Une fois arrivés au niveau de mon portail, je me suis séparé de Sybelle pour rentrer dans ma maison et elle aussi avait pris la direction de sa maison. Ma mère était à l'extérieur et travaillait.
— Bonsoir maman, vous êtes là?
— Oui mon fils est déjà de retour ? Tu as fait un peu aujourd'hui et tes amis ne sont pas avec toi aujourd'hui ??
— Non maman, eux tous sont déjà chez eux.
— OK, mais pourquoi t'es pressé dans tes actions comme ça mon fil? Y a-t-il un problème ?
— Rien maman, rien. Répondis-je.
Sans plus tarder, j'avais fait mon entrée dans la chambre et j'avais fait sortir le sachet de mon sac. Qu'est ce que je vis? Un portable Android, SAMSUNG GALAXY S-II, que je n'ai jamais utilisé dans ma vie. J'avais couru pour montrer le portable à ma mère.
— Maman, regardez.
— Mon fils, où as-tu trouvé ça ?? Ne me dit pas que tu as acheté ça hein, parce que je sais que tu ne fais rien qui peut t'apporter autant d'argent pour que tu achètes un si grand portable.
— Maman bien-sûr que je n'aiY pas acheté, on m'a donné.
— Quoi on t'a donné tu dis? Qui et pour quelle raison ?
— Maman c'est Prunelle qui m'a offert ça.
— De qu'elle Prunelle parles-tu. Demanda-t-elle .
— Maman la fille qui était venue ici, pour étudier avec nous.
— OK je vois et pourquoi elle t'a donné ça ?
- Maman moi aussi j'ignore la raison, mais dans tous les cas, je vais mettre ma sim dedans parce qu'elle m'a dit qu'elle va m'appeler à 22h. Donc je saurai la raison pour laquelle elle m'a offert ça tout à l'heure.
— OK compris mon fils mais fais attention.
- C'est compris maman répondis-je.
J'avais déposé le portable en charge pour aller fermer mon sac lorsque j'avais aperçu le biscuit que Prunelle m'avait acheté. J'avais aussi montré ça à ma mère avant d'ouvrir , et même c'était à ma mère j'avais remis le biscuit et avait ouvert ça après avoir fait une petite prière. J'étais sur le point de déguster le biscuit lorsque mon ami était venu et j'avais dit ça tombe à pic. Nous avions dégusté le biscuit ensemble en discutant, ma mère avait fini de faire la cuisine et ensemble mon ami et moi avions passé à table si je pouvais dire ça comme ça. Youbano est retourné chez lui, il sonnait 22h et effectivement le portable s'était mis à sonner, j'avais pris le portable, décroché et c'était Prunelle.
— Allô !!!
— Prunelle : Oui allô!!! Richy, comment ça va et ta soirée ?
— Bien Prunelle et toi bien rentrée ?
— Oui , j'espère que je ne te dérange pas hein? Car il fait déjà nuit.
— Non tu ne me déranges pas, bon dit moi, j'ai vu ton cadeau mais c'est trop plus qu'un simple et tout d'abord pourquoi ce geste envers moi ??
— Richy sans te mentir tu me plais vraiment et j'ai juste fait ça par amour pour toi rien de plus.
C'était comme ci je rêvais lorsque j'entendais ces mots sortirent de la bouche de ma dulcinée et je m'étais laissé emporter. C'était sa voix qui m'avait fait revenir.
— Richy, tu es là? S'il te plaît dit quelque chose.
— Prunelle sans te mentir je ne sais quoi dit vraiment je suis confus.
— Ou bien t'as déjà quelqu'un dans ta vie c'est ça ??
- Euuh.... maman veut te parler.
— Vraiment ? Passe moi ma maman chérie alors.
J'avais passé le portable à ma mère et elle avait commencé par discuter avec Prunelle.
— Comment vas-tu ma fille et tes parents, j'espère qu'ils vont bien ?
— Oui maman et vous ? Je suis vraiment contente d'attendre votre voix.
— Moi aussi ma fille j'ai vue ce que tu as offert à ton ami et je te remercie beaucoup pour ça.
— Oh non maman c'est vous je dois remercier, car c'est vous qui m'a permis de connaître Richy.
— OK c'est gentil merci bien et n'oublie pas de saluer tes parents pour moi. Bonne nuit ma fille.
— Je n'y manquerai pas maman et merci beaucoup à vous.
Ma mère m'avait remise le portable.
— Allô !!! Prunelle.
— Oui Richy tu peux venir me voir demain à la maison comme on a pas cours?
— Je ne connais pas chez toi et de plus je ne sais pas trop si je peux venir te voir.
— Ne dit pas ça, dit juste oui s'il te plaît, si tu veux je vais t'envoyer mon chauffeur demain et il viendra te prendre.
— Non ne te gêne pas, indique moi l'endroit et je viendrai moi-même si possible.
— OK tu connais supermarché EREVAN qui siège dans la zone de l'aéroport de Cotonou ??
— Oui, ta maison est où là ?
— Ma maison est juste à côté, une fois venu devant le supermarché tu me feras signe.
— D'accord c'est compris, on se dit à demain alors.
— Oui bonne nuit Riche.
— Bonne nuit Prunelle.
Le lendemain.
