_Bonjour ma héroïne. M'avait salué mon père avec un large sourire sur le visage.
_Bonjour papa! avais-je répondu en lui rendant son sourire.
_ Te sens-tu enfin prêt pour un boulot?
_Pas vraiment, je répondis en m'asseyant sur les cuisses de mon grand frère.
_Et pourtant tu le devrais. N'oublie pas, j'ai dis après ton vingt troisième anniversaires, je ne serai plus responsable de toi.
_Papa!!! Avais-je pleuré. Mon anniversaire c'est dans deux semaines d'accord, arrête de me frustrer tout le temps !!
_Je le ferai pour t' éveiller. Vas-tu attendre ton vingt troisième anniversaires pour trouver un boulot ou un mari qui sera capable de prendre soin de toi?
_Un mari? Avais-je demandé en me levant.
_Oui, chérie !! Un mari. Je n'accepterai pas chez moi un enfoiré. Te voilà avertis.
_...
_Je veux un PDG, un avocat ou un ministre. Tu vois du genre.... quelqu'un qui a de la valeur dans cette société.
_Papa, nous parlons du travail là !! Pas de mariage! M' avais-je plaint mécontentement.
_Hola chérie, tout ça marche ensemble. Tu as travaillé dur pour décrocher ce diplôme et penses-tu que la vie s'arrête juste là ?
_...
_ Non, pour être une femme complète,tu devrais trouver de travail, trouver un homme ensuite fondé une famille.
_Mais papa....,je ne me sens pas encore prête pour un mariage!! Trouver un travail et supporter le stresse de ce boulot me fait encore peur. Ne viens pas ajouter à cette liste un homme, s'il te plaît.
_Arnaud est également passé par ce chemin. Si cela te stresse comme tu le dis. Demande lui conseille, il est ton frère, il te comprendra et t'expliquera tout.
_ Alors tu es sérieux !!
_Plus que ça. Avait il répondu avec un visage sérieux.
_Papa...!!
_Sois tu continue à prendre ceci tel qu'un jeu, ne sois pas surprise qu'après ton anniversaire, je te demande d'aller vivre ailleurs plutôt que chez moi.
_Tu ne me feras jamais une telle chose papa !!
_Or que si !! Débrouille toi pour trouver soit un boulot ou un homme qui s'occupera de toi ma fille. Où alors, tu subiras les conséquences de ton choix. Avait-il dit avant de s'en aller.
Je m'assis de nouveau sur les cuisses de mon grand frère. J'avais des larmes aux bout du nez.
_Ne soit pas triste d'accord. L'heure est mal choisi pour pleurer. Il est temps d' agir. Les années antérieures lorsque j'étais à ta présente situation, j'ai passé mon temps à pleurer et rien n'a été résolu. C'est n'est que lorsque j'ai pris la décision d'agir que tout a été arrangé. Regarde moi, aujourd'hui je suis un homme heureux et comblé.
_J'ai pas de petit ami Arnaud. J'ai concentré tout mon temps et mon énergie pour mon école. Si j'ai pas ce boulot, j'irai vivre dans la rue. Avais-je pleuré.
_Heh, hey! Catherine. Regarde moi. Catherine, tu as ton grand frère avec toi. Il fera tout pour te rendre heureuse. Je sais également que tu décrocheras ce boulot. Tu es brillante, ne l'oublie jamais.
_ Et si cela n'arrive pas ? avais je demandé peux confiante.
_Ne jette pas les éponges, avec ton niveau d'études, tu trouveras un travail important crois-moi. Et attendant, je pourrais te louer un appartement puisque si tu viens vivre avec moi, papa sera vexé.
_Tu feras vraiment cela pour, moi?
_Oui. Si je ne le fais pas pour toi, qui d'autre le feras. Avait-il répondu.
_Oh Arnaud !! L' avais-je serré dans mes bras. Merci, je t'aime tellement mon grand frère, si tu savais.
_Je le sais. Je t'aime également.
