L'amour, oui le vrai, est un mythe, un conte de fée, une illusion pour certaines personnes et pour ces dernières le vrai amour n'existe pas tout simplement. Des fois lorsque j'entends cela, je me demande aussi si ces dernières en disposent avant de ne pas en son existence? Parce qu'on ne peut jamais bafouer l'existence de quelque chose si on en dispose. C'est pour ça des fois, pour donner certains exemples, nous devons commencer par nous même.
Celui ou celle qui ne croit pas en l'existence de l'amour, ne dispose pas de l'amour. Car ce n'est pas parce que tu n'as pas encore trouvé celui ou celle avec qui tu vas construire ton monde d'amour, ou c'est parce que tu rencontres toujours des déceptions ( Leçons de la vie) sur ton chemin, que déjà pour toi l'amour n'existe pas. Si c'est ce que tu penses, tu te trompes gravement.
Beaucoup ont dans la tête si on considère l'amour comme une rose que déjà cette rose est au point quelque part où ils iront chercher. Cette pensée que nous avons des fois dans la tête, fait que nous n'arrivons pas à voir la réalité des choses. Parce que la rose aussi était une graine mise en terre et entretenue pendant longtemps pour venir à ce stade de fleur. C'est comme ça l'amour.
Un Homme qui n'a jamais connu ce qu'on appelle DÉCEPTION et que vous prenez tellement à cœur, peut se donner corps et âme sans même réfléchir si vraiment ce dernier veut faire du sérieux. Contrairement à celui ou celle qui a déjà goûté au vinaigre plusieurs fois en amour.
Mais bon on oublie ce côté de déception, tous ceux qui connaissent ce qu'on appelle le vrai amour véritablement en bénéficient toujours. Et même pour eux les obstacles et les problèmes dans leurs relations constituent les forces qui les aident à bien bâtir leur monde d'amour.
Tout le monde veut vivre le vrai amour sans souffrir, ce qui est impossible de nos jours où la déception est dans nos bouches, ce qui pousse l'homme à être sérieux est toujours à la portée de l'homme. Je parle bien du SEXE, et celle qui doit aussi se donner de la valeur se fait échanger par de l'argent et autres choses luxueuses. Je parle bien de la FEMME.
Avant un homme qui voulait faire du sérieux avec une femme, pouvait attendre des années juste pour cette dernière pourquoi ? Parce que lui-même sait que malgré toutes les richesses dont il dispose, ce sera difficile pour lui d'avoir cette femme facilement dans son lit et comme ça lui tient à cœur, son objectif ne sera plus de passer un bon moment avec cette femme et de la laisser après mais de l'épouser.
Mais de nos jours, il faut juste qu'on soit en contact avec l'homme et que ce dernier ait un peu les moyens et déjà le premier jour on se laisse aller. Déjà le premier jour que tu as vu l'homme, il a fait l'amour avec toi. Tu peux te dire que c'est parce que tu es follement amoureuse de cet homme et c'est pour ça que tu t'es laissée aller. Mais tu dois savoir que tu te trompes et n'oublie pas que certains hommes aiment se poser des questions comme ?
— Cette fille sera une fille sérieuse avec qui on pourra avoir une relation durable ?
— Sinon déjà le premier jour de notre rencontre, je lui ai fait l'amour, elle n'a même pas résisté, c'est seulement à moi qu'elle s'est laissée comme ça ou bien c'est comme ça elle est et elle se laisse à tous les hommes qui se mettent avec elle?
—Etc etc......
On veut avoir le vrai amour, alors que nos comportements aussi constituent un blocage pour avoir ce qu'on veut.
Dans tous les cas, comme on dit, l'homme est né bon et c'est toujours l'homme qui le transforme en mauvais ou bon. Je ne vais pas trop discuter sur ça.
Dans le but de montrer à ceux qui se disent que l'amour, le vrai n'existe pas, la valeur inestimable de l'Amour et de leur montrer que l'amour n'est pas une illusion et que ce sont nos comportements qui font que l'amour, le vrai perd sa valeur, ce que certains ont compris et savent se maîtriser pour toujours avoir l'amour dans leur Palais, j'ai eu l'immense envie de faire face aux Muses en leur comptant fleurette de la manière la plus sidérante. Elles se sont laissées faire et ma plume, vive et audacieuse se plongea dans cet encre intarissable pour ainsi écrire une histoire D'AMOUR VRAI intitulée : LE VRAI AMOUR, une histoire qui fut la première histoire que j'ai écrit dans ma vie et qui a fait naître ma page f******k : Les Chroniques De Richy.
DÉBUT DE MON HISTOIRE
Je me nomme Richy Mousse , né dans une famille de sept enfants , c'est-à -dire quatre filles et trois garçons et je suis l'un des trois garçons, le deuxième garçon si je peux dire ça comme ça. Car toutes les filles ont vu le jour avant nous les garçons.
Nos parents ont divorcé lorsque mon petit frère avait deux ans et moi cinq et donc nous avons grandi auprès de notre mère. Une lionne qui a beaucoup souffert pour que ses enfants aient le meilleur pour leur avenir, à travers ces tracas vous même vous savez le reste.
Une femme qui doit s'occuper seule de ses enfants, sans aucun soutien ce n'est pas la joie. Mais on ne peut pas dire qu'elle n'a pas lutté, elle a vraiment lutté jusqu'à ce que moi *Richy*j'ai eu mon diplôme de baccalauréat.