Il sonnait 7h30, je me suis mis à faire mes petits travaux, parce que je dois vite faire pour ne pas rater mon rendez-vous avec Prunelle. Je faisais mes travaux en pensant à ce que Prunelle m'avait dit au téléphone, qu'elle craque pour moi. Moi qui cherche les moyens par lesquels je vais passer pour lui avouer mes sentiments, tout simplement le bon Dieu a exaucé mes prières.
Je me plongeais de plus en plus dans mes pensées lorsque mon ami Youbano est venu me voir. J'avais même pas remarqué sa présence parce que j'avais la tête dans les nuages. Comme il m'adressa la parole et je ne lui répondais pas, il avait jugé bon de me toucher en appelant à nouveau mon nom et j'avais sursauté.
— Oh mon frère, c'est toi ?
— Oui Richy es-tu sûr que tout va bien? Parce que ça fait déjà quelques minutes que je suis ici avec toi et je t'appelle mais on dirait que tu es ailleurs.
— Oh mon ami excuses moi beaucoup j'avais ma tête dans les nuages et ce matin ça va?
— Oui bro ça va et la famille ?
— Tout le monde se porte à merveille par la grâce de Dieu mon frère.
— Je suis venu te dire au-revoir, je pars déjà à Sèmè Kraké, comme c'est déjà les week-ends et toi même tu sais que je n'ai pas pu me rendre là-bas le week-end passé. Donc je dois au moins aller ce week-end pour voir comment vont les parents tu me comprends j'espère !?
— Oui mon frère je te comprends, alors j'irai voir Prunelle seul, c'est ce que ça veut dire hein.
— Comment ça, tu vas chez elle ?
— Oui elle m'a appelé hier soir et c'est qu'elle m'a demandé.
— Bro je vois, nous allons faire comment alors? Car moi je pense bien que si tu vas seul, vous allez bien discuter. Sinon je pourrai être un obstacle pour vous si je viens avec toi. Tu vois un peu ce que je veux dire?
— Oui mon frère je te comprends, OK mais attends pour que je te montre le portable qu'elle m'a offert.
— C'est cool bro, elle est gentille cette fille, vraiment je vois que tu as bien choisi.
— Mon frère, bien choisi tu dis ? Je dois te ressembler. Parce que toi aussi tu as bien choisi, regarde Anne, elle aussi est vraiment gentille et sympathique. Bon je vais pas trop te garder avec mes brouhaha, car tu veux parcourir une longue route.
— OK bonne chance et tu me diras le reste à mon retour Richy.
— Merci beaucoup frère et bon voyage..
— Merci mon grand.
Mon ami Youbano était parti et j'avais continué avec ce que je faisais. Déjà 12h et comme je voulais marcher à pied de Calavi, jusqu'au stade de l'amitié Kouhounou avant de prendre Zem pour me rendre à l'endroit indiqué, je me suis mis en route après avoir écouté les précieux conseils de ma mère.
Sur le chemin, j'avais rencontré une dame, une belle dame, bien habillée, qui était debout à côté d'une voiture de luxe ( HUMMER ). Je passait, elle m'avait appelé et je suis parti la voir sans connaître la raison.
— Bonsoir jeune homme svp où je peux trouver de l'essence ici ? Car mon carburant est fini alors que je me rend à un rendez-vous très important. S'il vous plaît, aidez-moi parce que je ne dois pas rater ce contrat très important.
— Madame, il a des vendeurs d'essence à 50 mètres d'ici.
— Comment vais- je faire maintenant ?
— Madame si vous voulez j'irai vous payer ça.
— Oh mon chéri, merci beaucoup c'est gentil, Attendez moi je viens.
La dame était entrée dans sa voiture pour prendre son portefeuille et après elle avait ouvert le coffre de sa voiture pour prendre le bidon d'essence. Elle était venue vers moi avec le bidon et l'argent.
— Tenez ces 10000f et le bidon, prends moi 20000 litres merci beaucoup.
— C'est rien madame, je peux laisser mon sac ici avec vous ? C'est pour vite courir, comme vous êtes pressée et vous avez un rendez-vous important.
— Non, tu dis ça à cause de l'argent ou bien ? J'ai confiance en toi et n'oublies pas aussi que tu inspires confiance. Tu vas prendre zem, donc pas affaire de courir ou quoi que ce soit.
— OK madame.
J'étais parti de l'essence à la dame, et je l'avais aidé à mettre l'essence dans le réservoir de sa voiture. Elle était vraiment contente et m'avait demandé de prendre la monnaie restante, ce que j'avais refusé. Elle avait tout dit, mais j'avais catégoriquement refusé et elle était dans l'obligation de prendre ses monnaies. Elle m'avait fait comprendre qu'elle avait vraiment de chance, car la personne avec qui elle voulait signer le contrat aussi a eu un petit souci donc elle n'avait plus à s'inquiéter.
— Dieu merci alors. Lui dis-je
— Bon après-midi à toi mon enfant et merci pour ta gentillesse.
— C'est gratuit madame et Bonne chance à vous pour le contrat.
Sur ce, j'avais laissé la dame et prit mon chemin.
Une fois au stade de l'amitié, j'avais pris de Zem pour l' Erevan. Après quelques minutes de trajet sur la moto, j'étais enfin devant le Supermarché Erevan. J'avais contacté Prunelle et elle était venue me voir en compagnie de son chauffeur. J'étais monté dans la voiture et direction chez elle.
Nous étions chez elle, elle m'avait demandé de prendre siège dans leur gigantesque salon et elle était partie m'apporter de l'eau fraîche que j'avais pris. Elle avait commencé à demander d'après mes parents et je l'avais rassuré que tout le monde se porte à merveille. J'avais aussi demandé d'après ses parents et elle m'avait fait comprendre que son père n'était pas au pays et que sa mère était sortie.
