— Oui très bien même mon frère, bon maintenant ont fait quoi ?
Je voulais répondre à la question de mon ami, lorsque j'avais réalisé que mon frère était connecté et il m'avait envoyé un « Coucou ». Je lui ai répondu et nous avons commencé par discuter. J'avais demandé d'après tout le monde comme d'habitude et il m'avait dit que tout le monde se portait à merveille.
J'avais demandé à mon frère la décision que Prunelle avait prise et il m'avait dit qu'elle avait décidé de garder la grossesse. Mais qu'elle avait peur de me perdre et elle se disait que je l'aimais plus. J'avais dit à mon frère que je ne pourrai jamais cesser de l'aimer. <
Elles étaient montées dans la voiture et le chauffeur avait démarré.Comme il faisait déjà tard, la mère de Prunelle avait décidé d'aller prendre une chambre à l'hôtel dans laquelle elles avaient passé la nuit.Cette nuit-là, je ne me sentais pas du tout à l'aise dans ma peau et la seule chose qui me venait en tête, était d'appeler Prunelle. Mais je me disais que peut-être elle serait déjà couchée.Le lendemain matin très tôt, je me suis mis en route pour aller voir l'agent immobilier, une fois dans son bureau, nous avons eu à discuter et il m'avait amené voir la villa dont il m'avait parlé
Mon supérieur avait fait son entrée dans le bureau du commissaire et après avoir pris place, il avait pris la parole.— Bonjour monsieur, comment allez vous bien j'espère !?— Ça va monsieur, je peux faire quelque chose pour vous ? Demanda le commissaire.— Oui quelque chose qui ne doit pas attendre, je suis l'avocat de Monsieur : Richy MOUSSE qui a été amené ici hier, accusé d'avoir enlevé sa petite amie qui est enceinte de lui. Même avec tout ce qui s'est déjà passé, on peut dire sa femme.— Quoi? Sa femme vous dites comment sa femme , qui vous a dit ça ? La personne a kidnappé une femme enceinte d'un autre homme et vous dites sa femme ?— OK c'est bon je peux voir son dossier ?— Son dossier n'est pas encore prêt.— Comment son dossier n'est-il pas pr&
Cette nuit-là, j'avais réfléchi à ce que l'homme de limousine m'avait dit et je me suis dis si vraiment il avait un bon avocat il ne pourrait pas venir me demander une telle chose. Ce qui m'avait aussi donné du courage parce que je me suis en même temps dit que monsieur Éric est innocent dans cette affaire.Je me suis aussi demandé si je ne voulais pas mettre ma vie encore dans un autre problème. Mais après tout, ce sont les risques du travail et de plus je n'étais pas seul, mon Docteur et mon Dieu étaient à mes côtés.Le lendemain...À la justiceNous étions d&eac
À la sortie, Cynthia m'attendait devant le portail et lorsqu'elle m'avait remarqué, elle avait commencé par crier en m'appelant par un surnom qui ne m'avait pas plu du tout. Tout le monde avait commencé à me regarder et certaines d'entre elles commençaient par chuchoter. Je me suis approché pour lui dire calmement mes trois vérités. Parce que ses comportements commençaient à me mettre hors de moi. À la pause c'était “ Coco ``, maintenant c'est “ Mon Chéri ”. C'est vrai que ça ne dérange en rien ces surnoms, mais je n'aimerais pas étirer des mauvais regards sur moi et seul Dieu pouvait savoir ce que cette Cynthia avait derrière la tête.— Cynthia, tu joues à quel jeu au juste ? J'aime pas trop ce que tu es en train de faire. De
Monsieur Johnson avait fait son entrée dans la maison en compagnie de son chauffeur. Le chauffeur avait stationné la voiture et il était descendu de la voiture pour entrer à l'intérieur.Le voilà enfin au salon, sa femme la mère de Tony ne l'avait même pas laisser prendre siège avant de commencer avec ses brouhaha et dit : « Hé monsieur, vous êtes enfin du retour, Éric je n'arrivais pas encore à croire que tu t'es rabaissé jusqu'à ce point. Toi un grand homme d'affaires, reconnu en Espagne, tu appelles celui qui est peut-être ton enfant, ce va-nu-pieds " MONSIEUR"? Et en plus devant tout ce monde, tu t'es fait ridiculiser et si tu ne sais pas encore, sache que moi j'ai honte à ta place. Le camarade de ton enfant que toi tu appelles "MONSIEUR" » La mère de Tony
