Cristal
Sa voix est rauque, presque un grondement contre ma nuque. Je sens son souffle chaud caresser ma peau, ses mots glissent dans le creux de mon oreille comme une lame affûtée.
— J’espère qu’une "bonne copine" ne te fait pas ce genre de frissons dans le dos, souffle-t-il.
Je retiens mon souffle. Il est trop proche. Beaucoup trop. Mon dos est écrasé contre sa poitrine, et chaque respiration me fait sentir la dureté de son torse. Je ferme brièvement les yeux.
— Je ne vois pas de quoi vous parlez.
— Bon Dieu, tu me fais chier avec tes vouvoyements. Tu peux arrêter ça ? Ou tu penses que j’suis trop vieux pour que tu me tutoies ? T’as peur de froisser un vieillard ?
— Je le fais juste par respect… pour vous, monsieur. Dites-moi, vous avez quel âge ? Si ce n’est pas indiscret.
Il s’immobilise brusquement. Ses mains qui, jusqu’à présent, caressaient le bas de mon dos, cessent tout mouvement. Un silence pesant s’installe avant qu’il me retourne d’un geste sec. Je me retrouve collée à lui, ma joue contre son torse dur comme de la pierre. Il m’embrasse. Brutalement. Un baiser qui n’en est pas un. Une prise d’otage. Sa bouche dévore la mienne, sans aucune tendresse. Il grogne, un son guttural, étouffé par le contact de nos lèvres.
— Que ce soit la dernière fois que tu joues à ce petit jeu avec moi. Je n’ai pas assez de patience pour les petites dévergondées dans ton genre. Je me demande avec combien d’hommes tu as déjà couché.
Ses mots me giflent en pleine face.
— J’ai horreur des manipulatrices. Et toi, tu ne fais pas exception.
La colère me submerge. Il ne me connaît pas. Il juge sans savoir. L’apparence trompeuse, c’est toujours la même excuse pour les hommes comme lui, persuadés d’être au sommet de tout.
Je lève la main, prête à le gifler, mais il m’attrape le poignet en plein vol. Il me retourne, me tordant les bras dans le dos avec une force brutale.
— Sale voleuse. Qui crois-tu être pour poser tes sales mains sur moi ? Hein ?
Il me plaque contre lui, mes seins écrasés contre sa poitrine. Malgré la peur, malgré l’humiliation, je sens mes pointes durcies, trahissant mon corps. D’une main, il maintient mes bras, de l’autre, il saisit mon sein, pince mon téton avec une violence qui me fait grimacer.
— Tu as dû oublier qui je suis, murmure-t-il à mon oreille. Je vais rafraîchir ta mémoire. Tu vas m’accompagner quelque part. Rhabille-toi. Vite. Je t’attends devant la porte.
Il me pousse violemment sur le lit et quitte la pièce. Je reste figée quelques secondes, le cœur battant, les larmes aux bords des yeux. J’ai honte. Honte de cette sensation d’impuissance, honte de mon propre corps qui réagit encore à lui malgré la douleur.
Espèce de monstre. Je te hais de plus en plus. Mais je suis patiente. J’aurai ma revanche.
Je me rhabille en silence, ravalant ma fierté, puis je le rejoins. Il est là, debout, impassible. Grand, imposant. Il doit faire un bon mètre quatre-vingt-quinze. Cheveux blonds, sans doute teints, yeux verts, regard perçant. Une beauté froide, dangereuse. Chaque muscle de son corps semble taillé dans la pierre.
À côté de lui, moi et mon mètre soixante-cinq, je fais presque enfantine. Mais je le sais, je suis belle. Ma poitrine attire les regards, mes courbes aussi. Et cet homme, aussi attirant soit-il, est un fou. Un psychopathe maquillé d’élégance.
— Suis-moi, dit-il.
Je le suis. En silence.
Nous empruntons un long couloir, presque interminable. Les murs deviennent de plus en plus froids. Nous arrivons à un ascenseur qui descend, encore et encore, jusqu’à ce que l’air lui-même devienne lourd, saturé d’un malaise poisseux.
L’ascenseur s’ouvre sur un couloir plongé dans la pénombre. Une odeur infecte me prend à la gorge — un mélange de moisissure, de sang séché et de chair brûlée. Je retiens un haut-le-cœur.
Des cellules. Vides, sombres, froides.
Nous arrivons devant l’une d’elles. À l’intérieur, un homme est ligoté à une chaise, nu, couvert de plaies et de sang. Il pue la mort. Son visage est méconnaissable, tuméfié, ses dents brisées, son regard vide… et pourtant, il sourit. Un sourire désespéré, grotesque.
— Alors, mon cher ami, tu as passé une bonne nuit ? demande mon tortionnaire d’une voix presque enjouée.
Des soldats se tiennent là, droits comme des piquets. Il n’a même pas besoin de parler : ils obéissent au moindre de ses gestes.
— Qu’est-ce qu’il vous a fait ? osé-je murmurer.
— Je t’ai dit d’arrêter de me vouvoyer.
— Il a fait quoi pour mériter ça ?
— Il a voulu me trahir. N’est-ce pas, vaurien ?
L’homme ne répond pas. Il gémit à peine.
— Avez-vous fait ce que je vous ai demandé ? lance-t-il aux gardes.
— Oui, monsieur.
Ils apportent un vieux fourneau en métal, dans lequel brûle un feu intense. Plusieurs barres de fer y sont insérées, chauffées jusqu’à devenir incandescentes.
Je recule d’un pas, le cœur au bord de l’explosion.
Il saisit l’un des fers à l’aide de gants. Lentement, sans émotion, il le plante dans le bras de l’homme. Celui-ci hurle, un cri qui me glace le sang. Je ferme les yeux. Mes mains tremblent.