*
*
Deux jours après, Arnaud c'était rendue à la maison avant pour me chercher avant d'aller au boulot. Il travail comme comptable dans une entreprise près de l'aéroport international de Douala.
_Bonjour mon frère. Avais-je dis après avoir couru dans ses bras
_ Comment te sens tu, es-ce que ma petite sœur est enfin prêt pour décrocher ce boulot ?
_ Je vais foncer. Avais-je répondu en allant m'assoir dans la voiture.
_Coucou maman et papa, c'est Arnaud. Je viens chercher ma petite sœur. Désolé, je ne peux arriver à l'intérieur. Nous devons nous en aller pour braver les embouteillages. Je vous aime. Avait-il crié à nos parents qui étaient accroché par la fenêtre en amoureux.
_ Nous aussi. Avaient-ils répondu.
Arnaud s'assit derrière le volant et me conduisit à l'entreprise. Heureusement, nous n'avions pas croisé d' embouteillages. C'était déjà bon signe pour moi de décrocher ce boulot.
_Au revoir chérie, et surtout ne laisse personne t' intimider d'accord !! Tu as le bon profil, tu vas l'avoir ce job. Fais juste bonne impression le premier jour et tout ira comme tu le veux.
_ Merci, avais-je répondu en souriant.
Il m' abandonna pour sa voiture. Je me retournai et rien que la taille du bâtiment me fit frémir. Je tremble partout et je n'arrivais pas à faire un pas.
_Cherie, m' interpella mon grand frère derrière le volant. Je me retournai pour le regarder.
_Vas-y et surtout, n'oublie pas; tu es une championne. S'était-il s'écrier.
_ Oui !! J'avais répondu.
_ Alors vas-y, marche. Avait-il ordonné.
_Okay, je m'étais avancée courageusement en me répétant; je suis une championne, je suis une championne encore et encore et encore, jusqu'à l'intérieur du building.
_ Mlle, m'avait interpellé une secrétaire de direction. Que désirez vous?
_Bonjour mademoiselle, je suis ici pour déposer ma candidature pour le poste de secrétaire personnel du PDG de cette entreprise.
_Il n'est pas là. Mais vous pouvez entendre son adjoint. Il sera là dans quinze minutes.
_Okay, sans problème. Avais-je répondu.
Je me tins debout, ils ne m'avaient même pas offert de chaises. Quinze minutes après, l'adjoint n'était toujours pas arrivé.
J'étais déjà habitué à ce genre de coup à la faculté alors, je sais qu'il allait lui falloir encore une heure pour atterrir dans cette entreprise.
Je fis les sans pas, jusqu'à être enlacés mais je ne baissais pas les bras. Si je décidais de rentrer à la maison, mon père me questionnera. C'était quasiment impossible pour moi de rentrer sans avoir à rencontrer cet homme.
Une heure après, il arriva enfin. Et mon cœur se mit à battre très fort dans ma poitrine.
La secrétaire lui murmura quelques choses à l'oreille. Il secoua la tête et s'en alla dans son bureau.
_ Mlle, m' interpella la secrétaire.
_Oui, je courus jusqu'à elle.
_Monsieur Martin Olinga vous attend dans son bureau. Vous pouvez déposer votre dossier chez lui.
_Ok, merci bien !
_ Bonne chance et surtout soit concentrée. M'avait elle murmurer gentiment.
Je lui fis un petit sourire avant de m'éclipser vers le bureau de l'homme.
Je frappai à la porte.
_Oui, entrez !!
_Bonjour monsieur !! Avais-je salué après être entrée. Il avait la tête dans ses affaires. Je ne voyais pas son visage.
_Asseyez-vous, je vous attendais. Avait il dit toujours plongé dans ses affaires.
Je m'assis.
Quelques secondes après, il se retourna vers moi et me fit face. C'était un homme noir et grand aux allures intimidant. Pas de cheveux sur la tête mais avec beaucoup de barbe sur le menton. J'eus peur.
_Mlle, j'ai été informé tout à l'heure que vous désirez travailler avec nous.
_Oui, c'est exact. Avais-je répondu. Il m'avait regardé.
