C'était avec une joie débordante que j'avais débuté ma journée. Il fallait que j'ai bonne mine en croisant mon patron.
Je me lavai et fis un léger maquillage après mon bain. Je descendis voir les parents. Mon père me mit toujours la pression alors qu'Arnaud était venue me chercher.
Avant que je m'en aille, il s'écria :
_Catherine, t'as pu trouver un boulot aujourd'hui, chérie n'oublie pas d'en trouver un mari. Ta mère et moi devenons déjà assez vieux, nous méritons de voir ta progéniture avant notre mort.
Je l'avais regardé sans rire à cette blague. Je montai dans le véhicule de mon frère avec le visage serré. Il avait gâché ma bonne humeur matinale.
_Ne sois pas vexé chérie. Avait dit Arnaud. Papa veut seulement que tu sois une femme comblée.
_Il exagère déjà non! Pourquoi essayer de toujours me rappeler les mêmes choses sans arrêt enfin? Bon sang! je n'aurai que 23 ans pas 40 ans...j'ai tout mon temps à vivre et peut-être à trouver également l'amour.
_Je sais.
_Et quoi? Je m'étais enflammée. Pourquoi agit il comme si j'étais déjà assez vieille et qu'il fallait à tout prie que j'épouse quelqu'un.
_Catherine, il n'a pas dis celà...
_ Et dis moi, toi!! Qu'est ce qu'il essaye de dire depuis un moment? Il n'a pas cessé de me critiquer, je te signale qu'il a même dit qu'il me jettera hors de la maison après mon vingt troisième anniversaires, c'est dingue non?
_Calme toi Catherine. Il ne fera pas ça !! Je le connais et même s'il le faisait, je suis là pour toi. Tu dois sourire en pensant à la chance que tu as d'avoir un grand frère comme moi. Je vais t'épauler. Avait il dit avec un ton rassurant.
Je me calmai enfin.Quelques secondes après, j'avais repris calmement.
_Pourquoi fait-il cela Arnaud?
_Parce qu'il veut que tu sois indépendante. Avoir un travail et trouver l'amour cela te rendra plus heureuse dans le futur crois-moi.
Je l'avais regardé sans rien dire. Il m'avait recommandé de changer ma mine. Pour trouver un emploi, il fallait avoir une bonne mine. J'avais souris et changer mon humeur.
Il me déposa comme d'habitude et il ne manqua pas de me rappeler que j'étais une championne. Il s'en alla.
J'entrai dans le building pas assez enthousiasmée mais je savais qu'il me fallait ce job.
Après avoir décroché ce boulot, je me disais qu'il fallait que je me trouve un appartement pour mener ma vie comme bon me semble. Je laisse partir mes pensées négatives et suivis mon calmement chemin.
*
*
Lorsque je fus entrée dans le bâtiment, j'entendis les cris d'un bébé. Ils étaient ardents. Ces cris me touchèrent et je me sentis soudainement dérangé comme si, j'étais la maman de ce bébé.
Je marchai rapidement et vis la secrétaire. Je m'approchai d'elle.
_Mme que ce passe t'il? Je lui questionnai.
_ Oh Mlle, vous êtes là. Enfaite, c'est la fille du PDG qui pleure ainsi.
_Il est ici? Je lui questionnai en regardant de partout.
_Oui, dans son bureau.
_Avec un bébé?
_Oui.
J'étais un peu choquée alors j'avais demandé:
_Où se trouve son épouse? Elle aurait pu rester avec le bébé à la maison non!
_Écoutez ma Mlle, monsieur vient de perdre son épouse il ya un mois. C'est ce que nous avons appris. Ils avaient un nouveau né alors, tu comprends la suite.
_Seigneur!! Avais-je pleuré.
_N'ont il pas de la famille? N'a t'il pas une mère, une sœur qui peut s'en occuper?
_Nous ne savons rien de la vie de notre patron. L'on se concentre uniquement sur notre job par ici. Avait elle répondu indiscret.
Elle n'avait plus dit un mot lorsqu'elle vit arriver l'adjoint du PDG.
