils savent quoi faire.Je n’ai pas besoin d’ordonner.Eden suit sans lutter.Elle a compris.Ou plutôt, elle commence à comprendre.Dans la voiture, elle reste silencieuse.Je la sens tendue, mais pas terrifiée.Elle réfléchit.Elle s’adapte.Intéressant.— Ce
EdenJ’ai lancé le jeu.Et je sais qu’il ne refusera pas d’y jouer.Ses yeux d’acier me sondent, cherchant peut-être une faille, un mensonge, une hésitation. Mais je ne lui offre rien.Il me veut en proie au doute, au trouble, au désir incontrôlé.Alors je fais exactement l’inverse.Je pivote lentement, détachant mon regard du sien comme s’il ne m’intéressait pas plus qu’un tableau accroché à ces murs froids.J’avance, explore la pièce.Son bureau est un monstre de bois sombre, poli par les ans. Derrière, une bibliothèque, des reliures épaisses, des objets dont la valeur doit être inestimable.Un monde qu’il maîtrise.Mais il y a toujours une faille, même dans les empires les plus imposants.— J’espère que tu ne comptes pas me faire la visite guidée, Aleksandr.Il ne répond pas.J’entends juste son pas lent derrière moi.Il attend.Il me laisse croire que j’ai la main.Mais je sais très bien que dans un jeu où l’un des joueurs contrôle le plateau, la liberté n’est qu’une illusion.Je
EdenL’air brûle autour de nous.Sa présence me prisonniera si je ne fais pas un mouvement maintenant.Mais suis-je encore capable de fuir ?Mon cœur bat trop fort.Je ressens chaque seconde, chaque millimètre qui nous sépare.Aleksandr ne me touche pas.Il ne bouge même pas.Mais il est là.Sa présence me consume.Je devrais parler, briser ce silence insupportable.Mais je n’en ai pas la force.Ma respiration s’accélère.— Tu trembles.Sa voix est un murmure.Un murmure qui m’arrache un frisson.Merde.— Je ne tremble pas.— Si.Je recule d’un pas, mais il ne me laisse pas fuir.— Eden.Juste mon nom.Mais dit comme ça, c’est une invitation et un piège à la fois.Je lève les yeux vers lui.Erreur.Son regard est un incendie.Il sait.Il sait exactement ce qui se passe en moi.Il sait que je suis à deux doigts de céder.Alors je fais le seul truc que je peux faire pour ne pas sombrer immédiatement.Je riposte.— Tu te crois toujours maître du jeu, hein ?Je le défie.Je me force à esq
EdenIl ne bouge pas.Et pourtant, j’ai l’impression qu’il m’absorbe tout entière.Sa présence est un poison qui s’insinue sous ma peau, dans mon sang, dans ma tête. Plus il me regarde avec cet air sûr de lui, plus mon cœur s’emballe, plus mon corps trahit des frissons que je tente désespérément d’étouffer.Il sait ce qu’il fait.Et moi, je suis en train de perdre pied.Mais je refuse de reculer.Alors je joue.Je fais glisser mes doigts sur sa chemise, sur le tissu qui cache la peau brûlante de son torse. Je pourrais simplement m’écarter, reprendre le contrôle, couper court à cette tension étouffante.Mais je n’en ai pas envie.— Tu penses m’avoir ? murmuré-je, effleurant à peine le col de sa chemise du bout des ongles.Il ne bronche pas.— Je t’ai déjà, Eden.Il ne sourit même pas.Il n’y a aucune arrogance dans sa voix.Aucune provocation.Juste un constat froid.Comme une vérité évidente.Son regard s’accroche au mien, brûlant, insondable.— Mais je vais te laisser croire que tu p
EdenPerdue.Je suis perdue entre ce que je ressens et ce que je refuse d’admettre.Sa main dans mes cheveux m’immobilise, son souffle contre ma peau me brûle.J’ai perdu.Ou peut-être que je n’ai jamais eu une chance de gagner.Mais je refuse de me l’avouer.Je refuse de me soumettre.Il veut croire que tout est joué ?Alors je vais lui prouver le contraire.D’un mouvement vif, je pose mes mains sur son torse et je le repousse légèrement. Je n’ai pas la force de le faire reculer complètement, mais ce contact est une déclaration :Je n’abandonne pas.— Tu crois que c’est si facile ? je murmure.Un sourire imperceptible flotte sur ses lèvres.— Facile ? Non. Prévisible ? Oui.Mon regard s’assombrit.Je ne supporte pas qu’il me pense prévisible.Alors, sans réfléchir, je bascule la tête en avant et mords doucement sa mâchoire.Juste assez pour le provoquer.Son corps se tend instantanément.Et là, je sais.Je viens d’enflammer quelque chose d’irréversible.AleksandrElle ne sait pas ce