— Ok je vois, et tes frère et soeur ? Lui demandai-je.
— J'ai seulement une petite sœur et elle fait la 3ème secondaire.
Elle avait à peine commencé par me parler de sa sœur lorsque cette dernière était venue se pointer devant elle.
— Richy je te présente ma sœur Jolie , Jolie lui c'est Richy.
— Jolie : Bonsoir grand frère, donc c'est vous celui dont ma grande sœur parle tout le temps à notre mère ?
J'avais raclé ma gorge et pris la parole.
— Bonsoir Jolie je ne suis pas grand frère, appelle moi juste par mon nom, comment vas tu et les études ça va?
— Oui ça va bien. Répondit-elle.
Sans plus attendre, elle s'adressa à Prunelle.
— Grande sœur tu m'a plus aidé à faire l'exercice d'anglais, alors que j'irai à l'étude d'école tout à l'heure. S'il te plaît viens m'aider.
— On t'a pris un professeur pour tes devoirs de maison et tu as dit que tu ne veux pas maintenant tu veux me gêner ?
Prunelle ne voulait pas me laisser seul pour aller aider sa sœur, et comme j'avais remarqué cela, j'avais décidé d'aider Jolie à faire ses exercices. La sœur de Prunelle était tellement contente et elle était montée prendre ses cahiers. Nous étions en train de traiter les exercices lorsque j'entendis une voiture entrer dans la maison. C'était leur maman, mais une fois leur maman avait fait son entrée dans le salon à ma grande surprise, c'était la dame que j'avais aidé sur la voie.
Je regardais la dame qui nous avait fait dos en retournant avec son portable qui sonnait et j'arrivais pas à y croire. Elle s'était retournée s'asseoir sur le véranda pour prendre l'appel. J'étais toujours en train de traiter l'exercice avec Jolie, nous avions terminé et Jolie était partie voir leur mère au dehors. Elle avait commencé par causer avec sa mère et moi j'étais tranquille, assis dans le sofa et attendais Prunelle parce qu'elle était à la cuisine.
— Jolie : Bonsoir maman, bonne arrivée.
— Leur mère : Bonsoir ma fille, tout va bien j'espère ? Et ta grande sœur ?
— Elle est à la cuisine pour nous faire quelque chose à manger.
—"Vous" dis- tu ? Vous avez un invité ou bien savez-vous que je reviendrai vite ?
— Maman nous avons un invité et il est au salon, bon je te laisse car j'ai fini avec mon exercice d'anglais et j'irai m'apprêter.
— Quoi? Tu fais quoi, exercice quand tu as commencé ça et même c'est anglais ou bien c'est ta grande sœur qui t'a aidé ?
— Maman c'est notre invité, l'ami de Prunelle qui m'a aidé à faire ça et il s'appelle Richy.
— Richy dont ta grande sœur parle tout le temps, le meilleur de leur promotion ?
— Oui maman.
— OK allons-y, je vais faire sa connaissance moi aussi. Parce que j'aime bien les travailleurs.
J'étais assis dans le sofa tranquille lorsque Jolie et leur mère avaient fait leur entrée. Je me suis levé pour saluer leur mère et elle m'avait dit de ne pas me gêner. J'avais à nouveau pris place et leur mère et moi avions commencé par échanger des salutations et autres. En ce moment Jolie était déjà montée dans sa chambre. Leur mère assise dans le sofa, me regardait comme si elle m'avait déjà vue une fois et comme elle n'était pas du genre à donner sa langue au chat, elle avait décidé de pousser sa curiosité en me demandant : « Jeune homme on s'est déjà vu une fois j'espère ? » je voulais répondre à la question lorsque Prunelle était sortie de la cuisine et vint nous voir. Elle avait salué sa mère, sa mère l'avait répondue et continua avec ce qu'elle me demandait.
— Oui maman, et si je ne me trompe pas c'est tout à l'heure sur la voie. Lui répondis-je.
— Oh c'est toi le jeune homme qui m'a aidé à payer de l'essence, comme le monde est petit.
— Il est vraiment maman.
— Alors tu es l'ami de ma fille, cet fameux Richy dont on me parle tout le temps.
— Oui maman et je suis ravi de faire plus votre connaissance. S'il vous plaît, excusez moi pour la question, mais vous avez pu signer le contrat ?
— Oui mon enfant, j'ai pu l'obtenir et c'est même un gros contrat. Bon Richy je vous, j'irai me reposer un peu et merci beaucoup pour aujourd'hui, Avant de partir je veux bien te voir.
— Pas de souci maman. Lui répondis-je.
Pendant que nous disions tout ça, Prunelle était déjà retourné dans la cuisine. La mère de Prunelle était montée dans sa chambre après m'avoir allumée leur gigantesque télévision. Je regardais la télévision lorsque Jolie était venue me voir à nouveau avec un autre petit exercice et j'avais commencé par lui donner un peu d'explication. Prunelle était venue nous voir en prononçant une phrase qui avait poussé Jolie sa sœur à la taquiner. “ le repas est prêt mes chéris ” Jolie avait pris immédiatement la parole lorsqu'elle avait entendue cette phrase sortie de la bouche de sa grande sœur.
—Jolie : Faut dire mon chéri, car tu m'as jamais appelé *chérie* ici, donc rectification ma grande.
