La petite se calma puis je voulus sortir. Il me demandais si je rentrais, j'avais répondu non. Je me dirigeai alors au café puis il vint me trouver avec une proposition.
"Mlle Catherine, j'ai pensé à changer votre poste actuel. Je n'aurais plus besoin de vous comme secrétaire. j'aurais besoin de vous comme la nourrice de ma fille."
...
J'étais entrain de me servir un café lorsqu'il m'approcha. Je ne lui donnai pas la première intention. Elle était uniquement centrée sur mon café.
Il toussa pour attirer mon attention vers sa personne. Je lui avais regardé et souris brièvement. Il s'inclina près de la machine et me fit face.
"Je voudrais vous parler." Avait il dit.
"Oui, j'écoute." Avais-je répondu.
"Je..." Il avait fait une pause et avait ris. Puis il avait levé ses yeux vers le plafond.
J'étais calme. Je ne savais de quoi il voulait parlé, j'étais juste debout à attendre qu'il parle.
Quelques minutes après, il se ressaisit et me regarda en face maintenant. Il dit:
"Mlle, je suis veuf et j'ai besoin d'une personne pour prendre soin de mon enfant. Je..."
"Vous cherchez une bonne personne qui prendra soin de la petite?" Avais-je demandé naïve. "Mais je pourrais vous trouvez quelqu'un. J'ai des bonnes connaissances qui font dans le métier depuis des années, beaucoup de familles ont apprécié leur service."
Il m'avait sourit timidement. Il ne parlait plus mais regardai dans le vide.
"Monsieur, que dites vous dans ce cas. Dois-je appeler l'une de ces personnes?"
"Non." Avait il répondu sèchement et je sursaute légèrement par la puissance de ce mot qu'il avait prononcé.
"Ok..." Avais-je voulu commenté mais j'avais gardé silence et retourné à ma tasse de café.
"Mlle..."reprit il. " C'est n'est pas comme si j'apprécie pas votre proposition mais ma fille est mon trésor. Je ne peux me permettre de la mettre entre les mains des inconnus. "
J'avais mes yeux fixés sur lui. Qu'attend t'il par inconnu. Me connaissait il? Je me demandais.
"Ma fille est très importante pour moi. Je ne voudrais pas que quelqu'un s'occupe d'elle si je ne connais pas cette personne,vous comprenez."
"Et alors, avait vous quelqu'un en tête?" Avais-je demandé.
"Oui. Vous." Avait-il répondu fermement.
Mon cœur rate un battement. Comment voulait il que je devienne la nourrice de sa fille et en même temps, j'étais déjà sa secrétaire.
"Je suis votre secrétaire monsieur. Comment pourrai-je jouer deux rôles à la fois."
"Je n'aurais plus besoin de votre service de secrétariat, Mlle. Ma fille a besoin de vous plus que moi."
Je l'avais regardé pendant longtemps. Je ne comprenais pas pourquoi il me faisait cette proposition. J'avais voulu le savoir et il me répondit :
"Vous êtes là seule personne avec qui elle se sent en sécurité. J'ai pas trop le choix mais je dois vous accepter chez moi. Ma fille a perdu sa maman mais si vous pouvez combler ce vide dans son cœur alors je..."
"Désolé monsieur..." L'avais je interrompue. "Je ne pense pas que cette idée soit bonne...je veux dire, j'ai postulé en tant que Secrétaire pas nourrice. Je suis allée à l'école pour ça."
"Es-ce vraiment important?" Avait-il demandé.
"Pardon?"
"Quel est le salaire minimal d'un traducteur?" M'avait il questionné.
"Les traducteurs sont payés par le nombre de mots sur les pages qu'ils traduisent." Avais-je répondu.
"Je pourrais vous payer le double de ce que vous avez signé comme contrat dans mon entreprise. J' ajouterai un bonus si vous acceptez. Vous pourriez gagner des millions avec moi. Vous les gagnerez en travaillant pour moi comme la nourrice de ma fille."
Je l'avais regardé puis j'avais souris. J'avais besoin d'argent et là une belle opportunité s'ouvrait à moi. C'était vrai au début, je me demandais comment ma famille prendra la nouvelle.
"Je vais réfléchir." Avais-je répondu.
"Je prends ça comme un oui." Il avait dit avant de s'en aller.
