Ainsi va la vie de Malèna
Chapitre 1
En regardant par la fenêtre de ma chambre d’hôpital coulait dehors la pluie, il pleuvait à flou, les routes étaient mouillées, le vent soufflait sur les arbres on aurait eu l’impression qu’ ils allaient être déracinés d’une seconde à l’autre .
Infirmière : Malèna ?! Voici tes médicaments
Moi : merci .. Dis-je en prenant les médicaments qu’elle me tend . Je sort quand ?!
Infirmière : demain ma belle
Moi : d’accord ..
Infirmière : as tu besoin de quelque chose ?!
Moi : non merci cava aller . Dis je en tournant la tête vers la fenêtre
J’en ai marre de rester en ferme ici, le goût des médicaments amer dans ma gorge m’écœure ! L’ambiance de mort dans l’hôpital me fait peur ... j’ai peur de mourir, à ce qui paraît je ne risque plus rien et je l’espère pour moi du plus profond de mon cœur mais j’ai vécu dans l’angoisse de mourir pendant deux ans, deux années de ma vie et c’était horrible.
Il y a deux ans de cela, je me rendais à l’université et j’ai fait un malaise dans le bus, j’avais vingt ans, à mon réveil j’étais à l’hôpital, on m’a diagnostiqué une tumeur au cerveau, j’en tremble encore quand j’y repense, ce jour été tellement gris . Je me souviens encore de la réaction de mes parents, ma mère a pleurait comme si on venait de lui annoncer ma mort et mon père n’arrivait même pas à me regarder dans les yeux. Je ne serais vous dire, il y avait du monde autour de moi mais je me sentais seul , il avaient tous cette air désolée, remplis de tristesse et de pitié à chaque fois qu’ils posèrent tous les yeux sur moi , personne ne me voyait comme une personne normale j’étais devenu Malèna la maladive qui va bientôt mourir .
Je suis l’aîné de ma famille, nous sommes deux enfants, j’ai un petit frère, de deux ans de moins que moi, il était le seul à me parler normalement et le seul à ne pas voir la maladie en moi .
Après deux années de combat contre la maladie, Dieu a fait de moi une championne ! J’ai vaincu le cancer, j’ai été enfin soulager mais je me rends quelquefois à l’hôpital pour qu’ils puissent voir mon état de santé et qu’ils puissent faire un bilan, je rentre une semaine et aujourd’hui c’est la dernière semaine pour toujours par la grâce de Dieu .
Le lendemain matin
mes parent sont venu très tôt le matin pour me récupéré , je peu enfin faire mes adieux et dire merde !
Maman : donne ton sac à ton père
Moi : je peu le porter seul
Maman : hors de question, tu donne se sac à ton père !
J’ai tendu le sac à mon père . Je quitte l’hôpital mais je vais rentre dans une nouvelle prison qui est chez moi .
Dans la voiture
Moi : maman j’espère que tu n’a pas toucher à ma chambre
Maman : pourquoi dis tu cela Malèna ?!
Moi : parce que à chaque fois que je m’en vais à l’hôpital tu change tout dans ma chambre et à mon retour c’est compliqué pour moi de retrouver mes affaires !
Maman : non je n’ai rien toucher
Moi : quand est-ce que je reprend l’école ?!
Maman : c’est beaucoup trop tôt ma chéri
Moi : pardon ?! Maman sa fait six moi que je vais mieux ! Tu n’arrête pas de repoussé ma rentré !
Maman : Malèna
Moi : papa dis quelque chose !!
Papa : je suis du même avis que ta mère cette fois-ci, je pense que c’est beau ...
Il n’avait pas fini sa phrase, que j’étais deja descendu de la voiture. Nous étions déjà arriver à la maison
Maman : Malèna ne sort pas comme ça de la voiture tu n’as pas de manteaux !!
Nous étions en pleins mois de novembre il commençait déjà à neiger, nous sommes en période de grands froids au Canada, dans la voiture j’avais enlevé mon manteau car mon père avait mis à fond le chauffage, il fessait super chaud .
Je suis vite monté dans ma chambre et j’ai fermé la porte à clé , je ne veut entendre et voir personne !