Malgré que je sois stressée, je décidai de chercher au plus profond de moi une énergie capable de me faire traverser cette épreuve. Je m'assis normalement et commençai les présentations ; je dis:
_ Je m'appelle mademoiselle Bintcha Catherine, je suis titulaire d'une licence professionnelle en lettres bilingues.
_J'ai 22 ans, c'est vrai mais ma jeunesse ne doit pas vous déranger car je sais travailler sous pression et je sais résister aux stresses.
_Enfin monsieur, pour tout vous dire, je suis tenace et... et... je fis une pause. Puis en le regardant droit dans les yeux. Je déclarai : vous trouverez le reste d'informations sur moi dans mon CV.
Je fis placé mon dossier sur la table et le poussa lentement devant lui. L'homme me regarda pendant quelques minutes avant de jeter un coup d'œil sur mon dossier.
Après l'avoir feuilleté, il déclara :
_ Vous êtes retenue Mlle Bintcha. Revenez la semaine prochaine pour vous entretenir avec monsieur. Il est toujours au Etats Unis mais il nous a recommandé de lui trouver une secrétaire avant son arrivé. Je suis heureux que nous avions pu accomplir cette tâche si difficile.
J'avais maintenant le coeur en sucre. Je sentis une grande joie et une satisfaction merveilleuse.
_J'y manquerai pas monsieur!
_Nous avons hâte de travailler avec vous Mlle. Dit-il en langues anglaise comme s'il voulait me tenter.
Je pris sa main et répondis en langues anglaise également. Puis, il m' accompagna hors du bâtiment en me parlant en langue anglaise.
Même si son anglais soit un peu archaïque, j'étais heureuse de discuter avec lui et de le corriger. Il décida de prendre quelques cours avec moi dès que possible. Je répondis qu'il sera la bienvenue.
Je rentrerai chez moi toute joyeuse. J' annonçai la bonne nouvelle à mes parents, ils étaient heureux.
Il ne fallait qu'attendre une semaine...
***
C'était avec une joie débordante que j'avais débuté ma journée. Il fallait que j'ai bonne mine en croisant mon patron.Je me lavai et fis un léger maquillage après mon bain. Je descendis voir les parents. Mon père me mit toujours la pression alors qu'Arnaud était venue me chercher. Avant que je m'en aille, il s'écria :_Catherine, t'as pu trouver un boulot aujourd'hui, chérie n'oublie pas d'en trouver un mari. Ta mère et moi devenons déjà assez vieux, nous méritons de voir ta progéniture avant notre mort.Je l'avais regardé sans rire à cette blague. Je montai dans le véhicule de mon frère avec le visage serré. Il avait gâché ma bonne humeur matinale._Ne sois pas vexé chérie. Avait dit Arnaud. Papa veut seulement que tu sois une femme comblée._Il exagère déjà non! Pourquoi essayer de toujours me rappeler les mêmes choses sans arrêt enfin? Bon sang! je n'aurai que 23 ans pas 40 ans...j'ai tout mon temps à vivre et peut-être à trouver également l'amour._Je sais._Et quoi? Je m'étais
Mes parents et moi avions célébré toute la soirée la bonne nouvelle. Le jour d'après, je me suis réveillée pour me rendre à mon nouveau travail. J'étais enthousiasmée." Catherine." Avait commencé mon père. "Nous attendons toujours avoir des nouvelles sur ton conjoint. Ne nous fait pas trop attendre." Fâcher, j'avais serré les dents et dis : " père, arrêtez de me mettre la pression vous voulez bien!" J'avais dis. " Je n'ai que 22 ans et j'aurais bien-sûr 23 ans bientôt mais cela ne devrait pas vous amener à m'agacer avec cette histoire de mariage sans cesse.""Qu'attends-tu parle 22 ans? Ou même 23 ans? Dans mon tutelle, avant 30 ans, tu devras déjà avoir un travail, un époux et au moins deux enfants...tu comprends?" Demanda t'il avec une voix grave assez effrayante. " Si tu ne remplis pas tous ces trois vœux de ma part alors tu cesse d'exister pour moi. T'avoir dans ma famille sera comme porter un costume de honte et je ne veux vraiment pas avoir honte de mes enfants et tu ne devie