Je passais la journée entière à l'hôpital et non au bureau. Le soir, je lui remit sa fille pour retourner à la maison.
"Je vous attendrai demain très tôt." Il avait dit après m'avoir accompagné jusqu'à la porte.
"D'accord." J'avais souris avant de m'en aller.
...
"Comment était ta deuxième journée au bureau." Ma mère m'avait questionné.
Heureusement, je m'apprêtais à leur parler de mon nouveau job. Je mis le sujet à table et mon père fut le premier à se réjouir. Ce qui ne m'étonnais pas tellement.
"Ma fille..." Avait il commencé en souriant. "Mais c'est une très bonne nouvelle. Si cet homme est riche et que tu t'occupes bien de sa fille, il pourra t'épouser un jour."
"Mais Papa..." Avais-je grogné. " Il ne s'agit pas d'un mariage mais d'un travail. Je vais travailler pour lui...pour sa fille."
"Les patrons n' épousent ils pas leurs domestiques?"
Cette phrase m'avait écœuré. Alors il me voyait déjà comme une domestique même si j'avais pas encore accepté le poste. J'avais le cœur en miettes.
"Catherine, ton père a raison. Si cet homme est un homme bien, il t'épousera car tu seras une femme importante dans sa vie et celle de son enfant. Tu n'es certes pas la mère de cet enfant, tu seras une femme importante dans leur vie." Avait completer ma mère.
"Va demain, accepte le poste pour la petite fille puis travail ta personnalité et tu verras, il tombera amoureux de toi." Elle avait ajouté.
J'étais calme. J'ai pensé à la possibilité de devenir indépendante puis à la joie de m'occuper d'un être humain qui avait besoin de moi. J'ai décidé d'accepter le poste.
"Alors ?" Me demanda ma mère.
"Je dois me reposer." Avais-je répondu.
"D'accord mais réfléchis à cette belle proposition. Elle te rendra riche et tu pourras nous rembourser les nombreuses années que nous avons sacrifié pour te rendre qui tu es aujourd'hui." Avait crié mon père alors que je regagnai ma chambre.
Je ne réponds pas à cette balle poignante. Je m'étais dirigé dans ma chambre et alla me brosser les dents avant de retourner me coucher.
*
*
Le lendemain matin très tôt, je me suis rendu à l'hôpital. J'ai trouvé l'enfant qui dormait. Son père était debout près d'elle. Il l'admirait dans son sommeil.
Lorsque j'entrai, il me dit:
"Je savais que vous alliez accepter ma proposition."
J'avais souris. Avais-je d'autres choix vraiment ? Si j'avais de l'argent, je quitterai la maison de mon père pour un appartement pas pour devenir nourrice de qui que ce soit.
"Je suis là." Avais-je dis; souriante. "Que faut il ensuite.?"
"Je dois vous conduire chez moi. Puis nous parlerons du reste." Avait il suggère.
"Je...ok"
"Bon, marché conclu ...Tu devrais simplement me dire combien d'argent veux-tu de moi pour ce service et je vous signerai la première partie de votre chèque."
J'avais besoin d'argent pour me louer un appartement et pourtant j'avais répondu:
"C'est pas très important pour le moment monsieur. Ce qu'il faut c'est que la petite soit à l'aise. Si elle se sent mieux avec moi, je serai heureuse."
Il m'avait regardé pendant longtemps mais n'avait fait aucun commentaire. Lorsque la petite se réveilla, ses premiers cris me poussèrent vers elle.
Je l'avais prise dans mes bras et c'est ainsi que je commençais mon nouveau job.