Je veux mené une vie normale, la vie que je menais avant que tout cela arrive, je veux que les gens se comportent avec moi normalement ! Je ne suis pas une maladive ou du moins je ne le suis plus ! Vais-je porter ce fardeau sur mes épaules toute ma vie ?!
Après une heure passée la musique à fond dans mes oreilles avec mes écouteurs, je me suis décidé à prendre une douche , j’ai de la chance d’avoir une salle de bain dans ma chambre, ça me permets de rester dans mon intimité quand je le souhaite.
Dans ma salle de bain et dans ma chambre j’ai fais enlevé tout ce qui avait un rapport avec un miroir, je ne veux pas me voir nue, j’ai la peau sur les eaux, je me rappelle que j’en pleurai à chaque fois que je pose les yeux sur moi devant un miroir , je pouvais voir tous les os de mon corps ressorti, mes yeux sortaient de leurs orbites, je fessais peur . Mais cheveux commencent à repousser doucement mais je n’aime toujours pas, suis-je désirable ?! Bien sûr que non ! L’ancienne Malèna était désirable. J’avais un copain avant tout ça, quand il posait ses yeux sur moi on voyait du désir, de l’amour ou du moins une facette de l’amour, comme tous les autres, il est parti ... au début il était présent mais quand il a vu celle que je devenais et qu’il ne pouvait plus se vider en moi comme il savait si bien le faire il est parti, parti avec des prétextes plus bidons les unes que les autres . Malèna te voir comme ça me fait du mal je ne pourrais supporter de te perdre . Je ne suis pas une bonne personne pour toi ma Malèna, tu mérites mieux que moi . De même pour ceux que j’appelais mes amies mais eux au moins ils ne m’ont pas sorti d’excuse, ils ont juste arrêter de me parler du jour au lendemain, j’étais devenu Malèna la maladive, personne ne voulais m’approcher parce que j’étais une casse ambiance, je ne pouvais sortir ou si je sortais je devais tenir les gens pour marcher, je ne pouvais me rendre en boîte de nuit ou dans les lieux publics. En deux ans je me suis retrouvé seul ! J’étais entouré par famille peut-être mais j’étais seul . Ainsi si va la vie diront-ils ! les gens viennent et repartent n’est-ce pas .! C’est le cycle de la vie .
Toc toc
Moi : qui es-ce !?
Ron: c’est moi Malèna
Je me suis levé de mon lit pour lui ouvrir la porte
Ron: pourquoi tu t’enferme dans ta chambre . Dit-il en rentrant dans la pièce
Moi : parce que j’ai envie d’être seul. Ferme la portez clé derrière toi , je n’ai pas envie que maman rentre
Ron: qu’est-ce que elle a encore fait ?! Dit-il en s’installant sur le canapé en face de mon lit
Moi : elle m’insupporte Ronny ! Elle veut tout contrôle dans ma vie, je me sent étouffé, j’ai l’impression d’être encore malade
Ron: tu sais très bien que elle fais ça pour toi
Moi : mais elle en fais trop ! Je ne peut pas reprendre l’école , je ne peut pas sortir ! Je suis sensé faire quoi au juste !
Ron : moi je vais te faire sortir
Moi: comment ?!
Ron: ne t’inquiète pas , quand tu vaudra sortir tu vient me dire et on sort
Moi : d’accord ...
Ron: bon moi je m’en vais
Moi : ou va tu ?!
Ron : je vais travailler
Moi : tu t’est trouver un nouveau boulot ?!
Ron : non j’ai toujours le même mais la nuit et les week-end je suis chauffeur pour un mec comme ça
Moi : il te paye bien ?!
Ron : le double de ce que je me fais dans mon autre boulot !
Moi: super !
Ron : bon je te laisse je dois partir
J’aurais tellement voulu qu’il rester, je me sens moins seul quand il est avec moi, ont discute de tout sauf de ma maladie, c’est ce que j’aime avec mon frère, avec mes parents nos sujets de conversation tourne autour de ma maladie et rien d’autre, cela me gave .