La petite se calma puis je voulus sortir. Il me demandais si je rentrais, j'avais répondu non. Je me dirigeai alors au café puis il vint me trouver avec une proposition."Mlle Catherine, j'ai pensé à changer votre poste actuel. Je n'aurais plus besoin de vous comme secrétaire. j'aurais besoin de vous comme la nourrice de ma fille."...J'étais entrain de me servir un café lorsqu'il m'approcha. Je ne lui donnai pas la première intention. Elle était uniquement centrée sur mon café.Il toussa pour attirer mon attention vers sa personne. Je lui avais regardé et souris brièvement. Il s'inclina près de la machine et me fit face. "Je voudrais vous parler." Avait il dit. "Oui, j'écoute." Avais-je répondu."Je..." Il avait fait une pause et avait ris. Puis il avait levé ses yeux vers le plafond.J'étais calme. Je ne savais de quoi il voulait parlé, j'étais juste debout à attendre qu'il parle.Quelques minutes après, il se ressaisit et me regarda en face maintenant. Il dit:"Mlle, je suis veu
Après que la petite fille se soit réveillée, le docteur nous avait parmi de l'amener à la maison. J'avais été conduis dans une berline noire escorté par six garde du corps. Nous étions arrivés chez lui après quatre heures de route. Le chauffeur a garé. L'un d'eux avait ouvert la portière de la voiture. J' étais descendu admirant les milliards entrée dans cet endroit. Partout brillaient que j'eus honte d'être partie habillée aussi simplement. Les roses arrosé par des guirlandes lumineuses et des statues antiques des dieux grecs ornaient cet endroit par leur beauté. Je m'étais retourné pour lui regarder. J'avais respiré lourdement lorsqu'il m'invita à le suivre. Escorté alors qu'il tenait sa fille dans sa main droite dans un berceau. Il m'avait regardé car j'avais hésité un moment de franchir la porte._Venez. Avait il dit en me prenant par le bras.Je me retournai. J'avais regardé ses gardes personnel qui s' étaient mise debout à leurs différents poste de travail. Puis dans le silenc
Lorsque j'étais sortie, je m'étais perdue six fois dans cette grande maison et me retrouvais toujours sur place. J'avais mis les mains aux hanches en calculant dans ma tête, si je n' étais pas entrain de rêver. Comment se faisait t'il que je retrouvais toujours au même endroit. J'avais besoin de guide et lui seul pouvait me sortir de là._ On se sent perdu? M'avait t'il questionné placé juste derrière moi.J'avais sursaute brusquement et m'étais retourné pour le regarder. Il tenait sa fille dans ses bras. Lorsque nous étions arrivés chez lui, il était habillé en noir et le bébé en blanc. Cinq minutes seulement que j'étais partie, il était habillé déjà en blanc de la tête jusqu'au pied et le bébé également. Ce soudain changement de vêtements m'avait effrayé d'autant plus que j'avais parcouru plusieurs entrées en voyant presque tous les murs couverts de cette même couleur blanche. Que dire des dieux grecs suspendu ses les murs. Des dieux totalement nu ainsi que des déesses. Pourquoi a
Lorsque votre esprit n'est pas habitué à une certaine expérience de la vie, vous vous mettez à vous imaginez des choses dans votre cervelle. Issue de la basse classe, je n'avais jamais vu de telle maison aussi immense. Je m'étais mise à imaginer des trucs bizarres par rapport à l'homme milliardaire et sa fille. Autant plus que j'étais arrivée chez lui à un moment où il pleurait sa femme. Tout me semblait bizarre même les cris de sa fille.Mais parlant justement de ces cris, je ne pouvais l'ignorer. C'était comme si j'étais la manman de cet enfant. À chaque fois qu'elle pleurait, j'avais le cœur brisé. C'est ainsi qu'en courant ce jour là, je ne puis faire plus de pas. Je reviens en arrière et vit son père de dos.__ Mon amour calme toi d'accord ! Si maman est partie, papa sera là pour toi. Regarde moi mon amour, mon trésor. Je vais te trouver une nouvelle maman.J'étais émue de l'entendre bercer aussi gentiment sa fille. Il marchait avec elle et la couvrait de baisers. __Non, chéri