Premier diplôme universitaire et c'était une joie pour elle car elle est maintenant comptée parmi les parents qui ont des enfants étudiant (e)s. Mais bref ce n'est pas la nostalgie qui m'a amené ici, grâce à l'aide de mes grandes sœurs et aussi de mon père qui est apparu après l'obtention de mon diplôme, j'avais commencé l'Université.
Pour mes parents, je dois devenir un grand magistrat et là je me suis inscrit en SJ (Sciences juridiques), mon seul objectif était bel et bien de concrétiser leurs rêves. Durant toutes ces années je ne me suis jamais engagé dans une relation amoureuse car un pauvre mec comme moi qui n'arrivait même pas à satisfaire ses besoins allait faire quoi avec une fille?
Une question que je me posais souvent et c'est vrai, de nos jours c'est l'argent qui est le conducteur de l'amour.
Concernant les relations amicales, je n'étais pas du genre à me faire beaucoup d'amis. Car je m'énerve trop vite, Youbano est le seul ami que j'avais sur le campus et c'était lors d'un exposé qu'on s'était connus. Youbano est un mec cool et par surprise sa maison était juste derrière la mienne. On faisait presque tout ensemble , nos devoirs, les exercices, les sorties entre mecs...
Anna est la petite amie de Youbano et elle aussi est vraiment sympathique.
Étant le fils d'un pauvre, mon dilemme a commencé lorsque j'ai croisé *Prunelle* une fille vraiment belle de ma promotion c'est-à -dire nous sommes dans la même école de droit. Mais le problème est qu'elle est une fille riche, son père est un grand chirurgien qui travaille en Espagne et sa mère Directrice Générale d'une entreprise. Vous voyez que je n'ai aucune chance?? C'était ce que je me disais, car qu'est-ce qu'une fille comme elle allait avoir avec moi, un enfant de pauvre?
Chaque fois que je posais mes yeux sur elle,je sentais quelque chose comme un feu qui brûlait au fond de moi. Mon rythme cardiaque changeait et on dirait qu'elle était la pièce manquante pour que mon cœur puisse fonctionner normalement.
Mais je ne pouvais rien, car je me voyais inférieur devant elle. Tony un mec de ma promotion était le seul qui causait avec *Prunelle* car lui aussi est un enfant de riche et aussi peut-être un *parent* de Prunelle.
Il était 6h30mn et vraiment sans blague je n'avais pas du tout envie de me rendre à l'Université. Moi même je ne savais pas pourquoi, j'avais déjà pris ma douche mais j'avais la flemme. Quelques secondes après c'était ma *Mère* qui m'interpelle :
— Mon garçon, tu ne vas pas en cours ?? Ton ami te cherche je parle de Youbano.
— OK maman je viens déjà. Répondis-je
Une fois au dehors, j'avais vu *Youbano* qui était déjà prêt pour que nous prenions la route de l'Université.
— Ah! brother, comment vas-tu et ce matin ?
— Ça va bro et de ton côté ? J'espère que ça bouge?
— Oui mon frère je rends grâce à Dieu.
— Mais Richy je ne comprends pas , c'est quoi n'es-tu pas prêt pour qu'on y aille? ou bien tu ne viens pas aujourd'hui ?
— Youbano je ne sais pas pourquoi, mais je n'ai pas envie de partir en cours aujourd'hui.
— Mon frère ne me dit pas que c'est toujours à cause de cette fille hein!!!
— De quelle fille parles-tu encore ?
— Tu sais très bien de qui je parle *Richy*. Je parle de *Prunelle*.
— Oh non mon frère toi aussi, comment peux-tu imaginer cela ?
— Ou bien c'est à cause de son garde du corps *Tony ??*
— Non non mon frère.
— Et c'est quoi man ? Va te doucher et on s'en va s'il te plaît.
— OK OK je me suis déjà douché, attend juste que je m'habille.
— OK fais vite mon pote.
J'avais laissé Youbano dehors pour aller m'habiller. J'étais prêt et nous avions pris la route. Après avoir passé quelques minutes sur le chemin, nous voilà enfin sur le campus, mon ami et moi.
Une fois devant notre salle, à ma grande surprise c'était *Prunelle* qui était à la devanture. Elle discutait avec Tony, j'avais détourné mes yeux pour ne rien voir et soudainement j'entendis quelqu'un m'appeler. Bizarrement je n'avais personne comme ami à part *Youbano* qui connaissait mon nom.
Je m'étais retourné et qui avais-je vu? C'était *Tony* qui m'appelait, je ne voulais pas aller vers lui, car ce dernier me faisait signe de la main de venir. Mais mon ami me demanda d'aller entendre ce qu'il voulait de moi et j'étais parti le voir.
— Bonjour bro , me dit-il devant *Prunelle*
— Oui bonjour comment vas-tu et ce matin ?
— Bien et la journée ça va j'espère !!?
— Oui je rends grâce au Dieu tout puissant.
— OK moi c'est Tony JOHNSON, je voulais solliciter ton aide concernant l'exercice que le docteur de sciences politiques a donné. Car d'après les dires des amis tu es le seul qui peut vite comprendre et résoudre les questionnaires. Donc je veux bien que tu m'aides à les comprendre si ça ne te dérange pas.
— Si je comprends bien, tu viens de dire que c'est moi seul qui peux résoudre les questionnaires. Comment moi seul? je ne connais rien pour être placé à ce niveau dans notre salle, mais je verrai si mon temps me permettra de te donner un coup de main.