— C' est de moi tu parles ? Demanda Prunelle à sa sœur.
Sans rien répondre Jolie était montée dans sa chambre avec son cahier. J'étais enfin seul au salon avec Prunelle et m'avait demandé qu'on passe à table.
— Nous allons pas attendre maman et Jolie ? Lui demandai-je
— Non maman s'est couchée donc elle va manger après et Jolie viendra nous rejoindre. Vient pour qu'on mange ou bien tu veux chercher des arguments pour refuser mon repas?
— Non non toi aussi, comment peux-tu dis ça, c'était pas même mon intention c'est que...
— C'est que rien, passons à table s'il te plaît.
— OK je viens.
J'avais déposé mon sac dans leur sofa et je l'avais suivi dans leur salle à manger. Vraiment c'était comme ci je me voyais dans un film. Leur maison est vraiment chic et meublée d'une manière et on dirait la maison blanche. Nous avions commencé à déguster le repas que ma princesse avait préparé et elle avait commencé par me parler en me regardant droit dans les yeux.
— Richy comment t'as fait la connaissance de ma mère et tu as t'as gagné une grande place dans son cœur. Sinon elle ne s'est jamais comportée ainsi avec mes amis que j'amène à la maison même pas Tony qui est le fils des amis de mes parents. Dis- moi, comment tu as fait?
— C'est en venant ici que j'ai rencontré maman et je l'ai juste aidé à payer de l'essence c'est tout.
— Ok je vois, dit moi tu as pensé à ce que je t'avais dit hier au téléphone concernant mes sentiments?
Je voulais répondre à la question de Prunelle lorsque Jolie était venue nous interrompre.
— Bon appétit à vous , bon je vais goûter à ce que tu as préparé à mon retour car je suis en retard.
— D'accord j'ai compris.
Jolie nous avait faussé compagnie et Prunelle avait commencé par me regarder. Pour animer un peu la galerie, je lui ai répondu que je m'en souviens plus de ce qu'elle m'avait dit et elle avait commencé par me parler.
— Richy je suis tombé amoureuse de toi et je veux bien partager ma vie avec toi. C'est vrai que c'est un peu très tôt, mais je me suis dit que si je ne le fais pas vite et que je reste là à tourner autour du pont je pourrai te perdre. Ou bien t'as déjà quelqu'un dans ta vie ?
— Oui Prunelle, je suis amoureux d'une princesse et sans te mentir je rêve d'elle chaque jour et chaque nuit. Cette princesse c'est toi Prunelle.
Je n'avais même pas fini ma phrase avant qu'elle s'était jetée sur moi en criant. Je lui avais demandé de faire doucement et elle m'avait fait comprendre que je lui avais fait peur, surtout le début de ma phrase qui voulait la faire évanouir.
— Vraiment es-tu sûre là ?
— Oui, car je pensais que tu parlais d'une autre personne, Richy je t'aime et je veux me donner à toi totalement si tu veux veux vraiment faire du sérieux avec moi.
— Ok moi aussi je t'aime ma princesse, je rêvais de ce jour ça fait très longtemps.
Nous avions fini de se régaler et nous discutions lorsque nous avions commencé par entendre les bruits de part qui venaient vers nous et c'était la mère de Prunelle.
— Richy tout va bien j'espère ?
— Oui maman.
— Bien, Prunelle et ta sœur elle est déjà partie?
— Oui maman. Répondit Prunelle.
La mère de Prunelle s'était retournée à nouveau vers moi et me demanda si j'avais mangé et je lui avais répondu OUI. Sans plus attendre Prunelle avait pris la parole.
— Maman je veux te dire quelque chose Richy est mon petit ami.
— Mais ma fille tu m'as jamais dit ça avant tu m'as juste dit qu'il est ton ami.
— Oui maman c'est maintenant on s'est entendu sur ça.
— Ok ma fille c'est compris, mais respectez vous dans tout ce que vous allez entreprendre, c'est bien que tu parles maintenant en ayant le sourire aux lèvres, je vais pas voir des pleurs après, j'espère que vous me comprenez Richy?
— Oui maman. Réponds-je.
— Bon, je veux bien que tu viennes aider Jolie dans ses études si tu as le temps, car j'ai constaté qu'elle se sent bien à l'aise avec toi. Tu peux me rendre ce service ? Si possible je peux te payer si tu veux.
— Non maman, laissez affaire de me payer, je vais l'aider, elle est comme une soeur pour moi.
— Ok merci beaucoup mon enfant et tu vas procéder comment ?
— Maman si elle vient, dites-lui que je viendrai faire ses études mardi soir, jeudi soir et samedi matin.
— Waouh!! Richy et tu vas mettre tes propre études où ? Me demanda Prunelle.
— C'est rien ça, je vais gérer, bon maman je vais demander à partir.
— OK mon enfant, j'ai déjà dit au chauffeur de t'amener chez toi, mais attends, tient ça.
La mère de Prunelle m'avait tendu 5000f et j'avais refusé de prendre. J'avais tout dit mais elle ne m'avait pas laissé le choix et elle nous avait accompagné Prunelle et moi à la voiture et repartit au salon. Prunelle était montée dans la voiture avec moi soit disant qu'elle veux m'accompagner jusqu'à chez moi.