***
Après que la petite fille se soit réveillée, le docteur nous avait parmi de l'amener à la maison. J'avais été conduis dans une berline noire escorté par six garde du corps. Nous étions arrivés chez lui après quatre heures de route. Le chauffeur a garé. L'un d'eux avait ouvert la portière de la voiture. J' étais descendu admirant les milliards entrée dans cet endroit. Partout brillaient que j'eus honte d'être partie habillée aussi simplement. Les roses arrosé par des guirlandes lumineuses et des statues antiques des dieux grecs ornaient cet endroit par leur beauté. Je m'étais retourné pour lui regarder. J'avais respiré lourdement lorsqu'il m'invita à le suivre. Escorté alors qu'il tenait sa fille dans sa main droite dans un berceau. Il m'avait regardé car j'avais hésité un moment de franchir la porte._Venez. Avait il dit en me prenant par le bras.Je me retournai. J'avais regardé ses gardes personnel qui s' étaient mise debout à leurs différents poste de travail. Puis dans le silenc
Lorsque j'étais sortie, je m'étais perdue six fois dans cette grande maison et me retrouvais toujours sur place. J'avais mis les mains aux hanches en calculant dans ma tête, si je n' étais pas entrain de rêver. Comment se faisait t'il que je retrouvais toujours au même endroit. J'avais besoin de guide et lui seul pouvait me sortir de là._ On se sent perdu? M'avait t'il questionné placé juste derrière moi.J'avais sursaute brusquement et m'étais retourné pour le regarder. Il tenait sa fille dans ses bras. Lorsque nous étions arrivés chez lui, il était habillé en noir et le bébé en blanc. Cinq minutes seulement que j'étais partie, il était habillé déjà en blanc de la tête jusqu'au pied et le bébé également. Ce soudain changement de vêtements m'avait effrayé d'autant plus que j'avais parcouru plusieurs entrées en voyant presque tous les murs couverts de cette même couleur blanche. Que dire des dieux grecs suspendu ses les murs. Des dieux totalement nu ainsi que des déesses. Pourquoi a
Lorsque votre esprit n'est pas habitué à une certaine expérience de la vie, vous vous mettez à vous imaginez des choses dans votre cervelle. Issue de la basse classe, je n'avais jamais vu de telle maison aussi immense. Je m'étais mise à imaginer des trucs bizarres par rapport à l'homme milliardaire et sa fille. Autant plus que j'étais arrivée chez lui à un moment où il pleurait sa femme. Tout me semblait bizarre même les cris de sa fille.Mais parlant justement de ces cris, je ne pouvais l'ignorer. C'était comme si j'étais la manman de cet enfant. À chaque fois qu'elle pleurait, j'avais le cœur brisé. C'est ainsi qu'en courant ce jour là, je ne puis faire plus de pas. Je reviens en arrière et vit son père de dos.__ Mon amour calme toi d'accord ! Si maman est partie, papa sera là pour toi. Regarde moi mon amour, mon trésor. Je vais te trouver une nouvelle maman.J'étais émue de l'entendre bercer aussi gentiment sa fille. Il marchait avec elle et la couvrait de baisers. __Non, chéri
J'avais passé une mauvaise nuit car j'avais passé mon temps à penser aux propos de mes parents. Je m'étais réveillée alors avec une heure de retard. J'avais juste pris dix minutes pour me préparer. ___Bonjour Cathy. M'avait salué mon petit frère alors que je me précipitais vers la porte de sortie.___Cherie ton déjeuner est prêt.___Désolé maman, je suis vraiment en retard là. Je ne peux pas le prendre.___Continue comme-ça et tu seras facturé pour ces repas négliger.Mon père avait commenté. Je m'étais retournée et l'avais regardé. Il avait nerveusement arraché la tasse de lait que me tendait ma mère. Il l' avait bu et c'était nettoyé la bouche avant de porter ses lunettes de lecture. Il prit sur la table un vieux journal et l'ouvrir. Ce journal couvrit son visage.___Que nous dis les informations du jour? Il avait marmonner pour me blesser. J'avais ouvert la porte et m'en aller...Une heure après, j'étais arrivée à la résidence Bill. Tout était calme qu'on aurait dû mal à croire