J'avais passé une mauvaise nuit car j'avais passé mon temps à penser aux propos de mes parents. Je m'étais réveillée alors avec une heure de retard. J'avais juste pris dix minutes pour me préparer. ___Bonjour Cathy. M'avait salué mon petit frère alors que je me précipitais vers la porte de sortie.___Cherie ton déjeuner est prêt.___Désolé maman, je suis vraiment en retard là. Je ne peux pas le prendre.___Continue comme-ça et tu seras facturé pour ces repas négliger.Mon père avait commenté. Je m'étais retournée et l'avais regardé. Il avait nerveusement arraché la tasse de lait que me tendait ma mère. Il l' avait bu et c'était nettoyé la bouche avant de porter ses lunettes de lecture. Il prit sur la table un vieux journal et l'ouvrir. Ce journal couvrit son visage.___Que nous dis les informations du jour? Il avait marmonner pour me blesser. J'avais ouvert la porte et m'en aller...Une heure après, j'étais arrivée à la résidence Bill. Tout était calme qu'on aurait dû mal à croire
Le lendemain matin quelq'un sonna à la porte. Je me réveillai et allai ouvrir. C'était lui et le bébé, elle pleurait.___Bonjour Mlle Catherine. Je ne voulais pas vous déranger, c'est la petite qui s'est réveillée. Je l'avais regardé tendrement alors qu'il berçait la petite. Il savait s'occuper de sa fille. il était très mignon en la tenant dans ses bras.Il portait un t-shirt blanc avec des manches moyennes. Ces biceps étaient explosés à ma vue. Il portait un patron noir simple et j'avoue qu'il était mignon. ___Tenez. Il m'avait tendu le gobelet rose du bébé avec une bouteille d'eau" surpermont." Sans que je ne l'invite à entrer, il l' entra et je fermai la porte après lui.___Tenez, j'ai remplis de l'eau. Elle doit avoir soiffe. Je lui tendis le gobelet.Il avait pris le gobelet d'eau et s'était mise à donner à boire à l'enfant mais elle refusait de se taire. Il me passa le gobelet et je couru le déposé sur la table. Je lui demandai de me passer le bébé, il la plaça dans mes bras
Je me réveillai une heure après la pluie. Tout était devenue claire par le début de soleil qui se levait à l'horizon.Comme il me l'avait dit, les camionnettes sont arrivées chez lui. La dame costaude de l'autre jour à l'hôpital est arrivée avec ce qu'il fallait à la maison. Je me demandais qui elle était pour lui.J'étais assise et je les observait par la fenêtre en caressant les bouts de mes seins. Il démangeait et voulait certainement être plongé de nouveau dans la bouche de la petite. Enfaite j'avais l'impression.*Ceux qui étaient venus accompagné de la dame firent entrer les provisions à l'intérieur. J'arrêtais de toucher à mes seins lorsqu'il regarda vers mon appartement.Je pliai mes sourcils et gardai mes yeux dans les siens. Il avait les mains dans les poche de son pantalon noir. Il était très beau avec un physique de rêve. Je lui avais regardé et je m'étais imaginé que je sois sa petite amie. L'ont aurait formé un très beau.Je secouai la tête lorsque après avoir passé un