_Mme Marielle, pourquoi retenez-vous cette demoiselle sachant que le boss soit uniquement venu pour la rencontrer. Si non, il ne devrait même pas être ici. L'avait reproché l'homme.
_Je suis désolée monsieur Olinga. S'était elle excusée.
_Venez avec moi, Mlle. Avait dit l'homme et je le suivis dans silence.
Lorsque nous arrivions dans le bureau, je vis le PDG tenant son bébé entre les bras. Il marchait partout essayant de la calmer.
_Monsieur, la demoiselle est arrivée.
_ Oui, d'accord qu'elle s'assoit. Avait-il déclaré sans détacher ses yeux de son enfant.
_Asseyez-vous. Avait dit monsieur Olinga.
J'obéis.
Quelques minutes après, il ne dit rien. Il est toujours concentré sur l'enfant..
_Monsieur, la demoiselle...
_Qu'elle attende!! Avait il crié furieusement. Je ne peux me concentrer sur rien d'autre tant que ma fille pleure, vous comprenez!! Elle peut s'en aller si elle est pressée. Je trouverai quelqu'un d'autre.
Mon cœur s'était déchiré sur ce manque de respect mais je ne pouvais pas rentrer sans ce boulot. J'étais plus que déterminé à l'avoir pour chercher un appartement pour moi. Si non, je devrais continuer à vivre chez mon père et entendre ses critiques et son chantage chaque jour.
Je décidai de patienter. Trente minutes plus tard le cris du bébé n'a pas changé. Je me demandais si elle avait pour habitude de toujours pleurer ainsi. Je me levai et marchai lentement jusqu'à lui. Je dis:
_Monsieur...
_Quoi! Il s'écria en me faisant enfin face.
C'était un homme grand, avoisinant 1,85cm. Visage rond, teint bruin. Couleur des yeux noirs, lèvre rouge. Cheveux courts crépus formant des vagues. Son regard était intimidant mais dans le but de calmer son bébé, j'avais ignoré son manque de respect et avais poursuis.
_Donnez-moi l'enfant, je pense pouvoir la calmer. J'avais dis en déposant mes mains sur la serviette blanche où était enveloppée la petite.
L'enfant attendit le sons de ma voix, elle arrêta de pleurer. Mais son père ne le remarqua pas.
_ Je ne donnerai jamais ma fille à qui que ce soit. Avait-il répondu.
Nous nous regardons dans les yeux pendant un moment avant que je décidai de retourner m'asseoir. À peine, j'avais enlevé ma main sur le bébé, elle recommença à pleurer. C'était qu'en ce moment que son père se rendit compte qu'elle avait cessé de pleurer.
_Mlle, m'interpella t'il. Revenez, s'il vous plaît, revenez vous pouvez l'avoir. Vous pouvez la prendre.
Je m'arrêtai.
Il m' approcha. Il me regarda dans les yeux avec hésitation mais il finit par me passer l'enfant.
Je pris la petite dans mes bras. Elle arrêta de pleurer. Je la regardai. Je jouai avec ses petits doigts. Elle était tout petit et très belle. Ses petits yeux brillaient comme des lanternes chinoises. Elle avait des joux rondes. Bref elle était joufflue comme son papa.
Je me retournai et marchai avec elle. Je me mis à lui chanter une berceuse. Elle attrapa mon index et la saisit assez fort que je sus qu'elle m'aimait. Elle était gentille avec moi et se sentait heureuse et en sécurité.
_J'ai tout fait depuis une semaine maintenant, elle n'a pas cessé de pleurer jusqu'à présent. Déclara mon patron en s'adressant à monsieur Olinga Martin.
_On peut voir qu'elle aime la demoiselle patron. Répondit monsieur Olinga.
_Vous avez raison.
Il y eu un moment de silence. Tout était calme. Seule ma belle voix se faisait entendre alors que je chantais une berceuse à la petite. Elle me regardait avec les yeux qui brillent. Je l'avais souris.
_Pour quel poste est-elle venue? Demanda le PDG.
_ C'est votre nouvelle secrétaire monsieur. Elle est bilingue comme vous avez demandé.
_Vraiment!!
