Chapitre 1

Dans les frontières du Sud-Ouest, la Guerre des Neuf Métropoles avait déjà fini. Les villes étaient dans la floraison, cela a forcé la panique des ennemis.

Dans un immeuble, un noble a froncé les sourcils devant un jeune : « Veux-tu vraiment rentrer dans la Ville du Centre ? Veux-tu encore garder ton identité d'Arès en secret ? »

Le vieux noble était un Maréchal, mais ses regards restaient respectueux envers le jeune derrière qui il y avait les Neuf Dieux. Ils avaient vaincu d'innombrables ennemis et étaient tous les héros. Toutefois, à ce moment-là, ils tenaient debout avec l'air modeste derrière le jeune.

Le jeune s'appelait Vincent Delaunay, Arès du Pays de Trésor, supérieur à Dieux, ayant des statues les plus privilégiées.

Toutefois, tout le monde était stupéfait car les médias avaient voulu dénoncer l'identité des Neuf Dieux et de l'Arès, mais à la fin, seulement les Neuf Dieux avaient été annoncé, l'Arès restait mystérieux.

« Oui. Je ne sais pas si Anastasia est heureuse. La guerre a touché sa fin, je ne suis plus obligé de rester. » Le jeune a souri doucement, car Anastasia était sa femme, son élue de cœur.

« Maître, pourrions-nous rentrer avec vous ? Nous voudrions aussi rendre visite à votre femme. » Un des Neuf Dieux, Gérald Durand, a demandé. Si les autres savaient que tous les Neuf Dieux étaient les élèves de Vincent, ils seront bouleversés.

« Pas maintenant. » Vincent a poussé un soupir.

Il s'est souvenu qu'il y avait cinq années, les ennemis avaient fait des invasions dans le Pays de Trésor qui avait été dans le danger, le pays avait reculé des soldats. La famille des Chevalier de la Ville du Centre était tombée dans le piège, alors, elle avait dû envoyer un jeune dans les troupes pour devenir un modèle de la ville.

Le grand-père des Chevalier était âgé, le chef de famille dominait tous les Chevalier. Dans la nouvelle génération, il y avait seulement un fils. Toutefois, le grand-père n'avait pas voulu faire aller sur les champs de bataille son petit-fils de peur qu'il meure, mais il n'avait pas eu de choix.

Par coïncidence, Vincent avait fait les livraisons à domicile chez eux. Le grand-père avait eu une idée, il avait fait de Vincent le gendre de la famille, et le fait se marier avec la deuxième fille, Anastasia, alors, il avait pu remplacer son petit-fils et était allé sur les champs de bataille.

Vincent avait eu aussi des conditions, il avait demandé au grand-père de lui donner un million d'euros pour guérir sa mère qui avait été gravement malade.

Ensuite, Anastasia s'était mariée avec Vincent, pendant les fiançailles simples, elle était devenue la cible des ironies. Ce soir-là, sous l'impulsion de la tristesse et de l'ivresse, Anastasia avait passé une nuit conjugale avec lui. Le lendemain matin, elle avait pleuré, en même temps, Vincent était allé sur les champs de bataille dans les troupes, et ils ne se sont plus vus pendant cinq années.

Pendant ces cinq années, Vincent avait vécu des situations dangereuses, il avait résisté en pensant à Anastasia. Il est devenu un dragon et un héros, il n'était plus le fils illégitime de la famille des Delaunay.

« Anastasia, rassure-toi, je suis responsable de toi. » Vincent a serré les poings avec plein d'excitation.

Quatre jours après, dans l'Aéroport international de la Ville du Centre, un avion privé a atterri.

« Je reviens dans la Ville du Centre, quelle surprise ! » Vincent a souri, et s'est tourné vers Béatrice Lambert, « Dès que j'ai quitté les Champs de batailles de Sud-Ouest, je ne suis plus un Arès. À partir de maintenant, tu peux m'appeler "mon ami". »

« Oui, maître... mon ami. » Béatrice a hoché la tête. Elle était la dirigeante de la Ville du Centre, et se sentait heureuse de pouvoir rentrer avec son maître.

Devant l'aéroport, une Rolls Royce noire s'est garée. Un agent de garde a ouvert la porte avec respecte, un homme d'un certain âge est sorti, c'était Antoine Gautier, l'homme le plus riche de la Ville du Centre.

« Je voudrais voir Madame l'Assassine. » Antoine était ému, il savait la noblesse d'un Dieu.

Puis, il a vu un homme et une femme.

« Madame la Déesse, Madame l'Assassine, Béatrice est venue. » Un garde a dit avec plein de respect.

« Allons-y. » Antoine s'est dirigé vers Béatrice après avoir rangé les vêtements.

« Madame la Déesse. Je suis Antoine, le chef de la famille des Gautier. Nous avons déjà préparé le Palais de Déesse pour vous, et voici, c'est la Carte Noire, veuillez agréer. » Antoine a salué très bas devant elle en sortant d'une carte.

Toutefois, Béatrice a froncé les sourcils : « Vous êtes vraiment l'homme le plus noble de la ville, vous le savez très vite. »

Puis, elle s'est tournée vers la Carte Noire : « Vous avez déjà préparé ma résidence, alors, je ne peux plus recevoir votre argent. »

« Oui. » Antoine a essuyé le front, a levé la tête et a posé la Carte Noire dans la poche.

« Qui est ce monsieur ? » Il s'est tourné vers Vincent.

« Nous sommes dans la même troupe. Par coïncidence, je rentre aussi dans la Ville du Centre. Je vais rentrer chez moi. » Vincent a dit en souriant, « Contacte-moi par téléphone. »

« D'accord. » Béatrice a hoché la tête.

Ayant entendu cela, Antoine était stupéfait, car l'avion privé était seulement destiné à la Déesse, s'il pouvait rentrer avec Madame l'Assassine, cet homme serait aussi un noble. De plus, il a aperçu que les regards de Béatrice envers cet homme étaient respectueux.

Ensuite, un taxi est apparu devant la porte des villas. Ici, c'était la Résidence des Chevalier. À la vue de la porte, Vincent a souri avec amertume, auparavant, sans les impulsions du grand-père, Anastasia ne se serait pas mariée avec lui.

Étant donné que la famille des Chevalier avait fait de ses fiançailles une ironie, Anastasia avait été très déçue. Dans la nuit après les fiançailles, elle avait eu des relations sexuelles avec lui bien que ce mariage soit un piège. Quand il était sorti, elle lui avait dit qu'elle l'attendait. Vincent était très ému.

Ce jour-là, il allait rentrer.