Soudainement après avoir dit cela , c'était la voix de ma déesse qui résonne vous savez bien à qui je fais allusion, je veux parler de Prunelle.
— *Prunelle :* S'il te plaît Richy, aide nous , toi-même tu sais que le Docteur a une interrogation sur ça. S'il te plaît ou bien si tu veux on peut te payer pour ça...
— Quoi me payer pourquoi? non non vous aussi OK, c'est compris. Lorsque nous finirons les cours nous chercherons une salle pour le faire.
Les amis vous même, vous savez ce qui m'a poussé à prendre cette décision. C'est l'intervention de celle dont je rêve *Prunelle* bien-sûr. Car j'allais au moins avoir la chance de la regarder de près maintenant.
Ils me remercièrent et nous nous étions séparés sur ces mots. Nous étions sortis vers 16h et j'étais tellement fatigué, j'étais aussi dérangé par la faim, mais je ne savais pas quoi manger. Car je n'avais pas d'argent je pensais à ça et je me souvins que ma mère m'avait remis 100f le matin avant que je ne quitte la maison.
J'avais fouillé ma poche et j'avais effectivement trouvé les 100f. J'ai décidé d'aller prendre quelques biscuits de 25f et de l'eau. Car je n'aimais pas trop manger les nourritures préparées par les bonnes dames, je fis signe à *Youbano* pour qu'on s'en aille pour le centre commercial. Soudainement, j'entends quelqu'un prononcer mon prénom .
— Prunelle : Richy tu pars déjà c'est ça ??
— Non Euuu... s'il te plaît c'est quoi ton prénom déjà ?
— Je me nomme *Prunelle MENSAH*
- OK Prunelle, je veux juste aller prendre quelque chose au centre commercial avec mon ami..
— OK attendez nous alors répliqua Tony,
On pensait prendre quelque chose à bouffer avant l'étude.
Je commençais par me demander comment j'allais me comporter là-bas, vraiment quelle malchance ! J'avais juste 100f en poche. *Youbano* qui entre-temps nous avait rejoint remarque que je ne suis pas à l'aise et comme il savait tout venant de moi il me dit *bro t'inquiète j'ai 1000f avec moi on va gérer*
—OK mon frère, répondis-je.
Nous sommes partis au centre commercial tous les quatre. Une fois au centre commercial, *Prunelle* demanda ce qu'on voulait prendre. Car elle aimerait prendre du riz au gras. Tony, quant à lui voulait aussi prendre du riz au gras.
J'avais dit que je voulais juste prendre du biscuit car je n'aimais pas trop les repas achetés. Prunelle se retourna, me regarda et dit :
— *Prunelle :* Ah bon? Tu es comme mon père alors, il n'aime pas du tout payer à manger.
— OK je vois, répondis-je.
J'étais parti prendre trois biscuits de 25f et un sachet d'eau de 25f. Mon ami aussi ne savait plus trop quoi dire car il me connaît.
Tout à coup, Prunelle après m'avoir vu prendre les biscuits me demanda :
— *Prunelle* : Quoi? c'est ce que tu veux prendre pour traiter l'exercice avec nous ??? C'est quoi ça ou bien ne sais-tu pas que tu vas dépenser de l'énergie ??
— Oui je sais, mais ça me va largement. Ne t'inquiète pas, merci beaucoup de te soucier de moi.
Prunelle, sans rien me dire , alla chez la vendeuse de biscuits et me prit un biscuit de 500f. Elle vient me remettre ça, j'ai refusé mais elle a insisté et Youbano me fait signe de prendre le biscuit sans discuter donc j'accepte.
Mais un problème, la façon dont Prunelle réagissait n'était pas appréciée par *Tony* et ce dernier la regardait bizarrement. Nous avions fini de manger et nous nous étions mis à chercher une salle vide. Sur la route, *Prunelle* me demanda si je n'allais pas manger le biscuit qu'elle m'avait acheté?
Et je lui avais répondu que j'allais manger après. Ce que Tony n'avait pas aimé, en voyant ses réactions.
Nous avions cherché une salle jusqu'à épuisement, mais en vain car toutes les salles étaient occupées.
Prunelle demanda :
— Personne parmi nous n'a sa maison à côté? Car moi je quitte loin sinon nous allions partir chez moi.
— Moi aussi je quitte loin dit Tony.
— OK répondis-je, Youbano et moi sommes juste à côté. Mais je ne sais pas si vous serez d'accord car ma maison n'est pas si grande.
— Tony ouvre grandement ses yeux en disant “ ta maison est comment tu veux dire? Moi je suis obligé d'appeler mon chauffeur de venir me prendre. ”
— *Prunelle :* Mais Richy qui parle de la grandeur de maison ? Moi je suis prête nous allons partir chez toi alors.
Tony ne voulait pas partir chez moi mais comme Prunelle avait dit cela, il n'avait pas le choix. Ça se voyait qu'il ne voulait pas laisser Prunelle seule avec nous.
Nous nous étions mis en route pour nous rendre chez moi.
Enfin nous sommes arrivés chez moi, nous avions juste pris 10 minutes pour être chez moi et je leur avais demandé d'entrer.
Prunelle n'avait pas hésité avant d'entrer mais mon rival Tony regardait un peu partout bizarrement tout comme ci, il n'a jamais vu une maison comme la mienne dans sa vie. Mais il n'avait pas le choix, car c'est lui un enfant riche qui cherche de l'aide chez moi un enfant pauvre.