Le chauffeur avait démarré la voiture, nous discutions dans la voiture et elle se collait à moi d'une façon que je me voyais dans un rêve. Après avoir passé quelques minutes sur la voie, nous voilà enfin devant ma maison. Je voulais descendre de la voiture lorsque Prunelle m'avait tirée la main en me demandant si je voulais lui fausser compagnie comme ça sans lui faire un bisou. Avec cette phrase, j'avais touché mon visage pour voir si je ne rêvais pas ou si j'avais pas ma tête dans les nuages. Mais c'était pas bien une réalité.
— Après ma princesse.
— Non tout deR suite et maintenant.
J'avais répondu d'accord et je lui avais fait un bisou sur sa joue. Elle s'était renfermée de mine et me fit comprendre qu'elle ne voulait pas le genre de bisou que je lui avais fait. Je voulais parler lorsqu'elle m'avait embrassé en collant ses lèvres aux miennes et c'était tout simplement magique. Ma première fois de sentir les lèvres d'une fille, ma première fois de vivre aussi ce que je voyais dans les films romantiques.
Après quelques secondes, elle avait retiré ses douces lèvres au goût du miel. Je me sentais vraiment gêné comme le chauffeur était dans la voiture et sûr qu'il nous avait vu. Prunelle avait dit qu'elle ira saluer ma mère, ce que j'avais refusé parce qu'il faisait déjà nuit et je ne voulais pas qu'elle reste tard dehors à cause de moi. Elle était obligée d'accepter ce que j'avais dit, le chauffeur avait démarré la voiture et ils étaient partis.
Enfin elle était rentrée chez elle et moi aussi j'étais enfin dans ma maison, une fois à l'intérieur de notre chambre, j'avais vu ma maman qui était assise dans le salon en train de regarder la télévision. J'avais salué ma mère et elle m'avait aussi bien accueilli. J'avais pris place, je lui avais narré tout ce qui s'était passé et aussi concernant ma relation avec Prunelle. Elle m'avait bien écouté et prise la parole.
— OK je vois mon enfant, mais faire attention parce que je ne veux pas avoir de problème avec ces gens riches, j'ai pas les moyens nécessaires pour les affronter tu le sais très bien.
- C'est compris maman et ne vous inquiétez pas. La mère de Prunelle est vraiment gentille et sympathique, simple tout comme vous sans oublier Jolie la petite sœur de Prunelle. Maman la sœur de Prunelle est en 3ème et comme elle n'aime pas avoir de professeur pour ses études de maison, j'ai été appelé à l'aider des fois dans ses études.
— Mon enfant tu as dit que la personne n'aime pas avoir un professeur pour ses études et c'est toi qu'il va accepter ou bien tu l'as déjà conquis ? Car c'est ton point fort.
— Oui maman même aujourd'hui quand j'étais parti là-bas, je l'ai aidé à faire quelques exercices et c'est la façon dont elle s'est comportée avec moi qui a poussé leur mère à me demander de l'aider. Parce qu'elle pense qu'elle a aimé travailler avec moi. Maman je suis un peu fatigué, j'irai prendre une douche, déguster ce que vous avez préparé et me coucher.
— Ok mon enfant ton repas est sur la table, mais une chose mon garçon tu m'as parlé de la mère de ta petite amie, mais j'ai rien entendu à propos de son père si je me trompe pas.
— Oui maman son père est en Espagne, c'est un chirurgien et il travaille là-bas. Pourquoi vous avez dit ça ?
— Non rien c'est tout juste pour être en sécurité, va faire ce que tu veux faire.
— OK maman. Répondis-je
J'avais fait mon entrée dans la chambre pour prendre une douche, j'avais fini et une fois au salon j'avais remarqué que ma mère était déjà partie se coucher. Je savais très bien que c'était à cause de moi qu'elle était en éveille malgré qu'elle est fatiguée. Ma lionne qui se soucie toujours de ses lionceaux, « vraiment je t'aime maman de tout mon cœur» me suis-je dit intérieurement.
Je voulais m'asseoir pour commencer à déguster mon repas lorsque mon portable avait commencé à sonner. J'avais pris, c'était ma princesse et j'avais rapidement décroché.
— Bonsoir mon prince charmant et ta soirée?
— Bien ma princesse et de ton côté ça va j'espère? Et maman, Jolie est vite rentrée !?
— Elles sont toutes là, mais ta belle sœur est fâchée contre toi c'est ce qu'elle m'a dit. Que tu es parti sans l'avoir vu.
— Oh!!! je vois et tu t'es pas excusé auprès d'elle pour moi ?
— Oui, elle est même contente lorsqu'elle a appris que tu veux va l'aider dans ses études et elle a même dit que ce que tu as fait avec elle n'est rien que des bonnes réponses. Mon amour tu as gagné la confiance de mes parents vraiment je t'aime.
— Oh ça m'a vraiment touché ma Princesse mais tu as dit maintenant tes parents, n'oublie pas que ça reste le maître de la maison même, je veux dire mon beau-père.
— Non t'inquiète pas il sera au pays dans quelques semaines et je pense bien qu'il va aussi t'apprécier et toi même tu vas l'aimer.
— Ok je pense bien.
— Bon mon chéri, parlons maintenant de nous, tu as mangé quoi?
— Je voulais juste commencer à manger quand tu l'as appelé et c'est de la pâte que je veux prendre.
— Oh mon bébé, excuse moi alors, je ne savais pas.
— Mais qu'est ce que tu dis? T'as rien fait de mal et moi aussi j'avais envie d'entendre ta voix ma princesse.