_Oui, monsieur !! Avait répondu son adjoint.
_Dors mon petit bébé. Dors...ma chérie...dors, dors,dors.
Je chantais ainsi pendant dix minutes puis elle s'en dormit dans mes bras. Je me retournais et la rendrai à son père.
Il prit sa fille et me sourit. Dans son regard, je vis une grosse fatigue. C'était pas si difficile de deviner qu'il n'avait pas beaucoup dormi ces derniers temps.
_Merci, Mlle hum...
_Bintcha Catherine. J'avais répondu.
_Je suis heureux pour ce service. J'apprécie énormément.
_C'est rien monsieur, j'avais répondu.
_ Vous vous connaissez vraiment avec les enfants? M'avait-il questionné.
_J'ai grandi dans un milieu où il y'avaient plusieurs enfants. Avais-je répondu brièvement.
_Ah, je vois. Avait-il dit en regardant sa fille.
_Hum!! Je soupirai.
Quelques minutes après, il leva la tête et me regarda. Il dit:
_Pour votre poste mademoiselle, sachez que vous êtes retenue. Je fais confiance à mon adjoint, s'il dit que vous êtes là bonne personne, je n'en doute pas une seconde. Vous pouvez dès demain matin, commencer. Laisser votre adresse et toutes vos informations personnelles.
_D'accord monsieur. Avais-je répondu.
_Monsieur Martin, présenter à la demoiselle, son bureau de travail et récupérez toutes ses informations personnelles pour moi. Avait-il recommandé à son adjoint.
_Comptez sur moi monsieur. Avait-il dit avec une voix haute comme un agent des services secrets.
_Mlle Bintcha, venez avec moi. Juste à l'extrémité gauche de son bureau était un magnifique bureau avec une belle chaise de bureau couleur noir.
Monsieur Martin me le présenta comme mon nouveau bureau. Je visitai l'endroit, c'était magnifique.
_Essayez la chaise mademoiselle. Ce lieux vous appartient désormais. C'est votre lieu de travail.
Je m'étais assis sur la chaise. Je me suis sentie comblée. J'adorais déjà mon lieu de travail. Il y' avaient un ou deux trucs à retoucher, je décidai d'étendre au moins une semaine avant d'apporter un changement à mon goût.
Je laissai mes informations personnelles et retournai joyeuse dans ma maison.
**
Mes parents et moi avions célébré toute la soirée la bonne nouvelle. Le jour d'après, je me suis réveillée pour me rendre à mon nouveau travail. J'étais enthousiasmée." Catherine." Avait commencé mon père. "Nous attendons toujours avoir des nouvelles sur ton conjoint. Ne nous fait pas trop attendre." Fâcher, j'avais serré les dents et dis : " père, arrêtez de me mettre la pression vous voulez bien!" J'avais dis. " Je n'ai que 22 ans et j'aurais bien-sûr 23 ans bientôt mais cela ne devrait pas vous amener à m'agacer avec cette histoire de mariage sans cesse.""Qu'attends-tu parle 22 ans? Ou même 23 ans? Dans mon tutelle, avant 30 ans, tu devras déjà avoir un travail, un époux et au moins deux enfants...tu comprends?" Demanda t'il avec une voix grave assez effrayante. " Si tu ne remplis pas tous ces trois vœux de ma part alors tu cesse d'exister pour moi. T'avoir dans ma famille sera comme porter un costume de honte et je ne veux vraiment pas avoir honte de mes enfants et tu ne devie
La petite se calma puis je voulus sortir. Il me demandais si je rentrais, j'avais répondu non. Je me dirigeai alors au café puis il vint me trouver avec une proposition."Mlle Catherine, j'ai pensé à changer votre poste actuel. Je n'aurais plus besoin de vous comme secrétaire. j'aurais besoin de vous comme la nourrice de ma fille."...J'étais entrain de me servir un café lorsqu'il m'approcha. Je ne lui donnai pas la première intention. Elle était uniquement centrée sur mon café.Il toussa pour attirer mon attention vers sa personne. Je lui avais regardé et souris brièvement. Il s'inclina près de la machine et me fit face. "Je voudrais vous parler." Avait il dit. "Oui, j'écoute." Avais-je répondu."Je..." Il avait fait une pause et avait ris. Puis il avait levé ses yeux vers le plafond.J'étais calme. Je ne savais de quoi il voulait parlé, j'étais juste debout à attendre qu'il parle.Quelques minutes après, il se ressaisit et me regarda en face maintenant. Il dit:"Mlle, je suis veu