Le lendemain matin quelq'un sonna à la porte. Je me réveillai et allai ouvrir. C'était lui et le bébé, elle pleurait.___Bonjour Mlle Catherine. Je ne voulais pas vous déranger, c'est la petite qui s'est réveillée. Je l'avais regardé tendrement alors qu'il berçait la petite. Il savait s'occuper de sa fille. il était très mignon en la tenant dans ses bras.Il portait un t-shirt blanc avec des manches moyennes. Ces biceps étaient explosés à ma vue. Il portait un patron noir simple et j'avoue qu'il était mignon. ___Tenez. Il m'avait tendu le gobelet rose du bébé avec une bouteille d'eau" surpermont." Sans que je ne l'invite à entrer, il l' entra et je fermai la porte après lui.___Tenez, j'ai remplis de l'eau. Elle doit avoir soiffe. Je lui tendis le gobelet.Il avait pris le gobelet d'eau et s'était mise à donner à boire à l'enfant mais elle refusait de se taire. Il me passa le gobelet et je couru le déposé sur la table. Je lui demandai de me passer le bébé, il la plaça dans mes bras
_Que j'enlève mes seins de mon soutien gorge pour nourrir la petite? Je l'avais questionnée étant debout. Oui, j'avais senti le besoin de me ternir debout pour lui faire face. Qu'est-ce-qu'il me demandait de faire ? Il m'avait regardé dans les yeux pendant un moment. Il avait marché jusqu'à moi et pour la première fois, il déposa ses mains en dessous des miennes qui tenaient le bébé. Me fixant dans les yeux, il dit: _J'insiste que vous le fassiez Mlle Bintcha, c'est pour le bien de l'enfant. Je n'avais jamais nourri un bébé de mes seins, je ne savais pas par quoi commencer. J'avais honte d'y commencer maintenant... La petite hurlait comme si elle allait s'étouffer à la minute suivante. _Mlle, je vous prie de prendre conscience des pleures de ma fille. Elle a besoin de vous. J'avais regardé cet homme pendant un moment puis la petite fille qui pleurait dans mes bras. Je m'étais décidé de faire comme il me l'avait demandé. Je m'assis sur le canapé et tient le bébé comme j'
Cet homme m'avait regardé dans le silence. J'avais l'impression qu'il allait crier ou hurler. Il avait fait le contraire._J'ai vu, je vous comprends mais vous allez faire un effort. c'est juste une étape de la vie, vous pouvez le faire pour calmer la petite. Avait il dit. Il m'avait approché. Il n'avait pas pris le bébé mais il m'avait conduit dans le canapé._Laissez moi vous apprendre comment cela se passe. Vous allez croiser vos jambes et pense que ça ira mieux.Je l'avais regardé me parler aussi raisonnablement. Il ne voulait pas me frustrer ni me harceler de nourrir sa fille. Il voulait que je le fasse pour calmer la faim de la petite. Assit près de moi, il avait dit. _Croisez une jambe. J'avais obéi._Sortez votre sein. J'avais obéi. _Mettez votre sein à présent dans la bouche de la petite. J'avais fait comme il m'avait demandé. Et lorsque l'enfant vit mon sein, elle l'avait attrapé une fois comme si elle n'attendait que ça. _ Hum!! J'avais sursauter mais pas co
Je me réveillai une heure après la pluie. Tout était devenue claire par le début de soleil qui se levait à l'horizon.Comme il me l'avait dit, les camionnettes sont arrivées chez lui. La dame costaude de l'autre jour à l'hôpital est arrivée avec ce qu'il fallait à la maison. Je me demandais qui elle était pour lui.J'étais assise et je les observait par la fenêtre en caressant les bouts de mes seins. Il démangeait et voulait certainement être plongé de nouveau dans la bouche de la petite. Enfaite j'avais l'impression.*Ceux qui étaient venus accompagné de la dame firent entrer les provisions à l'intérieur. J'arrêtais de toucher à mes seins lorsqu'il regarda vers mon appartement.Je pliai mes sourcils et gardai mes yeux dans les siens. Il avait les mains dans les poche de son pantalon noir. Il était très beau avec un physique de rêve. Je lui avais regardé et je m'étais imaginé que je sois sa petite amie. L'ont aurait formé un très beau.Je secouai la tête lorsque après avoir passé un