J'avais demandé à mon frère Jiffy de venir leur donner de l'eau à boire et Tony s'était opposé directement qu'il ne veut pas de l'eau. Contrairement à Prunelle qui avait demandé à mon frère d'amener l'eau. Je pensais qu'elle blaguait mais à ma grande surprise elle avait bu l'eau et remis le verre à mon frère.
Je me suis dit intérieurement que je ne me suis pas trompé en laissant mon coeur battre pour cette fille. Mon frère est rentré dans la chambre pour apprendre car il avait aussi une composition la semaine qui viendra.
J'avais fait sortir le tableau, le chiffon, la craie et autres pour que nous commençons car ils sont déjà tous assis. J'avais dit que nous allons prier avant le démarrage et Tony me regardait de plus en plus bizarrement mais Prunelle avait juste répondu qu'elle est prête.
C'est une prière que j'ai reçu de ma mère et qui m'aide vraiment , j'avais commencé : ‹‹ Seigneur Jésus tu es toute sagesse et toute science, dispose notre intelligence à bien comprendre cette leçon toute nouvelle, et met un nouveau rayon de ta lumière sur notre esprit. Amen! >> j'ai terminé et nous avons tous ensemble dit : ‹‹ AMEN ›› et nous avons commencé.
Nous étions entrain de travailler lorsque ma mère est revenue du marché, elle est partie faire des ravitaillements pour son commerce. Ma mère une fois à l'intérieur m'avait demandé de venir l'aider.
— Richy, Jiffy venez m'aider à rentrer les colis.
J'ai demandé à mes amis de m'excuser un instant, quant à Youbano il m'a suivi pour m'aider. Nous avons fait rentrer le premier colis et en sortant de la chambre c'est Prunelle que je vois avec la bassine qui contenait les éléments de cuisine sur la tête malgré qu'elle avait fait une jolie tresse.
Cette fille est une perle rare, me suis-je dit intérieurement et j'avais pris la parole.
— Oh non Prunelle pourquoi te gênes-tu? Tu es ici pour faire des exercices et non ça, s'il-te plaît.
J'ai demandé à mon frère de venir la décharger , le feu brûlait encore plus fort dans mon coeur pour elle. Nous nous sommes remis à la tâche, ma mère avait fini de régler le taximan et elle était rentrée dans la maison. Elle avait fait un coucou à mes amis et après avoir remercié Prunelle et Youbano, elle nous avait faussé compagnie pour entrer dans la chambre.
Nous avons terminé les études aux environs de 19h30 comme ça tout le monde était satisfait. Surtout Prunelle et Youbano mais seulement Tony qui dit qu'il n'était pas encore trop dans le bain alors que c'est le lendemain à 10h que nous avons l'interrogation. Dans tout les cas, moi j'avais fait de mon mieux pour les aider.
Je voulais les raccompagner lorsque Prunelle avait décidé de dire au revoir à ma mère avant de partir, je ne m'y suis pas opposé, j'avais fait signe à ma mère et elle était venue les voir.
—Les enfants vous partez déjà ? Moi qui pensait que vous allez attendre pour manger avec nous.
—Prunelle : Oh maman vraiment ça me plairait bien mais je quitte loin et le chauffeur est déjà devant le campus à m'attendre peut-être une autre fois.
— OK bonne route alors.
— Merci maman bonne soirée à vous.
— Merci ma fille.
Ma mère avait dit seulement ma fille car pendant que nous parlons Tony était déjà au portail, je ne savais pas trop la mouche qui l'avait piqué. Je les avais raccompagné et chacun avait pris la direction de sa maison, à notre retour sur le chemin, mon ami et moi discutions.
— Bro sans te mentir la fille est vraiment sympathique et cool, en plus d'être gentille.
Je faisais semblant de ne pas savoir de qui il me parle et je répondis.
— Mon frère tu parles de quelle fille déjà ??
Youbano m'avait regardé bizarrement et me dit à nouveau : ‹‹ est-ce de moi que tu parles ?? ›› Et on s'était mis à rigoler.
Le lendemain.
Il sonnait 9h30mn, le Docteur avait dit qu'il lancera l'interrogation dans 30mn et comme Tony avait dit lors d'étude que nous avions eu à faire qu'il n'était pas dans le bain, j'étais parti le voir pour le mettre encore un peu dedans lorsque Prunelle aussi était venue nous rejoindre ainsi que mon ami Youbano.
Nous étions là lorsqu'une fille qui n'était pas loin de là où nous sommes, nous avait demandé si elle peut nous rejoindre et tout le monde se mit à me regarder. J'avais repondu OUI à la fille de la tête et elle était rapproché de nous. Elle s'était présentée à nous et son prénom c'est Sybelle et nous aussi nous nous sommes présentés à elle. J'avais repris avec l'explication et tout le monde était dans le bain. Le professeur avait demandé le calme ce qui voulait dire qu'il allait lancer l'interrogation.
—Professeur : Mes cher(e)s étudiants et étudiantes l'interrogation qui sera faite va être prise comme première note de ma matière, alors que chacun soit sur ses gardes. Parce ce que ça va durer juste 30 minutes et sera corrigée et reportée en même temps. Ce qui veut dire que vous aurez vos copies avant de rentrer chez vous.