Cet homme m'avait regardé dans le silence. J'avais l'impression qu'il allait crier ou hurler. Il avait fait le contraire._J'ai vu, je vous comprends mais vous allez faire un effort. c'est juste une étape de la vie, vous pouvez le faire pour calmer la petite. Avait il dit. Il m'avait approché. Il n'avait pas pris le bébé mais il m'avait conduit dans le canapé._Laissez moi vous apprendre comment cela se passe. Vous allez croiser vos jambes et pense que ça ira mieux.Je l'avais regardé me parler aussi raisonnablement. Il ne voulait pas me frustrer ni me harceler de nourrir sa fille. Il voulait que je le fasse pour calmer la faim de la petite. Assit près de moi, il avait dit. _Croisez une jambe. J'avais obéi._Sortez votre sein. J'avais obéi. _Mettez votre sein à présent dans la bouche de la petite. J'avais fait comme il m'avait demandé. Et lorsque l'enfant vit mon sein, elle l'avait attrapé une fois comme si elle n'attendait que ça. _ Hum!! J'avais sursauter mais pas co
_Que j'enlève mes seins de mon soutien gorge pour nourrir la petite? Je l'avais questionnée étant debout. Oui, j'avais senti le besoin de me ternir debout pour lui faire face. Qu'est-ce-qu'il me demandait de faire ? Il m'avait regardé dans les yeux pendant un moment. Il avait marché jusqu'à moi et pour la première fois, il déposa ses mains en dessous des miennes qui tenaient le bébé. Me fixant dans les yeux, il dit: _J'insiste que vous le fassiez Mlle Bintcha, c'est pour le bien de l'enfant. Je n'avais jamais nourri un bébé de mes seins, je ne savais pas par quoi commencer. J'avais honte d'y commencer maintenant... La petite hurlait comme si elle allait s'étouffer à la minute suivante. _Mlle, je vous prie de prendre conscience des pleures de ma fille. Elle a besoin de vous. J'avais regardé cet homme pendant un moment puis la petite fille qui pleurait dans mes bras. Je m'étais décidé de faire comme il me l'avait demandé. Je m'assis sur le canapé et tient le bébé comme j'
Le lendemain matin quelq'un sonna à la porte. Je me réveillai et allai ouvrir. C'était lui et le bébé, elle pleurait.___Bonjour Mlle Catherine. Je ne voulais pas vous déranger, c'est la petite qui s'est réveillée. Je l'avais regardé tendrement alors qu'il berçait la petite. Il savait s'occuper de sa fille. il était très mignon en la tenant dans ses bras.Il portait un t-shirt blanc avec des manches moyennes. Ces biceps étaient explosés à ma vue. Il portait un patron noir simple et j'avoue qu'il était mignon. ___Tenez. Il m'avait tendu le gobelet rose du bébé avec une bouteille d'eau" surpermont." Sans que je ne l'invite à entrer, il l' entra et je fermai la porte après lui.___Tenez, j'ai remplis de l'eau. Elle doit avoir soiffe. Je lui tendis le gobelet.Il avait pris le gobelet d'eau et s'était mise à donner à boire à l'enfant mais elle refusait de se taire. Il me passa le gobelet et je couru le déposé sur la table. Je lui demandai de me passer le bébé, il la plaça dans mes bras
J'avais passé une mauvaise nuit car j'avais passé mon temps à penser aux propos de mes parents. Je m'étais réveillée alors avec une heure de retard. J'avais juste pris dix minutes pour me préparer. ___Bonjour Cathy. M'avait salué mon petit frère alors que je me précipitais vers la porte de sortie.___Cherie ton déjeuner est prêt.___Désolé maman, je suis vraiment en retard là. Je ne peux pas le prendre.___Continue comme-ça et tu seras facturé pour ces repas négliger.Mon père avait commenté. Je m'étais retournée et l'avais regardé. Il avait nerveusement arraché la tasse de lait que me tendait ma mère. Il l' avait bu et c'était nettoyé la bouche avant de porter ses lunettes de lecture. Il prit sur la table un vieux journal et l'ouvrir. Ce journal couvrit son visage.___Que nous dis les informations du jour? Il avait marmonner pour me blesser. J'avais ouvert la porte et m'en aller...Une heure après, j'étais arrivée à la résidence Bill. Tout était calme qu'on aurait dû mal à croire