— Vraiment? Oh mon coeur, je suis flattée. Bon on se dit à demain non? Car moi aussi j'ai déjà sommeil et je pense bien rêver de nous deux jusqu'à mon réveil. Richy, tu es ma pierre précieuse.
— Prunelle moi aussi je t'aime et je veux pas te partager avec quelqu'un, parce que tu es ma perle rare.
— Ok mon chéri, merci beaucoup et je te promets que je serai pour toi seul bonne nuit.
— Bonne nuit ma princesse et fait des beaux rêves je t'aime.
— Je t'aime mon amour bisou, bisou.
Prunelle avait raccroché l'appel, j'avais dégusté mon repas et après je me suis couché.
Le lendemain, comme c'était un dimanche, j'étais à la maison cool, seul parce que mon ami Youbano n'était pas encore de retour. J'étais en train de penser à tout lorsque Prunelle m'avait envoyé un message pour me demander de me connecter sur w******p. Ce que j'avais fait et nous avions commencé par clavarder sur w******p. J'avais même pu activer de méga grâce aux cinq milles francs que sa mère m'avait donné.
Nous discutions et comme j'avais remarqué que mon ami était en ligne, j'en ai profité pour lui narrer tout ce qui s'était passé. Nous avions bien causé et le soir Youbano était de retour, il était venu me voir à la maison et commençait par me taquiner. J'avais bien passé cette journée avec la joie au cœur et je me disais que enfin moi aussi je comptais parmi ceux qui sont en relations amoureuses.
Au début de la semaine qui avait suivi, ce beau dimanche, j'avais remarqué que tout avait commencé par changer. Prunelle avait pris place à côté de moi, c'était sa décision. Tony avait pris ses distances et il nous adressait plus la parole, Sybelle quant à elle, elle aussi avait commencé aussi par rester loin de moi et
me regardait étrangement. Seul mon ami Youbano qui était toujours avec moi.
Je me suis dis que comme c'était grâce à Tony que j'avais pu me rapprocher de Prunelle, je vais demander à Prunelle ce qui n'allait pas avec Tony. C'était là que Prunelle m'avait fait comprendre qu'il était juste dérangé par la jalousie.
— La jalousie dis-tu ? Pour quelle raison ?
— Mon chéri, la mère de Tony est l'amie d'enfance de mon père et c'est grâce à elle que mon père est parti en Espagne. Car elle aussi est une chirurgienne, mais elle n'a pas pu aller à cause de ses diplômes et son âge. Donc elle a décidé d'envoyer mon père à sa place et cet imbécile de Tony pense que je vais sortir avec lui juste parce que nos parents sont amis.
— OK je vois, mais comment il est jaloux , jaloux de qui ou de quoi? Je ne comprends pas.
— Ces derniers jours il fait que me déranger avec ses poèmes d'amour et ses je t'aime et je lui avais dit que je suis amoureux d'un autre. Mais il ne veut pas me comprendre et commençait par me poser des questions concernant mon amoureux. Et comme je suis fatiguée de ses brouhaha...
— Tu lui as dit que c'est moi.
— Oui et il a même eu le culot de me dire que nos parents, sa mère et mon père sont déjà d'accord pour que lui et moi sortons ensemble.
— Ah bon ? Et tu as dit ça à maman ?
— Oui mais elle a juste dit que je ne suis plus un enfant, que c'est à moi de faire mon choix, qu'elle même entend ces ragots. Mais qu'elle va en parler avec mon père quand il sera au pays.
— OK j'ai compris. Répondis-je
Youbano avait tout entendu avec moi et sans mentir, j'avais directement classé Tony et je me suis dis que la seule chose qui peut nous lier c'est les études. Donc lorsqu'il aura besoin de moi, je serai prêt pour lui, mais à part ça rien car il fut mon rival. Nous avions fini les cours et chacun s'était mis en route pour la maison. Prunelle était déjà rentrée chez elle et moi aussi j'avais pris la route de ma maison.
À suivre...
RICHY PLUME-RAM
GOD'S INSPIRATION
Les jours passèrent, et tout passa bien entre Prunelle et moi sauf que je n'arrêtais pas à me poser des questions concernant son père.Il fut jour où nous avions terminés les cours et j'étais déjà du retour à la maison. Je pensais à tout ce que Prunelle m'avait dit concernant son père et la mère de Tony et j'étais tellement confus. Parce que si c'était vrai et que le père de Prunelle s'oppose à notre relation ce sera pas du tout la joie. J'étais dans mes pensées lorsque Sybelle avait fait son entrée chez moi en me disant qu'elle voulait me parler.— Oui Sybelle je t'écoute, j'espère qu'il n'y a pas un problème hein ?
Le père de Prunelle les avait demandé de prendre siège.— Oh venez toutes les deux, ça tombe à pic, je vais dire devant vous ce que j'ai à dire à Richy.La mère de Prunelle avait pris siège sur une autre chaise sans rien dire et Prunelle était venue s'asseoir à côté de moi. Ce que son père n'avait pas approuvé et l'avait demandé de se lever de là, immédiatement la mère de Prunelle avait dit au père de Prunelle de laisser sa fille tranquille et il était obligé de la laisser.Et ça commence, le père de Prunelle avait commencé par parler.