Après que la petite fille se soit réveillée, le docteur nous avait parmi de l'amener à la maison. J'avais été conduis dans une berline noire escorté par six garde du corps. Nous étions arrivés chez lui après quatre heures de route. Le chauffeur a garé. L'un d'eux avait ouvert la portière de la voiture. J' étais descendu admirant les milliards entrée dans cet endroit. Partout brillaient que j'eus honte d'être partie habillée aussi simplement. Les roses arrosé par des guirlandes lumineuses et des statues antiques des dieux grecs ornaient cet endroit par leur beauté. Je m'étais retourné pour lui regarder. J'avais respiré lourdement lorsqu'il m'invita à le suivre. Escorté alors qu'il tenait sa fille dans sa main droite dans un berceau. Il m'avait regardé car j'avais hésité un moment de franchir la porte._Venez. Avait il dit en me prenant par le bras.Je me retournai. J'avais regardé ses gardes personnel qui s' étaient mise debout à leurs différents poste de travail. Puis dans le silenc
Lorsque j'étais sortie, je m'étais perdue six fois dans cette grande maison et me retrouvais toujours sur place. J'avais mis les mains aux hanches en calculant dans ma tête, si je n' étais pas entrain de rêver. Comment se faisait t'il que je retrouvais toujours au même endroit. J'avais besoin de guide et lui seul pouvait me sortir de là._ On se sent perdu? M'avait t'il questionné placé juste derrière moi.J'avais sursaute brusquement et m'étais retourné pour le regarder. Il tenait sa fille dans ses bras. Lorsque nous étions arrivés chez lui, il était habillé en noir et le bébé en blanc. Cinq minutes seulement que j'étais partie, il était habillé déjà en blanc de la tête jusqu'au pied et le bébé également. Ce soudain changement de vêtements m'avait effrayé d'autant plus que j'avais parcouru plusieurs entrées en voyant presque tous les murs couverts de cette même couleur blanche. Que dire des dieux grecs suspendu ses les murs. Des dieux totalement nu ainsi que des déesses. Pourquoi a
Lorsque votre esprit n'est pas habitué à une certaine expérience de la vie, vous vous mettez à vous imaginez des choses dans votre cervelle. Issue de la basse classe, je n'avais jamais vu de telle maison aussi immense. Je m'étais mise à imaginer des trucs bizarres par rapport à l'homme milliardaire et sa fille. Autant plus que j'étais arrivée chez lui à un moment où il pleurait sa femme. Tout me semblait bizarre même les cris de sa fille.Mais parlant justement de ces cris, je ne pouvais l'ignorer. C'était comme si j'étais la manman de cet enfant. À chaque fois qu'elle pleurait, j'avais le cœur brisé. C'est ainsi qu'en courant ce jour là, je ne puis faire plus de pas. Je reviens en arrière et vit son père de dos.__ Mon amour calme toi d'accord ! Si maman est partie, papa sera là pour toi. Regarde moi mon amour, mon trésor. Je vais te trouver une nouvelle maman.J'étais émue de l'entendre bercer aussi gentiment sa fille. Il marchait avec elle et la couvrait de baisers. __Non, chéri
J'avais passé une mauvaise nuit car j'avais passé mon temps à penser aux propos de mes parents. Je m'étais réveillée alors avec une heure de retard. J'avais juste pris dix minutes pour me préparer. ___Bonjour Cathy. M'avait salué mon petit frère alors que je me précipitais vers la porte de sortie.___Cherie ton déjeuner est prêt.___Désolé maman, je suis vraiment en retard là. Je ne peux pas le prendre.___Continue comme-ça et tu seras facturé pour ces repas négliger.Mon père avait commenté. Je m'étais retournée et l'avais regardé. Il avait nerveusement arraché la tasse de lait que me tendait ma mère. Il l' avait bu et c'était nettoyé la bouche avant de porter ses lunettes de lecture. Il prit sur la table un vieux journal et l'ouvrir. Ce journal couvrit son visage.___Que nous dis les informations du jour? Il avait marmonner pour me blesser. J'avais ouvert la porte et m'en aller...Une heure après, j'étais arrivée à la résidence Bill. Tout était calme qu'on aurait dû mal à croire