Le docteur était parti et Prunelle avait fait son entrée. Une fois à l'intérieur, elle avait pris siège à côté de moi et commença à me parler en ayant ma main dans les siennes. — Mon chéri, tu es là pour moi ? Comment tu te sens ? Je sais que tu m'écoutes, je t'aime Richy ,ne me laisse pas s'il te plaît, ta fille a besoin de toi, elle est avec sa mémé au dehors. Mon chéri, mon Roi, le centre de mon univers, mon amour... Prunelle me parlait jusqu'à ce qu'elle s'était endormie, le docteur était entré pour me faire des injections et là, Prunelle s'était réveillée. Elle s'était levée pour sortir enfin de laisser le docteur faire son travail. Elle m'avait jeté un coup d'œil et voulait sortir lorsque j'avais ouvert ma bouche et appela son nom : « Prunelle » Oui c'était son nom qui résonnait dans ma tête, car c'était à cause de notre amour que toutes ces choses nous arrivaient. Prunelle s'était retournée en co
En me disant tout ça intérieurement, j'avais même plus envie de rester dans le lit d'hôpital, mais malgré moi je devais rester, car je ne me suis pas encore totalement remis. J'avais même plus envie de regarder Prunelle, car en la regardant elle me faisait rappeler son père. Je ne savais même pas si je tremblais ou pas et tout à coup ma mère avait commencé par me parler.— Mon fils, tu as quoi? Pourquoi tu trembles ainsi, as-tu froid ? Oh ne me dis pas que tu a retrouvé ton âme de guerre hein!? Oh mon enfant s'il te plaît, reprends ton esprit.Avec les larmes aux yeux, ma mère me posait ces questions, j'avais même pas la force pour lui répondre. Parce que je ne voyais plus, ma mère gardait ma main, toucha
Trois jours après, nous étions en train de suivre le journal à la télé, lorsqu'ils avaient dit que les un mois de garde à vue qu'ils avaient donnés à monsieur Mensah a été réduit. Donc ils restent juste trois jours pour le père de Prunelle et s'il ne trouve pas d'avocat, il sera mis en prison.Après avoir entendu cela, Prunelle avait encore commencé avec ses pleurs et sa mère aussi était venue nous voir le lendemain pour nous informer. J'avais fait comme si de rien était et elles avaient toutes perdu de l'espoir, car selon elles je voulais pas aider monsieur MENSAH, mais je savais très bien ce que je faisais.Il ne restait que deux jours pour monsieur MENSAH. Et déjà le matin, je me s
Trois jours après, nous étions en train de suivre le journal à la télé, lorsqu'ils avaient dit que les un mois de garde à vue qu'ils avaient donnés à monsieur Mensah a été réduit. Donc ils restent juste trois jours pour le père de Prunelle et s'il ne trouve pas d'avocat, il sera mis en prison.Après avoir entendu cela, Prunelle avait encore commencé avec ses pleurs et sa mère aussi était venue nous voir le lendemain pour nous informer. J'avais fait comme si de rien était et elles avaient toutes perdu de l'espoir, car selon elles je voulais pas aider monsieur MENSAH, mais je savais très bien ce que je faisais.Il ne restait que deux jours pour monsieur MENSAH. Et déjà le matin, je me s
En me disant tout ça intérieurement, j'avais même plus envie de rester dans le lit d'hôpital, mais malgré moi je devais rester, car je ne me suis pas encore totalement remis. J'avais même plus envie de regarder Prunelle, car en la regardant elle me faisait rappeler son père. Je ne savais même pas si je tremblais ou pas et tout à coup ma mère avait commencé par me parler.— Mon fils, tu as quoi? Pourquoi tu trembles ainsi, as-tu froid ? Oh ne me dis pas que tu a retrouvé ton âme de guerre hein!? Oh mon enfant s'il te plaît, reprends ton esprit.Avec les larmes aux yeux, ma mère me posait ces questions, j'avais même pas la force pour lui répondre. Parce que je ne voyais plus, ma mère gardait ma main, toucha
Le docteur était parti et Prunelle avait fait son entrée. Une fois à l'intérieur, elle avait pris siège à côté de moi et commença à me parler en ayant ma main dans les siennes. — Mon chéri, tu es là pour moi ? Comment tu te sens ? Je sais que tu m'écoutes, je t'aime Richy ,ne me laisse pas s'il te plaît, ta fille a besoin de toi, elle est avec sa mémé au dehors. Mon chéri, mon Roi, le centre de mon univers, mon amour... Prunelle me parlait jusqu'à ce qu'elle s'était endormie, le docteur était entré pour me faire des injections et là, Prunelle s'était réveillée. Elle s'était levée pour sortir enfin de laisser le docteur faire son travail. Elle m'avait jeté un coup d'œil et voulait sortir lorsque j'avais ouvert ma bouche et appela son nom : « Prunelle » Oui c'était son nom qui résonnait dans ma tête, car c'était à cause de notre amour que toutes ces choses nous arrivaient. Prunelle s'était retournée en co