Le lendemain à 9h, le docteur nous avait dit que tout allait bien, que Prunelle pouvait rentrer. Il avait même demandé à nos mères de régler le problème qui était entre Prunelle et moi. Sinon c'était pas que la tension monte ou descend encore.Nous étions enfin sur le point de prendre la route lorsque Prunelle avait dit à ma mère qu'elle veut bien discuter de quelque chose avec elle. Donc elle aimerait que ma mère les accompagne chez elle, ce que ma mère n'avait pas refusé.Nous avions pris la route, une fois à la résidence des Prunelle , nous avions fait notre entrée à l'intérieur et nos mères avaient commencé à discuter. Nous étions là lorsque nous
Les larmes aux yeux, j'ai remercié le directeur et tous mes professeurs. Je croyais que le bon Dieu m'avait oublié, mais je me trompais totalement. J'étais retourné chez moi avec la joie au cœur, une fois à la maison, mon ami m'attendait et lorsqu'il m'avait vu, il avait sauté sur moi avec joie et me dit.— Bro j'ai reçu un message de notre département et c'est que, je vais déposer un dossier pour obtenir une bourse afin de continuer mes études en Espagne. J'espère que toi aussi tu as reçu le message ?— Non , mon frère, tu as de la chance toi et même si j'ai reçu est ce que ma mère va accepter que j'aille en Espagne étudier ?No
— Oui très bien même mon frère, bon maintenant ont fait quoi ?Je voulais répondre à la question de mon ami, lorsque j'avais réalisé que mon frère était connecté et il m'avait envoyé un « Coucou ». Je lui ai répondu et nous avons commencé par discuter. J'avais demandé d'après tout le monde comme d'habitude et il m'avait dit que tout le monde se portait à merveille.J'avais demandé à mon frère la décision que Prunelle avait prise et il m'avait dit qu'elle avait décidé de garder la grossesse. Mais qu'elle avait peur de me perdre et elle se disait que je l'aimais plus. J'avais dit à mon frère que je ne pourrai jamais cesser de l'aimer.
Elles étaient montées dans la voiture et le chauffeur avait démarré.Comme il faisait déjà tard, la mère de Prunelle avait décidé d'aller prendre une chambre à l'hôtel dans laquelle elles avaient passé la nuit.Cette nuit-là, je ne me sentais pas du tout à l'aise dans ma peau et la seule chose qui me venait en tête, était d'appeler Prunelle. Mais je me disais que peut-être elle serait déjà couchée.Le lendemain matin très tôt, je me suis mis en route pour aller voir l'agent immobilier, une fois dans son bureau, nous avons eu à discuter et il m'avait amené voir la villa dont il m'avait parlé
Mon supérieur avait fait son entrée dans le bureau du commissaire et après avoir pris place, il avait pris la parole.— Bonjour monsieur, comment allez vous bien j'espère !?— Ça va monsieur, je peux faire quelque chose pour vous ? Demanda le commissaire.— Oui quelque chose qui ne doit pas attendre, je suis l'avocat de Monsieur : Richy MOUSSE qui a été amené ici hier, accusé d'avoir enlevé sa petite amie qui est enceinte de lui. Même avec tout ce qui s'est déjà passé, on peut dire sa femme.— Quoi? Sa femme vous dites comment sa femme , qui vous a dit ça ? La personne a kidnappé une femme enceinte d'un autre homme et vous dites sa femme ?— OK c'est bon je peux voir son dossier ?— Son dossier n'est pas encore prêt.— Comment son dossier n'est-il pas pr&
Cette nuit-là, j'avais réfléchi à ce que l'homme de limousine m'avait dit et je me suis dis si vraiment il avait un bon avocat il ne pourrait pas venir me demander une telle chose. Ce qui m'avait aussi donné du courage parce que je me suis en même temps dit que monsieur Éric est innocent dans cette affaire.Je me suis aussi demandé si je ne voulais pas mettre ma vie encore dans un autre problème. Mais après tout, ce sont les risques du travail et de plus je n'étais pas seul, mon Docteur et mon Dieu étaient à mes côtés.Le lendemain...À la justiceNous étions d&eac
Trois jours après, nous étions en train de suivre le journal à la télé, lorsqu'ils avaient dit que les un mois de garde à vue qu'ils avaient donnés à monsieur Mensah a été réduit. Donc ils restent juste trois jours pour le père de Prunelle et s'il ne trouve pas d'avocat, il sera mis en prison.Après avoir entendu cela, Prunelle avait encore commencé avec ses pleurs et sa mère aussi était venue nous voir le lendemain pour nous informer. J'avais fait comme si de rien était et elles avaient toutes perdu de l'espoir, car selon elles je voulais pas aider monsieur MENSAH, mais je savais très bien ce que je faisais.Il ne restait que deux jours pour monsieur MENSAH. Et déjà le matin, je me s
En me disant tout ça intérieurement, j'avais même plus envie de rester dans le lit d'hôpital, mais malgré moi je devais rester, car je ne me suis pas encore totalement remis. J'avais même plus envie de regarder Prunelle, car en la regardant elle me faisait rappeler son père. Je ne savais même pas si je tremblais ou pas et tout à coup ma mère avait commencé par me parler.— Mon fils, tu as quoi? Pourquoi tu trembles ainsi, as-tu froid ? Oh ne me dis pas que tu a retrouvé ton âme de guerre hein!? Oh mon enfant s'il te plaît, reprends ton esprit.Avec les larmes aux yeux, ma mère me posait ces questions, j'avais même pas la force pour lui répondre. Parce que je ne voyais plus, ma mère gardait ma main, toucha