Toute la salle fit silence et nous avions fini l'interrogation, une fois terminé c'était Sybelle qui était venue me voir pour me dire qu'elle avait la chance de venir écouter mes explications, qu'elles lui ont vraiment servi et j'étais vraiment content pour elle.
La correction a été faite et parmis les 200 étudiants c'était seulement 30 qui ont eu la moyenne. Il sonnait 16h lorsque nous voulions rentrer que les copies nous ont été remise.
Prunelle avait eu 16/20 , moi j'avais juste pris 18/20, Youbano 17/20 , Sybelle 14/20 et Tony 12. Ce que Tony n'avait pas du tout aimé, c'est-à-dire tout le monde était content sauf lui.
Le lendemain de la remise des copies d'interrogation, je me suis vite levé le matin très tôt car j'étais vraiment content d'avoir rendu un service aux amis dans quelque chose. Je me suis brossé les dents, j'ai fait quelques travaux de maison pour faciliter la tâche à ma mère car je partais en cours à 10h, comme le prof de 7h à 10h sera absent.
Une fois terminé avec les travaux, j'ai décidé de regarder un peu le journal matinal à la télé.
C'est vrai que je suis un pauvre, mais la lionne qui m'a mise au monde nous a donné cette opportunité. C'est vrai que c'est une petite télé écran 14 pouces mais ça sert au moins à quelque chose. J'étais là quand mon ami Youbano est venu me voir et nous nous étions mis à discuter de l'interrogation lorsque quelqu'un avait ouvert le portail et nous avions entendu la personne dire qu'elle veut acheter.
Nous sommes sortis pour voir et à notre grande surprise c'était Sybelle la fille qui était venue se joindre à nous en salle lors des explications.
—Quoi ? Richy et Youbano vous ici ?? Vous faites quoi ici ?
J'avais pris la parole.
— C'est à nous de te poser cette question car ici c'est chez moi et je réside ici.
— Ah bon!? Et comment se fait-il que je ne t'ai jamais vu ici car je viens souvent acheter ici, ok je vois maintenant pourquoi ton visage me disait quelque chose la première fois que je t'avais abordé en salle à l'université. Parce que tu ressembles trop à un garçon qui me vend si maman n'est pas à la maison.
— Oui c'est ma mère qui vend ici et le garçon dont tu parle est mon frère, et Youbano réside juste derrière ma maison.
— OK je vois, moi j'ai loué ici à cause de l'Université si non je réside à Sèmè Kraké.
— Ah bon donc tu viens de la même localité que Youbano, parce que c'est l'Université aussi qui a amené mon ami ici.
— Sybelle alors tu as fait le CEG Sèmè ?? Lui demanda Youbano.
— Oui répondit-elle.
— OK je vois.
— Richy vraiment merci beaucoup pour hier sans toi je n'allais pas avoir aussi bonne note.
— Oh non oublie ça répondis-je. Bon tu veux acheter quoi ??
— Je veux acheter du sucre et du lait en poudre. Répondit-elle.
Je lui avais vendu et avant de partir elle voulait encore recommencer avec ses remerciements et je lui ai dit d'oublier. Elle avait commencé par nous poser des questions.
— Vous partez à quelle heure en cours pour que si possible je vous rejoigne pour qu'on aille ensemble.
— Nous allons prendre la route à 9h30mn.
— OK à tout à l'heure alors et merci encore pour hier.
Sur ce, Sybelle nous faussa compagnie.
Il sonnait 9h27 lorsque Youbano et moi étions sur le point de partir, Sybelle nous rejoignit et nous avions pris la route pour l'Université.
Nous étions enfin à l'Université et j'avais vu Prunelle à la devanture de notre salle. Elle nous avait salué et nous avions répondu à sa salutation. J'ai demandé d'après Tony, comme je n'avais pas vu ce dernier à côté d'elle comme d'habitude et elle me dit qu'il est dans la salle.
Le professeur était venu et nous avions commencé le cours. À la fin nous étions sur le point de rentrer lorsque Prunelle est venue me demander quelque chose qui me mis mal à l'aise. Parce que je n'avais pas les moyens pour avoir un portable, toutes les économies que je faisais c'était juste pour satisfaire mes besoins universitaires.
— Richy puis-je avoir ton numéro ??
— Désolé Prunelle je n'ai plus de portable car le seul que j'avais, est gâté donc même si je te donne mon numéro tu ne pourras pas me joindre.
— OK je vois, mais donne moi le numéro quand même et on dira le reste demain OK?
Prunelle avait fait sortir un portable IPhone et m'avait demandé d'écrire le numéro moi-même. J'avais écris et nous avions pris la direction de nos maisons.
Nous étions sur la route et Sybelle nous avait demandé de venir connaître sa maison. Je lui avais dis une autre fois, mais elle avait insisté et nous avions fini par accepter. J'avais déposé mon sac à la maison d'abord et nous étions partis Youbano et moi.
Nous sommes partis chez elle et une fois dans sa chambre, on ne dirait pas que c'est une étudiante car il y a des sofas par ci, par là une télé à écran plasma, un ordinateur et tout quoi. Elle est gâtée et en plus elle est la seule qui reste dans la chambre. Elle nous avait demandé de prendre siège ce que nous avions fait et elle nous avait apportée du jus d'ananas que nous avions pris. Nous avons passé un peu de temps à discuter, elle et mon ami avaient commencé à parler de leur CEG et autres choses concernant leur quartier en ce moment moi je contemplait la beauté de sa chambre.