Je me réveillai une heure après la pluie. Tout était devenue claire par le début de soleil qui se levait à l'horizon.Comme il me l'avait dit, les camionnettes sont arrivées chez lui. La dame costaude de l'autre jour à l'hôpital est arrivée avec ce qu'il fallait à la maison. Je me demandais qui elle était pour lui.J'étais assise et je les observait par la fenêtre en caressant les bouts de mes seins. Il démangeait et voulait certainement être plongé de nouveau dans la bouche de la petite. Enfaite j'avais l'impression.*Ceux qui étaient venus accompagné de la dame firent entrer les provisions à l'intérieur. J'arrêtais de toucher à mes seins lorsqu'il regarda vers mon appartement.Je pliai mes sourcils et gardai mes yeux dans les siens. Il avait les mains dans les poche de son pantalon noir. Il était très beau avec un physique de rêve. Je lui avais regardé et je m'étais imaginé que je sois sa petite amie. L'ont aurait formé un très beau.Je secouai la tête lorsque après avoir passé un
Cet homme m'avait regardé dans le silence. J'avais l'impression qu'il allait crier ou hurler. Il avait fait le contraire._J'ai vu, je vous comprends mais vous allez faire un effort. c'est juste une étape de la vie, vous pouvez le faire pour calmer la petite. Avait il dit. Il m'avait approché. Il n'avait pas pris le bébé mais il m'avait conduit dans le canapé._Laissez moi vous apprendre comment cela se passe. Vous allez croiser vos jambes et pense que ça ira mieux.Je l'avais regardé me parler aussi raisonnablement. Il ne voulait pas me frustrer ni me harceler de nourrir sa fille. Il voulait que je le fasse pour calmer la faim de la petite. Assit près de moi, il avait dit. _Croisez une jambe. J'avais obéi._Sortez votre sein. J'avais obéi. _Mettez votre sein à présent dans la bouche de la petite. J'avais fait comme il m'avait demandé. Et lorsque l'enfant vit mon sein, elle l'avait attrapé une fois comme si elle n'attendait que ça. _ Hum!! J'avais sursauter mais pas co
_Que j'enlève mes seins de mon soutien gorge pour nourrir la petite? Je l'avais questionnée étant debout. Oui, j'avais senti le besoin de me ternir debout pour lui faire face. Qu'est-ce-qu'il me demandait de faire ? Il m'avait regardé dans les yeux pendant un moment. Il avait marché jusqu'à moi et pour la première fois, il déposa ses mains en dessous des miennes qui tenaient le bébé. Me fixant dans les yeux, il dit: _J'insiste que vous le fassiez Mlle Bintcha, c'est pour le bien de l'enfant. Je n'avais jamais nourri un bébé de mes seins, je ne savais pas par quoi commencer. J'avais honte d'y commencer maintenant... La petite hurlait comme si elle allait s'étouffer à la minute suivante. _Mlle, je vous prie de prendre conscience des pleures de ma fille. Elle a besoin de vous. J'avais regardé cet homme pendant un moment puis la petite fille qui pleurait dans mes bras. Je m'étais décidé de faire comme il me l'avait demandé. Je m'assis sur le canapé et tient le bébé comme j'
Le lendemain matin quelq'un sonna à la porte. Je me réveillai et allai ouvrir. C'était lui et le bébé, elle pleurait.___Bonjour Mlle Catherine. Je ne voulais pas vous déranger, c'est la petite qui s'est réveillée. Je l'avais regardé tendrement alors qu'il berçait la petite. Il savait s'occuper de sa fille. il était très mignon en la tenant dans ses bras.Il portait un t-shirt blanc avec des manches moyennes. Ces biceps étaient explosés à ma vue. Il portait un patron noir simple et j'avoue qu'il était mignon. ___Tenez. Il m'avait tendu le gobelet rose du bébé avec une bouteille d'eau" surpermont." Sans que je ne l'invite à entrer, il l' entra et je fermai la porte après lui.___Tenez, j'ai remplis de l'eau. Elle doit avoir soiffe. Je lui tendis le gobelet.Il avait pris le gobelet d'eau et s'était mise à donner à boire à l'enfant mais elle refusait de se taire. Il me passa le gobelet et je couru le déposé sur la table. Je lui demandai de me passer le bébé, il la plaça dans mes bras
J'avais passé une mauvaise nuit car j'avais passé mon temps à penser aux propos de mes parents. Je m'étais réveillée alors avec une heure de retard. J'avais juste pris dix minutes pour me préparer. ___Bonjour Cathy. M'avait salué mon petit frère alors que je me précipitais vers la porte de sortie.___Cherie ton déjeuner est prêt.___Désolé maman, je suis vraiment en retard là. Je ne peux pas le prendre.___Continue comme-ça et tu seras facturé pour ces repas négliger.Mon père avait commenté. Je m'étais retournée et l'avais regardé. Il avait nerveusement arraché la tasse de lait que me tendait ma mère. Il l' avait bu et c'était nettoyé la bouche avant de porter ses lunettes de lecture. Il prit sur la table un vieux journal et l'ouvrir. Ce journal couvrit son visage.___Que nous dis les informations du jour? Il avait marmonner pour me blesser. J'avais ouvert la porte et m'en aller...Une heure après, j'étais arrivée à la résidence Bill. Tout était calme qu'on aurait dû mal à croire