Je n’ai rien d’autre à faire que regarder la télé, mon père a fait installer une télévision dans ma chambre, cela m’empêche de me rendre en bas dans le salon, je me demande si ce n’est pas une technique pour empêcher les visiteurs de me voir, ont-ils honte de moi mes parents ?! J’ai quelque fois cette impression car je ne suis malheureusement pas présentable physiquement, mon petit frère lui il est beau, plus il grandit, plus il devient un bel homme que toutes les filles courent derrière, et moi toute fine et pâle, je ne suis ni clair, ni foncé de peau de base, j’ai une couleur de peau caramel un peu foncée, mais j’arrive quand même à être pâle, c’est la maladie .
Oh qu’est-ce que je déteste ma vie !
Papa : Malèna . Dit-il en rentrant dans la chambre
Moi : papa tu ne peut pas toquer ?!
Papa : t’a porté été entre ouvert c’est pour cela que je me suis permis. Comment tu va ma princesse
Moi : j’irais mieux le jour où tu arrêtera de me regarder avec ses yeux !
Papa : quel yeux ?!
Moi : regarde toi , tu me regarde comme ci j’étais morte
Papa : Malèna ! Non jamais ! Je suis juste inquiet pour toi
Moi: je vais bien papa
Papa : je veut que tu ailler au mieux de ta forme , je veut trouver ma fille, celle qui était pétillante et joyeuse
Moi : laissez-moi , maman et toi , faire les chose de moi-même et tu verra que je vais redevenir ta fille
Papa : il faut quand même être prudent
Moi: la maladie est parti papa je vais mieux
Il a posé sa main sur la mien puis la serre fort
Papa : je ne sais pas si je vais avoir la force de vivre si je te perds.
Moi : plus tu t’inquiète et plus il va m’arriver quelque choses, protège moi mais autrement, protège moi avec pleins d’amour et laisse moi respirer car j’en ai grandement besoins
Papa : d’accord, je vais parler à ta mère pour que tu puisse sortir un peu plus souvent
Nous avons discuté un petit moment et je ne sais comment je me suis endormi, peut-être pendant notre conversation mais je me souviens que mes paupières commençaient à devenir lourde et je me battais contre le sommeil.
Chapitre 2** Les frères McClaren **Peter McLaren , le dieu de ses dames et le cauchemar de plus d’un ! Peter était l’un de ses hommes dont on entendait parler dans tout Montréal, il y avait des tas d’histoires qui se racontait à son sujet et pas de très belle choses . Il était le prince de Montréal.Peter et son frère jumeau Paul étaient deux mafieux, ils avait à eux seul tout une équipe d’homme aussi violent les uns que les autres , ils étaient arriver à un stade de leur « carrière » très élevé car ils travaillent même avec les chefs d’états .Peter avait deux boîte de nuit et un restaurant cinq étoile. et Paul il gérait toute une chaîne de club de streaptease . Derrière
Chapitre 3** Malèna Magdala **C'est une souffrance à peine supportable que celle qui naît du regret. Elle instaure entre soi et sa vie une distance, que rien ne pourra combler, car ce qui est fait est fait, et ce qui n'a pas été fait ne pourra plus l'être.Être seul vous fait vraiment réaliser que tout ce que vous avez c'est vous-même.La vraie tristesse de la solitude tient à ce que, loin d'y être seul avec soi, on y subit la pire compagnie, la présence intériorisée des autres, la loi du clan.En ce beau dimanche ensoleillé ma mère a dressé la table du petit déjeuner dans le jardin mais malheureusement où heureusement je me retrouve seul avec elleMaman : il fais beau aujourd’hui n’est ce pas ?!Moi : hum ..