Lorsque votre esprit n'est pas habitué à une certaine expérience de la vie, vous vous mettez à vous imaginez des choses dans votre cervelle. Issue de la basse classe, je n'avais jamais vu de telle maison aussi immense. Je m'étais mise à imaginer des trucs bizarres par rapport à l'homme milliardaire et sa fille. Autant plus que j'étais arrivée chez lui à un moment où il pleurait sa femme. Tout me semblait bizarre même les cris de sa fille.Mais parlant justement de ces cris, je ne pouvais l'ignorer. C'était comme si j'étais la manman de cet enfant. À chaque fois qu'elle pleurait, j'avais le cœur brisé. C'est ainsi qu'en courant ce jour là, je ne puis faire plus de pas. Je reviens en arrière et vit son père de dos.__ Mon amour calme toi d'accord ! Si maman est partie, papa sera là pour toi. Regarde moi mon amour, mon trésor. Je vais te trouver une nouvelle maman.J'étais émue de l'entendre bercer aussi gentiment sa fille. Il marchait avec elle et la couvrait de baisers. __Non, chéri
Lorsque j'étais sortie, je m'étais perdue six fois dans cette grande maison et me retrouvais toujours sur place. J'avais mis les mains aux hanches en calculant dans ma tête, si je n' étais pas entrain de rêver. Comment se faisait t'il que je retrouvais toujours au même endroit. J'avais besoin de guide et lui seul pouvait me sortir de là._ On se sent perdu? M'avait t'il questionné placé juste derrière moi.J'avais sursaute brusquement et m'étais retourné pour le regarder. Il tenait sa fille dans ses bras. Lorsque nous étions arrivés chez lui, il était habillé en noir et le bébé en blanc. Cinq minutes seulement que j'étais partie, il était habillé déjà en blanc de la tête jusqu'au pied et le bébé également. Ce soudain changement de vêtements m'avait effrayé d'autant plus que j'avais parcouru plusieurs entrées en voyant presque tous les murs couverts de cette même couleur blanche. Que dire des dieux grecs suspendu ses les murs. Des dieux totalement nu ainsi que des déesses. Pourquoi a
Après que la petite fille se soit réveillée, le docteur nous avait parmi de l'amener à la maison. J'avais été conduis dans une berline noire escorté par six garde du corps. Nous étions arrivés chez lui après quatre heures de route. Le chauffeur a garé. L'un d'eux avait ouvert la portière de la voiture. J' étais descendu admirant les milliards entrée dans cet endroit. Partout brillaient que j'eus honte d'être partie habillée aussi simplement. Les roses arrosé par des guirlandes lumineuses et des statues antiques des dieux grecs ornaient cet endroit par leur beauté. Je m'étais retourné pour lui regarder. J'avais respiré lourdement lorsqu'il m'invita à le suivre. Escorté alors qu'il tenait sa fille dans sa main droite dans un berceau. Il m'avait regardé car j'avais hésité un moment de franchir la porte._Venez. Avait il dit en me prenant par le bras.Je me retournai. J'avais regardé ses gardes personnel qui s' étaient mise debout à leurs différents poste de travail. Puis dans le silenc
La petite se calma puis je voulus sortir. Il me demandais si je rentrais, j'avais répondu non. Je me dirigeai alors au café puis il vint me trouver avec une proposition."Mlle Catherine, j'ai pensé à changer votre poste actuel. Je n'aurais plus besoin de vous comme secrétaire. j'aurais besoin de vous comme la nourrice de ma fille."...J'étais entrain de me servir un café lorsqu'il m'approcha. Je ne lui donnai pas la première intention. Elle était uniquement centrée sur mon café.Il toussa pour attirer mon attention vers sa personne. Je lui avais regardé et souris brièvement. Il s'inclina près de la machine et me fit face. "Je voudrais vous parler." Avait il dit. "Oui, j'écoute." Avais-je répondu."Je..." Il avait fait une pause et avait ris. Puis il avait levé ses yeux vers le plafond.J'étais calme. Je ne savais de quoi il voulait parlé, j'étais juste debout à attendre qu'il parle.Quelques minutes après, il se ressaisit et me regarda en face maintenant. Il dit:"Mlle, je suis veu