Lorsque votre esprit n'est pas habitué à une certaine expérience de la vie, vous vous mettez à vous imaginez des choses dans votre cervelle. Issue de la basse classe, je n'avais jamais vu de telle maison aussi immense. Je m'étais mise à imaginer des trucs bizarres par rapport à l'homme milliardaire et sa fille. Autant plus que j'étais arrivée chez lui à un moment où il pleurait sa femme. Tout me semblait bizarre même les cris de sa fille.Mais parlant justement de ces cris, je ne pouvais l'ignorer. C'était comme si j'étais la manman de cet enfant. À chaque fois qu'elle pleurait, j'avais le cœur brisé. C'est ainsi qu'en courant ce jour là, je ne puis faire plus de pas. Je reviens en arrière et vit son père de dos.__ Mon amour calme toi d'accord ! Si maman est partie, papa sera là pour toi. Regarde moi mon amour, mon trésor. Je vais te trouver une nouvelle maman.J'étais émue de l'entendre bercer aussi gentiment sa fille. Il marchait avec elle et la couvrait de baisers. __Non, chéri
Lorsque j'étais sortie, je m'étais perdue six fois dans cette grande maison et me retrouvais toujours sur place. J'avais mis les mains aux hanches en calculant dans ma tête, si je n' étais pas entrain de rêver. Comment se faisait t'il que je retrouvais toujours au même endroit. J'avais besoin de guide et lui seul pouvait me sortir de là._ On se sent perdu? M'avait t'il questionné placé juste derrière moi.J'avais sursaute brusquement et m'étais retourné pour le regarder. Il tenait sa fille dans ses bras. Lorsque nous étions arrivés chez lui, il était habillé en noir et le bébé en blanc. Cinq minutes seulement que j'étais partie, il était habillé déjà en blanc de la tête jusqu'au pied et le bébé également. Ce soudain changement de vêtements m'avait effrayé d'autant plus que j'avais parcouru plusieurs entrées en voyant presque tous les murs couverts de cette même couleur blanche. Que dire des dieux grecs suspendu ses les murs. Des dieux totalement nu ainsi que des déesses. Pourquoi a
Après que la petite fille se soit réveillée, le docteur nous avait parmi de l'amener à la maison. J'avais été conduis dans une berline noire escorté par six garde du corps. Nous étions arrivés chez lui après quatre heures de route. Le chauffeur a garé. L'un d'eux avait ouvert la portière de la voiture. J' étais descendu admirant les milliards entrée dans cet endroit. Partout brillaient que j'eus honte d'être partie habillée aussi simplement. Les roses arrosé par des guirlandes lumineuses et des statues antiques des dieux grecs ornaient cet endroit par leur beauté. Je m'étais retourné pour lui regarder. J'avais respiré lourdement lorsqu'il m'invita à le suivre. Escorté alors qu'il tenait sa fille dans sa main droite dans un berceau. Il m'avait regardé car j'avais hésité un moment de franchir la porte._Venez. Avait il dit en me prenant par le bras.Je me retournai. J'avais regardé ses gardes personnel qui s' étaient mise debout à leurs différents poste de travail. Puis dans le silenc
La petite se calma puis je voulus sortir. Il me demandais si je rentrais, j'avais répondu non. Je me dirigeai alors au café puis il vint me trouver avec une proposition."Mlle Catherine, j'ai pensé à changer votre poste actuel. Je n'aurais plus besoin de vous comme secrétaire. j'aurais besoin de vous comme la nourrice de ma fille."...J'étais entrain de me servir un café lorsqu'il m'approcha. Je ne lui donnai pas la première intention. Elle était uniquement centrée sur mon café.Il toussa pour attirer mon attention vers sa personne. Je lui avais regardé et souris brièvement. Il s'inclina près de la machine et me fit face. "Je voudrais vous parler." Avait il dit. "Oui, j'écoute." Avais-je répondu."Je..." Il avait fait une pause et avait ris. Puis il avait levé ses yeux vers le plafond.J'étais calme. Je ne savais de quoi il voulait parlé, j'étais juste debout à attendre qu'il parle.Quelques minutes après, il se ressaisit et me regarda en face maintenant. Il dit:"Mlle, je suis veu