EdenPerdue.Je suis perdue entre ce que je ressens et ce que je refuse d’admettre.Sa main dans mes cheveux m’immobilise, son souffle contre ma peau me brûle.J’ai perdu.Ou peut-être que je n’ai jamais eu une chance de gagner.Mais je refuse de me l’avouer.Je refuse de me soumettre.Il veut croire que tout est joué ?Alors je vais lui prouver le contraire.D’un mouvement vif, je pose mes mains sur son torse et je le repousse légèrement. Je n’ai pas la force de le faire reculer complètement, mais ce contact est une déclaration :Je n’abandonne pas.— Tu crois que c’est si facile ? je murmure.Un sourire imperceptible flotte sur ses lèvres.— Facile ? Non. Prévisible ? Oui.Mon regard s’assombrit.Je ne supporte pas qu’il me pense prévisible.Alors, sans réfléchir, je bascule la tête en avant et mords doucement sa mâchoire.Juste assez pour le provoquer.Son corps se tend instantanément.Et là, je sais.Je viens d’enflammer quelque chose d’irréversible.AleksandrElle ne sait pas ce
EdenIl ne bouge pas.Et pourtant, j’ai l’impression qu’il m’absorbe tout entière.Sa présence est un poison qui s’insinue sous ma peau, dans mon sang, dans ma tête. Plus il me regarde avec cet air sûr de lui, plus mon cœur s’emballe, plus mon corps trahit des frissons que je tente désespérément d’étouffer.Il sait ce qu’il fait.Et moi, je suis en train de perdre pied.Mais je refuse de reculer.Alors je joue.Je fais glisser mes doigts sur sa chemise, sur le tissu qui cache la peau brûlante de son torse. Je pourrais simplement m’écarter, reprendre le contrôle, couper court à cette tension étouffante.Mais je n’en ai pas envie.— Tu penses m’avoir ? murmuré-je, effleurant à peine le col de sa chemise du bout des ongles.Il ne bronche pas.— Je t’ai déjà, Eden.Il ne sourit même pas.Il n’y a aucune arrogance dans sa voix.Aucune provocation.Juste un constat froid.Comme une vérité évidente.Son regard s’accroche au mien, brûlant, insondable.— Mais je vais te laisser croire que tu p
EdenL’air brûle autour de nous.Sa présence me prisonniera si je ne fais pas un mouvement maintenant.Mais suis-je encore capable de fuir ?Mon cœur bat trop fort.Je ressens chaque seconde, chaque millimètre qui nous sépare.Aleksandr ne me touche pas.Il ne bouge même pas.Mais il est là.Sa présence me consume.Je devrais parler, briser ce silence insupportable.Mais je n’en ai pas la force.Ma respiration s’accélère.— Tu trembles.Sa voix est un murmure.Un murmure qui m’arrache un frisson.Merde.— Je ne tremble pas.— Si.Je recule d’un pas, mais il ne me laisse pas fuir.— Eden.Juste mon nom.Mais dit comme ça, c’est une invitation et un piège à la fois.Je lève les yeux vers lui.Erreur.Son regard est un incendie.Il sait.Il sait exactement ce qui se passe en moi.Il sait que je suis à deux doigts de céder.Alors je fais le seul truc que je peux faire pour ne pas sombrer immédiatement.Je riposte.— Tu te crois toujours maître du jeu, hein ?Je le défie.Je me force à esq
EdenJ’ai lancé le jeu.Et je sais qu’il ne refusera pas d’y jouer.Ses yeux d’acier me sondent, cherchant peut-être une faille, un mensonge, une hésitation. Mais je ne lui offre rien.Il me veut en proie au doute, au trouble, au désir incontrôlé.Alors je fais exactement l’inverse.Je pivote lentement, détachant mon regard du sien comme s’il ne m’intéressait pas plus qu’un tableau accroché à ces murs froids.J’avance, explore la pièce.Son bureau est un monstre de bois sombre, poli par les ans. Derrière, une bibliothèque, des reliures épaisses, des objets dont la valeur doit être inestimable.Un monde qu’il maîtrise.Mais il y a toujours une faille, même dans les empires les plus imposants.— J’espère que tu ne comptes pas me faire la visite guidée, Aleksandr.Il ne répond pas.J’entends juste son pas lent derrière moi.Il attend.Il me laisse croire que j’ai la main.Mais je sais très bien que dans un jeu où l’un des joueurs contrôle le plateau, la liberté n’est qu’une illusion.Je
EdenL’air sent le sang et la poudre.J’ai encore l’adrénaline au ventre, le cœur qui bat trop vite.Mais Aleksandr, lui…Il est calme.Trop calme.Il relâche son arme, glisse un regard vers le corps effondré, puis revient vers moi.— On s’en va.Son ton ne permet aucune discussion.Je devrais protester.Je devrais courir.Mais mes jambes ne bougent pas.Aleksandr m’attrape par le bras.Son contact est chaud, brûlant même.Il me traîne hors de la pièce, traversant le couloir sans un regard en arrière.Je jette un dernier coup d’œil au cadavre.Et un frisson me traverse.Pas de peur.D’autre chose.Excitation ? Non…Ou peut-être que si.Qu’est-ce qui m’arrive ?---AleksandrL’immeuble est déjà sécurisé.Mes hommes sont en place.Ils savent quoi faire.Je n’ai pas besoin d’ordonner.Eden suit sans lutter.Elle a compris.Ou plutôt, elle commence à comprendre.Dans la voiture, elle reste silencieuse.Je la sens tendue, mais pas terrifiée.Elle réfléchit.Elle s’adapte.Intéressant.— Ce