Le lendemain matin quelq'un sonna à la porte. Je me réveillai et allai ouvrir. C'était lui et le bébé, elle pleurait.___Bonjour Mlle Catherine. Je ne voulais pas vous déranger, c'est la petite qui s'est réveillée. Je l'avais regardé tendrement alors qu'il berçait la petite. Il savait s'occuper de sa fille. il était très mignon en la tenant dans ses bras.Il portait un t-shirt blanc avec des manches moyennes. Ces biceps étaient explosés à ma vue. Il portait un patron noir simple et j'avoue qu'il était mignon. ___Tenez. Il m'avait tendu le gobelet rose du bébé avec une bouteille d'eau" surpermont." Sans que je ne l'invite à entrer, il l' entra et je fermai la porte après lui.___Tenez, j'ai remplis de l'eau. Elle doit avoir soiffe. Je lui tendis le gobelet.Il avait pris le gobelet d'eau et s'était mise à donner à boire à l'enfant mais elle refusait de se taire. Il me passa le gobelet et je couru le déposé sur la table. Je lui demandai de me passer le bébé, il la plaça dans mes bras
_Que j'enlève mes seins de mon soutien gorge pour nourrir la petite? Je l'avais questionnée étant debout. Oui, j'avais senti le besoin de me ternir debout pour lui faire face. Qu'est-ce-qu'il me demandait de faire ? Il m'avait regardé dans les yeux pendant un moment. Il avait marché jusqu'à moi et pour la première fois, il déposa ses mains en dessous des miennes qui tenaient le bébé. Me fixant dans les yeux, il dit: _J'insiste que vous le fassiez Mlle Bintcha, c'est pour le bien de l'enfant. Je n'avais jamais nourri un bébé de mes seins, je ne savais pas par quoi commencer. J'avais honte d'y commencer maintenant... La petite hurlait comme si elle allait s'étouffer à la minute suivante. _Mlle, je vous prie de prendre conscience des pleures de ma fille. Elle a besoin de vous. J'avais regardé cet homme pendant un moment puis la petite fille qui pleurait dans mes bras. Je m'étais décidé de faire comme il me l'avait demandé. Je m'assis sur le canapé et tient le bébé comme j'
Je me réveillai une heure après la pluie. Tout était devenue claire par le début de soleil qui se levait à l'horizon.Comme il me l'avait dit, les camionnettes sont arrivées chez lui. La dame costaude de l'autre jour à l'hôpital est arrivée avec ce qu'il fallait à la maison. Je me demandais qui elle était pour lui.J'étais assise et je les observait par la fenêtre en caressant les bouts de mes seins. Il démangeait et voulait certainement être plongé de nouveau dans la bouche de la petite. Enfaite j'avais l'impression.*Ceux qui étaient venus accompagné de la dame firent entrer les provisions à l'intérieur. J'arrêtais de toucher à mes seins lorsqu'il regarda vers mon appartement.Je pliai mes sourcils et gardai mes yeux dans les siens. Il avait les mains dans les poche de son pantalon noir. Il était très beau avec un physique de rêve. Je lui avais regardé et je m'étais imaginé que je sois sa petite amie. L'ont aurait formé un très beau.Je secouai la tête lorsque après avoir passé un