Monsieur Johnson avait fait son entrée dans la maison en compagnie de son chauffeur. Le chauffeur avait stationné la voiture et il était descendu de la voiture pour entrer à l'intérieur.Le voilà enfin au salon, sa femme la mère de Tony ne l'avait même pas laisser prendre siège avant de commencer avec ses brouhaha et dit : « Hé monsieur, vous êtes enfin du retour, Éric je n'arrivais pas encore à croire que tu t'es rabaissé jusqu'à ce point. Toi un grand homme d'affaires, reconnu en Espagne, tu appelles celui qui est peut-être ton enfant, ce va-nu-pieds " MONSIEUR"? Et en plus devant tout ce monde, tu t'es fait ridiculiser et si tu ne sais pas encore, sache que moi j'ai honte à ta place. Le camarade de ton enfant que toi tu appelles "MONSIEUR" » La mère de Tony
À la sortie, Cynthia m'attendait devant le portail et lorsqu'elle m'avait remarqué, elle avait commencé par crier en m'appelant par un surnom qui ne m'avait pas plu du tout. Tout le monde avait commencé à me regarder et certaines d'entre elles commençaient par chuchoter. Je me suis approché pour lui dire calmement mes trois vérités. Parce que ses comportements commençaient à me mettre hors de moi. À la pause c'était “ Coco ``, maintenant c'est “ Mon Chéri ”. C'est vrai que ça ne dérange en rien ces surnoms, mais je n'aimerais pas étirer des mauvais regards sur moi et seul Dieu pouvait savoir ce que cette Cynthia avait derrière la tête.— Cynthia, tu joues à quel jeu au juste ? J'aime pas trop ce que tu es en train de faire. De
Cette nuit-là, j'avais réfléchi à ce que l'homme de limousine m'avait dit et je me suis dis si vraiment il avait un bon avocat il ne pourrait pas venir me demander une telle chose. Ce qui m'avait aussi donné du courage parce que je me suis en même temps dit que monsieur Éric est innocent dans cette affaire.Je me suis aussi demandé si je ne voulais pas mettre ma vie encore dans un autre problème. Mais après tout, ce sont les risques du travail et de plus je n'étais pas seul, mon Docteur et mon Dieu étaient à mes côtés.Le lendemain...À la justiceNous étions d&eac
Mon supérieur avait fait son entrée dans le bureau du commissaire et après avoir pris place, il avait pris la parole.— Bonjour monsieur, comment allez vous bien j'espère !?— Ça va monsieur, je peux faire quelque chose pour vous ? Demanda le commissaire.— Oui quelque chose qui ne doit pas attendre, je suis l'avocat de Monsieur : Richy MOUSSE qui a été amené ici hier, accusé d'avoir enlevé sa petite amie qui est enceinte de lui. Même avec tout ce qui s'est déjà passé, on peut dire sa femme.— Quoi? Sa femme vous dites comment sa femme , qui vous a dit ça ? La personne a kidnappé une femme enceinte d'un autre homme et vous dites sa femme ?— OK c'est bon je peux voir son dossier ?— Son dossier n'est pas encore prêt.— Comment son dossier n'est-il pas pr&
Elles étaient montées dans la voiture et le chauffeur avait démarré.Comme il faisait déjà tard, la mère de Prunelle avait décidé d'aller prendre une chambre à l'hôtel dans laquelle elles avaient passé la nuit.Cette nuit-là, je ne me sentais pas du tout à l'aise dans ma peau et la seule chose qui me venait en tête, était d'appeler Prunelle. Mais je me disais que peut-être elle serait déjà couchée.Le lendemain matin très tôt, je me suis mis en route pour aller voir l'agent immobilier, une fois dans son bureau, nous avons eu à discuter et il m'avait amené voir la villa dont il m'avait parlé
— Oui très bien même mon frère, bon maintenant ont fait quoi ?Je voulais répondre à la question de mon ami, lorsque j'avais réalisé que mon frère était connecté et il m'avait envoyé un « Coucou ». Je lui ai répondu et nous avons commencé par discuter. J'avais demandé d'après tout le monde comme d'habitude et il m'avait dit que tout le monde se portait à merveille.J'avais demandé à mon frère la décision que Prunelle avait prise et il m'avait dit qu'elle avait décidé de garder la grossesse. Mais qu'elle avait peur de me perdre et elle se disait que je l'aimais plus. J'avais dit à mon frère que je ne pourrai jamais cesser de l'aimer.