Chapitre 4** Malèna Magdala **Moi : grand-mère j’en peu plus de tout , je me sent très mal dans ma peau et maman ne le voit pas , elle ne voit que la maladie qui est en moi . Je veut vivre ma vie tel une fille de mon âge , je veut pouvoir rire aux éclat, sortit . Je n’arrive même pas à me regarder dans un miroirGrand-mère : ca te fera du bien de venir chez ta grand-mère ?!Moi : oui beaucoup mais est-ce que maman va t-elle accepterGrand-mère : t’inquiète pas je vais venir te chercher dans deux jours, le temps que je te prépare une chambreMa grand-mère est une femme géniale, très ouverte d’esprit et riche , elle est riche car elle a hérité de l’argent de son défunt mari décédé il y&r
Chapitre 5** Malèna Magdala **Une semaine que nous sommes au Brésil ma grand-mère me pousse à m’amuser etc ..J’ai encore grossis j’ai pris deux kilos je commence à avoir des joues, je suis super contente ! Avant de partir je m’étais fais un tissage brésilien très long, c’est ma grand-mère qui a choisis et ce n’est pas pour me déplaire .J’étais tranquillement assis au bord de la piscine entrain de trempé mes pied dans l’eau quand un homme est venue faire de même... : vous vous s’amuser ?! S’asseyant près de moiJe l’ai regarder quelques instant avant reporter mon regard ailleurs.. : pas de soucis on va rester ainsi jusqu’à ce que vous vous décider de me parler
Chapitre 6** Carlos Santos **Carlos était épanouis depuis un certain dans sa relation avec Malèna , il trouvait en elle quelque chose qu’il n’a jamais trouver chez une autre, au début il pensait que ça aller juste être une amourette de vacances comme il a l’habitude d’avoir mais cette voici avec Malèna c’était beaucoup plus, il est tomber amoureux de cette fille douce aux sourire contagieux. Malèna, pensait t-il , il pris son téléphone pour l’appeler car elle le manquai, il était parti à Brasilia pour son hôtel qu’il souhaite ouvrir la bas .Carlos : comment elle va la plus belle femme du monde ?!Malèna : elle va bien mais son chéri lui manqueCarlos : tu veut qu’il rentre maintenant ?!Mal&egra
Chapitre 7** Malèna Magdala **Depuis mon retour du Brésil tout va mal , je ne fais que de me disputer avec mes parents , beaucoup plus avec ma mère a propos de Carlos , l’atmosphère été devenue tellement tendu entre nous .Ma mère ne me soutien jamais dans tout ce que je fais , même bien avant ma maladie ça a toujours été comme ça , la personne qui me donne en peu de soutient c’est mon père, je ne comprend jamais pourquoi elle est aussi dur avec moi , pourquoi m’impose t-elle autant de limite ?! J’aimerais tellement lui dire ce qu’il se passe dans ma vie , mes peurs, mes tristes, mes déceptions etc .. mais je ne peut pas car elle juge toujours mes décision. Ne voit t-elle pas que je suis heureuse avec Carlos ?! Que j’ai grossi ?! Que je suis redevenu la Malèna d’avant
Chapitre 8Je suis à Kinshasa ! Quel chaleur ! Mon grand-père est venu me récupérer à l’aéroport de Ndjili , ça sent tellement bon ce pays ! L’odeur de la viande cuit en pleine air , c’est une ville tellement mouvementé, j’aime beaucoup l’accueil je pense que vivre ici me changera vraiment les idées .Koko : alors ça te plaît ?!Moi : oui koko j’aime beaucoup mais je suis tellement fatiguer j’ai sommeilKoko veut dire grand-mère, grand-père en lingala pour être beaucoup plus précis on dit koko y’a mobali pour dire grand-père et koko y’a muasi pour dire grand-mère.Koko : Alphonsine a déjà préparé ta chambre tu va bien dormirMoi : qui c’est Alphonsine
Chapitre 9Un an plus tardCela fait maintenant Un an que je vie au Congo et comment vous dire que je suis devenu grosse !! J’ai de la chair comme dirait koko Mamie , non plus sérieusement j’ai pris du poids mais sur les hanches, les cuisses et la poitrine je ne comprend pas , koko Mamie dis que le corps d’une femme est un secret que personne ne sais comment y remédier , j’ai des grosses joue maintenant à vrais dire je ne m’en pleins pas ! C’est toujours mieux que d’être une squelettique !Depuis peu je songe à parti au Canada juste un petit moment et rentré au Congo par la suite , ce n’est pas que le froid me manque mais ma famille si ! Je ne vais pas vivre définitivement au Congo mais pour l’instant je me sent bien ici et c’est pour cela que je veut juste aller un mois ou deux à Montréal ensuite ren