Cet homme m'avait regardé dans le silence. J'avais l'impression qu'il allait crier ou hurler. Il avait fait le contraire._J'ai vu, je vous comprends mais vous allez faire un effort. c'est juste une étape de la vie, vous pouvez le faire pour calmer la petite. Avait il dit. Il m'avait approché. Il n'avait pas pris le bébé mais il m'avait conduit dans le canapé._Laissez moi vous apprendre comment cela se passe. Vous allez croiser vos jambes et pense que ça ira mieux.Je l'avais regardé me parler aussi raisonnablement. Il ne voulait pas me frustrer ni me harceler de nourrir sa fille. Il voulait que je le fasse pour calmer la faim de la petite. Assit près de moi, il avait dit. _Croisez une jambe. J'avais obéi._Sortez votre sein. J'avais obéi. _Mettez votre sein à présent dans la bouche de la petite. J'avais fait comme il m'avait demandé. Et lorsque l'enfant vit mon sein, elle l'avait attrapé une fois comme si elle n'attendait que ça. _ Hum!! J'avais sursauter mais pas co
_Que j'enlève mes seins de mon soutien gorge pour nourrir la petite? Je l'avais questionnée étant debout. Oui, j'avais senti le besoin de me ternir debout pour lui faire face. Qu'est-ce-qu'il me demandait de faire ? Il m'avait regardé dans les yeux pendant un moment. Il avait marché jusqu'à moi et pour la première fois, il déposa ses mains en dessous des miennes qui tenaient le bébé. Me fixant dans les yeux, il dit: _J'insiste que vous le fassiez Mlle Bintcha, c'est pour le bien de l'enfant. Je n'avais jamais nourri un bébé de mes seins, je ne savais pas par quoi commencer. J'avais honte d'y commencer maintenant... La petite hurlait comme si elle allait s'étouffer à la minute suivante. _Mlle, je vous prie de prendre conscience des pleures de ma fille. Elle a besoin de vous. J'avais regardé cet homme pendant un moment puis la petite fille qui pleurait dans mes bras. Je m'étais décidé de faire comme il me l'avait demandé. Je m'assis sur le canapé et tient le bébé comme j'
Le lendemain matin quelq'un sonna à la porte. Je me réveillai et allai ouvrir. C'était lui et le bébé, elle pleurait.___Bonjour Mlle Catherine. Je ne voulais pas vous déranger, c'est la petite qui s'est réveillée. Je l'avais regardé tendrement alors qu'il berçait la petite. Il savait s'occuper de sa fille. il était très mignon en la tenant dans ses bras.Il portait un t-shirt blanc avec des manches moyennes. Ces biceps étaient explosés à ma vue. Il portait un patron noir simple et j'avoue qu'il était mignon. ___Tenez. Il m'avait tendu le gobelet rose du bébé avec une bouteille d'eau" surpermont." Sans que je ne l'invite à entrer, il l' entra et je fermai la porte après lui.___Tenez, j'ai remplis de l'eau. Elle doit avoir soiffe. Je lui tendis le gobelet.Il avait pris le gobelet d'eau et s'était mise à donner à boire à l'enfant mais elle refusait de se taire. Il me passa le gobelet et je couru le déposé sur la table. Je lui demandai de me passer le bébé, il la plaça dans mes bras
J'avais passé une mauvaise nuit car j'avais passé mon temps à penser aux propos de mes parents. Je m'étais réveillée alors avec une heure de retard. J'avais juste pris dix minutes pour me préparer. ___Bonjour Cathy. M'avait salué mon petit frère alors que je me précipitais vers la porte de sortie.___Cherie ton déjeuner est prêt.___Désolé maman, je suis vraiment en retard là. Je ne peux pas le prendre.___Continue comme-ça et tu seras facturé pour ces repas négliger.Mon père avait commenté. Je m'étais retournée et l'avais regardé. Il avait nerveusement arraché la tasse de lait que me tendait ma mère. Il l' avait bu et c'était nettoyé la bouche avant de porter ses lunettes de lecture. Il prit sur la table un vieux journal et l'ouvrir. Ce journal couvrit son visage.___Que nous dis les informations du jour? Il avait marmonner pour me blesser. J'avais ouvert la porte et m'en aller...Une heure après, j'étais arrivée à la résidence Bill. Tout était calme qu'on aurait dû mal à croire