Le docteur était parti et Prunelle avait fait son entrée. Une fois à l'intérieur, elle avait pris siège à côté de moi et commença à me parler en ayant ma main dans les siennes. — Mon chéri, tu es là pour moi ? Comment tu te sens ? Je sais que tu m'écoutes, je t'aime Richy ,ne me laisse pas s'il te plaît, ta fille a besoin de toi, elle est avec sa mémé au dehors. Mon chéri, mon Roi, le centre de mon univers, mon amour... Prunelle me parlait jusqu'à ce qu'elle s'était endormie, le docteur était entré pour me faire des injections et là, Prunelle s'était réveillée. Elle s'était levée pour sortir enfin de laisser le docteur faire son travail. Elle m'avait jeté un coup d'œil et voulait sortir lorsque j'avais ouvert ma bouche et appela son nom : « Prunelle » Oui c'était son nom qui résonnait dans ma tête, car c'était à cause de notre amour que toutes ces choses nous arrivaient. Prunelle s'était retournée en co
Monsieur Johnson avait fait son entrée dans la maison en compagnie de son chauffeur. Le chauffeur avait stationné la voiture et il était descendu de la voiture pour entrer à l'intérieur.Le voilà enfin au salon, sa femme la mère de Tony ne l'avait même pas laisser prendre siège avant de commencer avec ses brouhaha et dit : « Hé monsieur, vous êtes enfin du retour, Éric je n'arrivais pas encore à croire que tu t'es rabaissé jusqu'à ce point. Toi un grand homme d'affaires, reconnu en Espagne, tu appelles celui qui est peut-être ton enfant, ce va-nu-pieds " MONSIEUR"? Et en plus devant tout ce monde, tu t'es fait ridiculiser et si tu ne sais pas encore, sache que moi j'ai honte à ta place. Le camarade de ton enfant que toi tu appelles "MONSIEUR" » La mère de Tony
À la sortie, Cynthia m'attendait devant le portail et lorsqu'elle m'avait remarqué, elle avait commencé par crier en m'appelant par un surnom qui ne m'avait pas plu du tout. Tout le monde avait commencé à me regarder et certaines d'entre elles commençaient par chuchoter. Je me suis approché pour lui dire calmement mes trois vérités. Parce que ses comportements commençaient à me mettre hors de moi. À la pause c'était “ Coco ``, maintenant c'est “ Mon Chéri ”. C'est vrai que ça ne dérange en rien ces surnoms, mais je n'aimerais pas étirer des mauvais regards sur moi et seul Dieu pouvait savoir ce que cette Cynthia avait derrière la tête.— Cynthia, tu joues à quel jeu au juste ? J'aime pas trop ce que tu es en train de faire. De
Cette nuit-là, j'avais réfléchi à ce que l'homme de limousine m'avait dit et je me suis dis si vraiment il avait un bon avocat il ne pourrait pas venir me demander une telle chose. Ce qui m'avait aussi donné du courage parce que je me suis en même temps dit que monsieur Éric est innocent dans cette affaire.Je me suis aussi demandé si je ne voulais pas mettre ma vie encore dans un autre problème. Mais après tout, ce sont les risques du travail et de plus je n'étais pas seul, mon Docteur et mon Dieu étaient à mes côtés.Le lendemain...À la justiceNous étions d&eac
Mon supérieur avait fait son entrée dans le bureau du commissaire et après avoir pris place, il avait pris la parole.— Bonjour monsieur, comment allez vous bien j'espère !?— Ça va monsieur, je peux faire quelque chose pour vous ? Demanda le commissaire.— Oui quelque chose qui ne doit pas attendre, je suis l'avocat de Monsieur : Richy MOUSSE qui a été amené ici hier, accusé d'avoir enlevé sa petite amie qui est enceinte de lui. Même avec tout ce qui s'est déjà passé, on peut dire sa femme.— Quoi? Sa femme vous dites comment sa femme , qui vous a dit ça ? La personne a kidnappé une femme enceinte d'un autre homme et vous dites sa femme ?— OK c'est bon je peux voir son dossier ?— Son dossier n'est pas encore prêt.— Comment son dossier n'est-il pas pr&
Elles étaient montées dans la voiture et le chauffeur avait démarré.Comme il faisait déjà tard, la mère de Prunelle avait décidé d'aller prendre une chambre à l'hôtel dans laquelle elles avaient passé la nuit.Cette nuit-là, je ne me sentais pas du tout à l'aise dans ma peau et la seule chose qui me venait en tête, était d'appeler Prunelle. Mais je me disais que peut-être elle serait déjà couchée.Le lendemain matin très tôt, je me suis mis en route pour aller voir l'agent immobilier, une fois dans son bureau, nous avons eu à discuter et il m'avait amené voir la villa dont il m'avait parlé
— Oui très bien même mon frère, bon maintenant ont fait quoi ?Je voulais répondre à la question de mon ami, lorsque j'avais réalisé que mon frère était connecté et il m'avait envoyé un « Coucou ». Je lui ai répondu et nous avons commencé par discuter. J'avais demandé d'après tout le monde comme d'habitude et il m'avait dit que tout le monde se portait à merveille.J'avais demandé à mon frère la décision que Prunelle avait prise et il m'avait dit qu'elle avait décidé de garder la grossesse. Mais qu'elle avait peur de me perdre et elle se disait que je l'aimais plus. J'avais dit à mon frère que je ne pourrai jamais cesser de l'aimer.