Elle fait des va-et-vient entre la cuisine et le salon seulement on ne savait pas pourquoi. Nous avons décidés de lui fausser compagnie ce qu'elle n'a pas accepté.
— Bon Sybelle on va prendre congé de toi.
— Non comment ça , vous allez manger avant de partir toi aussi.
— Oh non, Sybelle une autre fois.
— OK je vois tu dis ça parce que mon repas ne peut pas être doux comme celui de maman c'est ça non ou bien parce que je ne suis pas la mieux placée.
— Non pourquoi tout ça OK OK c'est bon tu as gagné, tu peux nous servir, mais juste un peu ,un peu j'ai dis hein.
— Oui,Répond-elle en souriant.
Elle nous avait servi et nous avions fini de manger et elle avait amené un autre jus que nous avions pris. Elle avait décidé de nous raccompagner ce que j'avais refusé et elle nous avait laissé au portail.
Le lendemain matin en cours la première chose que Prunelle avait fait, était de me tendre un sachet, je ne savais pas ce que ça contenait mais elle me faisait comprendre que c'était pour moi.
J'avais pris le sachet chez elle sans rien comprendre et comme le professeur était déjà présent dans la salle, j'avais mis le sachet dans mon sac et je me suis assis. Mon ami Youbano m'avait demandé si tout va bien et je lui avais répondu oui. Nous étions entrain de suivre le cours lorsque le professeur nous avait demandé de former des groupes de cinq membres pour traiter un questionnaire.
Sur ce, Prunelle et Sybelle étaient venues vers mon ami et moi et nous étions au nombre de quatre. Je me disais que Tony allait aussi nous rejoindre mais je me trompais parce que ce dernier s'était pas déplacé de là où il était. Ce qui m'avait vraiment intrigué et je me suis demandé la raison pour laquelle il commencé à prendre de distance depuis la remise des copies d'interrogation.
J'avais demandé aux amis de l'appeler mais eux tous s'étaient opposés, surtout Prunelle.
Nous avions commencés le travail et une fois terminé, c'était nous qui avions eu la plus forte note. Tony s'était mis dans le groupe des responsables. Lorsque nous avions fini le travail du groupe, Prunelle s'était plus retournée à sa place ainsi que Sybelle. On dirait que Prunelle veut me parler mais comme Sybelle aussi était en notre compagnie, elle se sentait gêner et garda son calme. Quelques minutes après, Sybelle s'était retourné s'asseoir à sa place habituelle et on dirait qu'elle avait remarqué les gestes de Prunelle. Sans plus tarder, Prunelle avait commencé par me parler.
— Prunelle : Richy, je veux pas qu'à la sortie tu me poses des question concernant ce que je t'ai remis ce matin, je veux pas que quelqu'un soit au courant de ça à part nous deux stp.
— Comment ça ? Au moins dit moi ce qui est à l'intérieur du sachet, parce que si j'ai une bonne mémoire je t'ai rien fait qui mérite un cadeau.
— Non Richy une fois à la maison toi même tu le verras avec tes yeux , mais autres chose je vais t'appeller le soir à 22h, donc s'il te plaît, soit en zone.
Prunelle ne m'avait même pas donné le temps de dire quelque chose avant de se lever pour aller s'asseoir à sa place. Je me suis demandé comment elle allait me joindre alors que j'avais pas un portable et que je l'avais déjà dit ça. À la sortie, je l'avais même pas vu, cas son chauffeur était vite venu et elle s'était dépêchée pour rentrer.
Sur le chemin du retour, toutes mes pensées étaient dans le sac et je me pressais pour vite rentrer afin de voir ce qui est dans le sachet. Nous étions arrivés au niveau de notre vons et mon ami Youbano avait avait pris la direction de sa résidence et ils restaient que Sybelle et moi comme nous sommes dans la même von.
À suivre...
RICHY PLUME-RAM
GOD'S INSPIRATION
Une fois arrivés au niveau de mon portail, je me suis séparé de Sybelle pour rentrer dans ma maison et elle aussi avait pris la direction de sa maison. Ma mère était à l'extérieur et travaillait.— Bonsoir maman, vous êtes là?— Oui mon fils est déjà de retour ? Tu as fait un peu aujourd'hui et tes amis ne sont pas avec toi aujourd'hui ??— Non maman, eux tous sont déjà chez eux.— OK, mais pourquoi t'es pressé dans tes actions comme ça mon fil? Y a-t-il un problème ?— Rien maman, rien. Répondis-je.
Les jours passèrent, et tout passa bien entre Prunelle et moi sauf que je n'arrêtais pas à me poser des questions concernant son père.Il fut jour où nous avions terminés les cours et j'étais déjà du retour à la maison. Je pensais à tout ce que Prunelle m'avait dit concernant son père et la mère de Tony et j'étais tellement confus. Parce que si c'était vrai et que le père de Prunelle s'oppose à notre relation ce sera pas du tout la joie. J'étais dans mes pensées lorsque Sybelle avait fait son entrée chez moi en me disant qu'elle voulait me parler.— Oui Sybelle je t'écoute, j'espère qu'il n'y a pas un problème hein ?