Lorsque votre esprit n'est pas habitué à une certaine expérience de la vie, vous vous mettez à vous imaginez des choses dans votre cervelle. Issue de la basse classe, je n'avais jamais vu de telle maison aussi immense. Je m'étais mise à imaginer des trucs bizarres par rapport à l'homme milliardaire et sa fille. Autant plus que j'étais arrivée chez lui à un moment où il pleurait sa femme. Tout me semblait bizarre même les cris de sa fille.Mais parlant justement de ces cris, je ne pouvais l'ignorer. C'était comme si j'étais la manman de cet enfant. À chaque fois qu'elle pleurait, j'avais le cœur brisé. C'est ainsi qu'en courant ce jour là, je ne puis faire plus de pas. Je reviens en arrière et vit son père de dos.__ Mon amour calme toi d'accord ! Si maman est partie, papa sera là pour toi. Regarde moi mon amour, mon trésor. Je vais te trouver une nouvelle maman.J'étais émue de l'entendre bercer aussi gentiment sa fille. Il marchait avec elle et la couvrait de baisers. __Non, chéri
Lorsque j'étais sortie, je m'étais perdue six fois dans cette grande maison et me retrouvais toujours sur place. J'avais mis les mains aux hanches en calculant dans ma tête, si je n' étais pas entrain de rêver. Comment se faisait t'il que je retrouvais toujours au même endroit. J'avais besoin de guide et lui seul pouvait me sortir de là._ On se sent perdu? M'avait t'il questionné placé juste derrière moi.J'avais sursaute brusquement et m'étais retourné pour le regarder. Il tenait sa fille dans ses bras. Lorsque nous étions arrivés chez lui, il était habillé en noir et le bébé en blanc. Cinq minutes seulement que j'étais partie, il était habillé déjà en blanc de la tête jusqu'au pied et le bébé également. Ce soudain changement de vêtements m'avait effrayé d'autant plus que j'avais parcouru plusieurs entrées en voyant presque tous les murs couverts de cette même couleur blanche. Que dire des dieux grecs suspendu ses les murs. Des dieux totalement nu ainsi que des déesses. Pourquoi a
Après que la petite fille se soit réveillée, le docteur nous avait parmi de l'amener à la maison. J'avais été conduis dans une berline noire escorté par six garde du corps. Nous étions arrivés chez lui après quatre heures de route. Le chauffeur a garé. L'un d'eux avait ouvert la portière de la voiture. J' étais descendu admirant les milliards entrée dans cet endroit. Partout brillaient que j'eus honte d'être partie habillée aussi simplement. Les roses arrosé par des guirlandes lumineuses et des statues antiques des dieux grecs ornaient cet endroit par leur beauté. Je m'étais retourné pour lui regarder. J'avais respiré lourdement lorsqu'il m'invita à le suivre. Escorté alors qu'il tenait sa fille dans sa main droite dans un berceau. Il m'avait regardé car j'avais hésité un moment de franchir la porte._Venez. Avait il dit en me prenant par le bras.Je me retournai. J'avais regardé ses gardes personnel qui s' étaient mise debout à leurs différents poste de travail. Puis dans le silenc
La petite se calma puis je voulus sortir. Il me demandais si je rentrais, j'avais répondu non. Je me dirigeai alors au café puis il vint me trouver avec une proposition."Mlle Catherine, j'ai pensé à changer votre poste actuel. Je n'aurais plus besoin de vous comme secrétaire. j'aurais besoin de vous comme la nourrice de ma fille."...J'étais entrain de me servir un café lorsqu'il m'approcha. Je ne lui donnai pas la première intention. Elle était uniquement centrée sur mon café.Il toussa pour attirer mon attention vers sa personne. Je lui avais regardé et souris brièvement. Il s'inclina près de la machine et me fit face. "Je voudrais vous parler." Avait il dit. "Oui, j'écoute." Avais-je répondu."Je..." Il avait fait une pause et avait ris. Puis il avait levé ses yeux vers le plafond.J'étais calme. Je ne savais de quoi il voulait parlé, j'étais juste debout à attendre qu'il parle.Quelques minutes après, il se ressaisit et me regarda en face maintenant. Il dit:"Mlle, je suis veu