EdenLe bruit du réveil est une agression.Je grogne, enfouissant mon visage dans l’oreiller. J’ai mal partout. Un mal diffus, un rappel de la nuit dernière.Je m’étire, et c’est pire encore.Je devrais être en colère. Vraiment.Et pourtant…Je me redresse lentement, sentant encore sa présence dans les draps. L’odeur d’Aleksandr.Mais il n’est plus là.La chambre est vide.Je serre les dents.Évidemment.Cet homme disparaît toujours au matin.Un frisson me traverse.Parce que cette fois…Quelque chose est différent.Je quitte le lit, enroulant un drap autour de moi. La pièce est immense, luxueuse, intimidante. À son image.Sur la table de nuit, un petit carton noir.Je le saisis.Quelques mots tracés à l’encre sombre :Ne bouge pas. Attends-moi.Ma main se crispe.Il rêve.Je ne suis pas une femme qu’on enferme.Je me dirige vers la salle de bain, bien décidée à retrouver ma liberté.Mais à peine ai-je ouvert la porte que quelque chose me frappe de plein fouet.Pas une main.Un presse
EdenMon cœur tambourine.Trop fort. Trop vite.Ma main tremble à peine lorsqu’elle frôle celle d’Aleksandr.Il ne dit rien. Ne bouge pas.Mais ses yeux…Ses yeux m’avalent toute entière.Un piège.Un piège dans lequel je suis en train de plonger.— C’est toi qui viens à moi, Eden.Je serre la mâchoire.Je refuse de lui donner ce pouvoir.— Ne confonds pas prudence et soumission, Aleksandr.Il esquisse un sourire.Lent. Carnassier.— Oh, vraiment ?Son ton est moqueur.Ses doigts se referment autour des miens.Un frisson court sur ma peau.Non. Hors de question.Je recule.Il m’attrape aussitôt par la taille et me plaque contre lui.Mon souffle s’étrangle.Son torse dur contre ma poitrine.Son odeur trop enivrante.— Tu ne peux pas reculer maintenant.Oh, si.J’ai encore une échappatoire.Je joue ma dernière carte.Je me cambre, frôlant son cou de mes lèvres.Aleksandr se fige.Un souffle rauque s’échappe de sa gorge.Je souris.C’est moi qui contrôle maintenant.— Tu vois ? Je peux a
EdenLe silence gronde entre nous.Aleksandr me tient toujours prisonnière contre le mur, son souffle brûlant effleurant ma peau.Ses doigts serrent légèrement ma gorge, juste assez pour que je ressente son contrôle absolu.Mais je ne détourne pas les yeux.Je le défie.Son regard est un abîme de ténèbres, une promesse de danger.Et pourtant, je me sens vivante comme jamais.— Tu joues avec le feu, Eden.Sa voix est basse, rauque.Elle glisse sur ma peau comme une lame effilée, me provoquant un frisson délicieux.— J’aime le feu.Un battement de silence.Un sourire lent étire ses lèvres.Mais ce n’est pas un sourire tendre.C’est un avertissement.— Tu vas brûler.Je souris à mon tour.— Alors brûle-moi.---AleksandrElle n’a pas peur.Ou plutôt, elle a peur… mais elle s’en nourrit.C’est fascinant.Exaspérant.Je resserre légèrement ma prise sur sa gorge, la forçant à sentir ma force.À comprendre qu’elle ne contrôle rien.Et pourtant, elle me regarde toujours avec cette lueur provo
EdenJe sens encore son regard sur moi alors que je m’éloigne.Une brûlure invisible qui me suit, qui s’accroche à ma peau, qui s’infiltre sous ma chair comme un poison lent.Aleksandr n’a pas aimé que je lui échappe.C’est une évidence.Je l’ai vu dans la lueur prédatrice de ses yeux, dans la façon dont sa mâchoire s’est tendue quand je me suis soustraite à son emprise.Et pourtant…Il m’a laissée partir.Ou plutôt…Il attend.Il prépare sa riposte.Et c’est exactement ce que je veux.Parce que si Aleksandr pense être le prédateur, il va vite réaliser qu’il a sous-estimé sa proie.Je ne suis pas faible.Je ne suis pas docile.Et je refuse d’être une chose qu’il peut posséder.S’il veut jouer, alors je vais jouer.Et cette fois…Je compte bien gagner.---Je ne dors pas cette nuit-là.Pas une seule minute.Je repasse chaque seconde de notre affrontement en boucle.Les frissons de tension.La brûlure de son souffle.La violence sourde dans son regard.Je me tourne, me retourne, incapab