Le père de Prunelle les avait demandé de prendre siège.— Oh venez toutes les deux, ça tombe à pic, je vais dire devant vous ce que j'ai à dire à Richy.La mère de Prunelle avait pris siège sur une autre chaise sans rien dire et Prunelle était venue s'asseoir à côté de moi. Ce que son père n'avait pas approuvé et l'avait demandé de se lever de là, immédiatement la mère de Prunelle avait dit au père de Prunelle de laisser sa fille tranquille et il était obligé de la laisser.Et ça commence, le père de Prunelle avait commencé par parler.
Le lendemain à 9h, le docteur nous avait dit que tout allait bien, que Prunelle pouvait rentrer. Il avait même demandé à nos mères de régler le problème qui était entre Prunelle et moi. Sinon c'était pas que la tension monte ou descend encore.Nous étions enfin sur le point de prendre la route lorsque Prunelle avait dit à ma mère qu'elle veut bien discuter de quelque chose avec elle. Donc elle aimerait que ma mère les accompagne chez elle, ce que ma mère n'avait pas refusé.Nous avions pris la route, une fois à la résidence des Prunelle , nous avions fait notre entrée à l'intérieur et nos mères avaient commencé à discuter. Nous étions là lorsque nous
Les larmes aux yeux, j'ai remercié le directeur et tous mes professeurs. Je croyais que le bon Dieu m'avait oublié, mais je me trompais totalement. J'étais retourné chez moi avec la joie au cœur, une fois à la maison, mon ami m'attendait et lorsqu'il m'avait vu, il avait sauté sur moi avec joie et me dit.— Bro j'ai reçu un message de notre département et c'est que, je vais déposer un dossier pour obtenir une bourse afin de continuer mes études en Espagne. J'espère que toi aussi tu as reçu le message ?— Non , mon frère, tu as de la chance toi et même si j'ai reçu est ce que ma mère va accepter que j'aille en Espagne étudier ?No
— Oui très bien même mon frère, bon maintenant ont fait quoi ?Je voulais répondre à la question de mon ami, lorsque j'avais réalisé que mon frère était connecté et il m'avait envoyé un « Coucou ». Je lui ai répondu et nous avons commencé par discuter. J'avais demandé d'après tout le monde comme d'habitude et il m'avait dit que tout le monde se portait à merveille.J'avais demandé à mon frère la décision que Prunelle avait prise et il m'avait dit qu'elle avait décidé de garder la grossesse. Mais qu'elle avait peur de me perdre et elle se disait que je l'aimais plus. J'avais dit à mon frère que je ne pourrai jamais cesser de l'aimer.
Elles étaient montées dans la voiture et le chauffeur avait démarré.Comme il faisait déjà tard, la mère de Prunelle avait décidé d'aller prendre une chambre à l'hôtel dans laquelle elles avaient passé la nuit.Cette nuit-là, je ne me sentais pas du tout à l'aise dans ma peau et la seule chose qui me venait en tête, était d'appeler Prunelle. Mais je me disais que peut-être elle serait déjà couchée.Le lendemain matin très tôt, je me suis mis en route pour aller voir l'agent immobilier, une fois dans son bureau, nous avons eu à discuter et il m'avait amené voir la villa dont il m'avait parlé
Mon supérieur avait fait son entrée dans le bureau du commissaire et après avoir pris place, il avait pris la parole.— Bonjour monsieur, comment allez vous bien j'espère !?— Ça va monsieur, je peux faire quelque chose pour vous ? Demanda le commissaire.— Oui quelque chose qui ne doit pas attendre, je suis l'avocat de Monsieur : Richy MOUSSE qui a été amené ici hier, accusé d'avoir enlevé sa petite amie qui est enceinte de lui. Même avec tout ce qui s'est déjà passé, on peut dire sa femme.— Quoi? Sa femme vous dites comment sa femme , qui vous a dit ça ? La personne a kidnappé une femme enceinte d'un autre homme et vous dites sa femme ?— OK c'est bon je peux voir son dossier ?— Son dossier n'est pas encore prêt.— Comment son dossier n'est-il pas pr&
Trois jours après, nous étions en train de suivre le journal à la télé, lorsqu'ils avaient dit que les un mois de garde à vue qu'ils avaient donnés à monsieur Mensah a été réduit. Donc ils restent juste trois jours pour le père de Prunelle et s'il ne trouve pas d'avocat, il sera mis en prison.Après avoir entendu cela, Prunelle avait encore commencé avec ses pleurs et sa mère aussi était venue nous voir le lendemain pour nous informer. J'avais fait comme si de rien était et elles avaient toutes perdu de l'espoir, car selon elles je voulais pas aider monsieur MENSAH, mais je savais très bien ce que je faisais.Il ne restait que deux jours pour monsieur MENSAH. Et déjà le matin, je me s
En me disant tout ça intérieurement, j'avais même plus envie de rester dans le lit d'hôpital, mais malgré moi je devais rester, car je ne me suis pas encore totalement remis. J'avais même plus envie de regarder Prunelle, car en la regardant elle me faisait rappeler son père. Je ne savais même pas si je tremblais ou pas et tout à coup ma mère avait commencé par me parler.— Mon fils, tu as quoi? Pourquoi tu trembles ainsi, as-tu froid ? Oh ne me dis pas que tu a retrouvé ton âme de guerre hein!? Oh mon enfant s'il te plaît, reprends ton esprit.Avec les larmes aux yeux, ma mère me posait ces questions, j'avais même pas la force pour lui répondre. Parce que je ne voyais plus, ma mère gardait ma main, toucha
Le docteur était parti et Prunelle avait fait son entrée. Une fois à l'intérieur, elle avait pris siège à côté de moi et commença à me parler en ayant ma main dans les siennes. — Mon chéri, tu es là pour moi ? Comment tu te sens ? Je sais que tu m'écoutes, je t'aime Richy ,ne me laisse pas s'il te plaît, ta fille a besoin de toi, elle est avec sa mémé au dehors. Mon chéri, mon Roi, le centre de mon univers, mon amour... Prunelle me parlait jusqu'à ce qu'elle s'était endormie, le docteur était entré pour me faire des injections et là, Prunelle s'était réveillée. Elle s'était levée pour sortir enfin de laisser le docteur faire son travail. Elle m'avait jeté un coup d'œil et voulait sortir lorsque j'avais ouvert ma bouche et appela son nom : « Prunelle » Oui c'était son nom qui résonnait dans ma tête, car c'était à cause de notre amour que toutes ces choses nous arrivaient. Prunelle s'était retournée en co
Monsieur Johnson avait fait son entrée dans la maison en compagnie de son chauffeur. Le chauffeur avait stationné la voiture et il était descendu de la voiture pour entrer à l'intérieur.Le voilà enfin au salon, sa femme la mère de Tony ne l'avait même pas laisser prendre siège avant de commencer avec ses brouhaha et dit : « Hé monsieur, vous êtes enfin du retour, Éric je n'arrivais pas encore à croire que tu t'es rabaissé jusqu'à ce point. Toi un grand homme d'affaires, reconnu en Espagne, tu appelles celui qui est peut-être ton enfant, ce va-nu-pieds " MONSIEUR"? Et en plus devant tout ce monde, tu t'es fait ridiculiser et si tu ne sais pas encore, sache que moi j'ai honte à ta place. Le camarade de ton enfant que toi tu appelles "MONSIEUR" » La mère de Tony
À la sortie, Cynthia m'attendait devant le portail et lorsqu'elle m'avait remarqué, elle avait commencé par crier en m'appelant par un surnom qui ne m'avait pas plu du tout. Tout le monde avait commencé à me regarder et certaines d'entre elles commençaient par chuchoter. Je me suis approché pour lui dire calmement mes trois vérités. Parce que ses comportements commençaient à me mettre hors de moi. À la pause c'était “ Coco ``, maintenant c'est “ Mon Chéri ”. C'est vrai que ça ne dérange en rien ces surnoms, mais je n'aimerais pas étirer des mauvais regards sur moi et seul Dieu pouvait savoir ce que cette Cynthia avait derrière la tête.— Cynthia, tu joues à quel jeu au juste ? J'aime pas trop ce que tu es en train de faire. De
Cette nuit-là, j'avais réfléchi à ce que l'homme de limousine m'avait dit et je me suis dis si vraiment il avait un bon avocat il ne pourrait pas venir me demander une telle chose. Ce qui m'avait aussi donné du courage parce que je me suis en même temps dit que monsieur Éric est innocent dans cette affaire.Je me suis aussi demandé si je ne voulais pas mettre ma vie encore dans un autre problème. Mais après tout, ce sont les risques du travail et de plus je n'étais pas seul, mon Docteur et mon Dieu étaient à mes côtés.Le lendemain...À la justiceNous étions d&eac
Mon supérieur avait fait son entrée dans le bureau du commissaire et après avoir pris place, il avait pris la parole.— Bonjour monsieur, comment allez vous bien j'espère !?— Ça va monsieur, je peux faire quelque chose pour vous ? Demanda le commissaire.— Oui quelque chose qui ne doit pas attendre, je suis l'avocat de Monsieur : Richy MOUSSE qui a été amené ici hier, accusé d'avoir enlevé sa petite amie qui est enceinte de lui. Même avec tout ce qui s'est déjà passé, on peut dire sa femme.— Quoi? Sa femme vous dites comment sa femme , qui vous a dit ça ? La personne a kidnappé une femme enceinte d'un autre homme et vous dites sa femme ?— OK c'est bon je peux voir son dossier ?— Son dossier n'est pas encore prêt.— Comment son dossier n'est-il pas pr&
Elles étaient montées dans la voiture et le chauffeur avait démarré.Comme il faisait déjà tard, la mère de Prunelle avait décidé d'aller prendre une chambre à l'hôtel dans laquelle elles avaient passé la nuit.Cette nuit-là, je ne me sentais pas du tout à l'aise dans ma peau et la seule chose qui me venait en tête, était d'appeler Prunelle. Mais je me disais que peut-être elle serait déjà couchée.Le lendemain matin très tôt, je me suis mis en route pour aller voir l'agent immobilier, une fois dans son bureau, nous avons eu à discuter et il m'avait amené voir la villa dont il m'avait parlé
— Oui très bien même mon frère, bon maintenant ont fait quoi ?Je voulais répondre à la question de mon ami, lorsque j'avais réalisé que mon frère était connecté et il m'avait envoyé un « Coucou ». Je lui ai répondu et nous avons commencé par discuter. J'avais demandé d'après tout le monde comme d'habitude et il m'avait dit que tout le monde se portait à merveille.J'avais demandé à mon frère la décision que Prunelle avait prise et il m'avait dit qu'elle avait décidé de garder la grossesse. Mais qu'elle avait peur de me perdre et elle se disait que je l'aimais plus. J'avais dit à mon frère que je ne pourrai jamais cesser de l'aimer.