Mais ce n’est que le début.
Un autre fer. Cette fois dans les orteils. L’homme se tord, hurle, supplie. Puis s’évanouit.
— Réveillez-le, ordonne-t-il.
Un seau d’eau glacée. L’homme reprend conscience dans un cri de terreur pure.
— T’es allé en enfer voir si j’y étais ? Mauvaise pioche. J’suis encore là, mon pote.
Il rit. Je recule, me cache contre le mur, recroquevillée.
— Sale voleuse, où es-tu ? Viens ici !
— Non, je suis bien ici. Je vois très bien d’ici, mer
ci.
Mais je sais qu’il ne plaisante pas. Et moi, je suis coincée dans ce cauchemar vivant.
Cristal - Sale voleuse où es-tu ? Viens ici ! - Non , je suis bien ici, je vois très bien d'ici . - Ce n'était pas une proposition , c'est un ordre , viens ici ! Je m'approche doucement de lui, il me rapproche de lui en me prenant par la taille . - Veux-tu m'aider un peu ? - Heu...non sans façon .L'odeur de la chaire brûlée est partout dans la cellule , j'ai la nausée à être aussi proche de l'homme j'ai du mal à le regarder . - Regarde le ! - Non.- Ouvre les yeux immédiatement . J'ouvre les yeux qui se posent directement sur les blessures de l'homme . Mon ventre ne tient plus , je vomi tout ce qui se trouve dans mon ventre , même si, je ne me rappelle plus la dernière fois que j'ai mangé .Il me regarde d'un œil comique .- Si tu as fini de gerber , reviens ici.- Non , je ne peux pas , s'il te plaît , pas ça ! - Tu es vite passé au tutoiement, dit donc . Maintenant approche ! j'essuie ma bouche avec ma manche .Puis je me rapproche d'eux , que vais-je devenir ? Il est sa
Prince des ténèbresJe sors avec le bout de papier qu'elle m'a donné . Je me dirige vers mon bureau , j'ai des appels à passer . J'appelle mon bras droit ( Drew ) pour qu'il puisse rester avec la sale voleuse pendant mon absence ,- Ne te fi pas à son air délicate , elle est très sournoise .- Ne peux-tu pas prendre quelques autres ? Je ne suis pas fais pour du babysitting . - Je le sais bien , mais, si je prends quelqu'un d'autre elle est capable de l'embobiner . Je sais qu'avec toi, elle auras moins de mal à faire la conversation . - Très bien mais dépêche toi, de lui attribuer quelqu'un d'autre , surtout si tu as l'intention de la garder pendant longtemps .- Très bien , commence déjà à lui chercher, la personne la plus adéquate .Qui résistera à son charme . Si Vous mettez la main sur sa sœur , envoyé la moi où vous savez , j'aurais besoin d'éclaircir quelques affaires personnelles . Je repars lui donner les dernières consignes .Je me rends dans sa chambre et la retrouve les y
PrinceJe traverse la cour sans un mot, sans un regard pour quiconque. J’ai besoin de silence. De solitude. De clarté.Chaque bruit, chaque présence, me pèse aujourd’hui. Comme une chemise trop serrée autour de la gorge.Je monte les marches rapidement, pousse la porte de ma chambre, et la referme à double tour. Qu’ils crèvent tous dehors, j’ai besoin de respirer sans qu’on m’observe.Je me débarrasse de mes vêtements comme s’ils me brûlaient la peau. Ces boubous amples et traînants m’étouffent.Je préfère de loin être nu, ou simplement vêtu d’un pantalon léger.Je m’installe dans mon fauteuil en cuir, celui près de la fenêtre, là où la lumière du jour vient mourir sans bruit.Je prends mon téléphone. Il est temps de faire des appels. D’obtenir des réponses.Il y a trop de choses qui m’échappent en ce moment. Et ça, je déteste.---PerleJe sors enfin du métro, et mes pieds sont en feu. Je sens chaque os, chaque nerf, comme si mon corps m’envoyait une alarme rouge clignotante : Repos
CristalTu me supplieras de rester avec toi, et je te dirai non. Non, mon prince, tu n'es pas assez bien pour moi !Je me promène dans ce manoir comme si j'étais la reine des lieux. De couloir en couloir, j’ouvre chaque porte avec un mélange d’excitation et de curiosité. C’est devenu mon nouveau passe-temps : explorer. Je veux découvrir tous les secrets de cette immense bâtisse. Et ce que je découvre dépasse mes attentes. Il y a des chambres bien plus grandes, bien plus luxueuses que celle qu'on m’a attribuée. Certaines avec des cheminées en marbre, d'autres avec des canapés de velours et des lits à baldaquin. De vrais bijoux !J’hésite principalement entre deux. Une avec vue sur le jardin, et une autre avec une salle de bain digne d’un hôtel cinq étoiles. D’ici la fin de la journée, foi de Cristal, j’aurai ma nouvelle chambre. Et pas une avec des rideaux déprimants.En descendant les escaliers, mon pied rate une marche, et boum. Je percute ce que je crois être un mur. Un mur... vivan
Point de vue : Prince SamirJe finis par sortir de ma chambre, le pas lent mais assuré. C’est l’heure du dîner, et tout le monde le sait : personne n’a le droit d’y manquer. Pas si ma mère veille. Elle a l’œil acéré et une langue affûtée comme une lame. Il vaut mieux éviter son courroux. Même moi, son fils adoré, je n’y échappe pas.Mes concubines, quant à elles, n’assistent jamais aux repas royaux. Elles ont leur propre espace, un coin du palais pensé spécialement pour elles. Chacune possède une petite maison, équipée d’une chambre luxueuse, d’une salle de bain en marbre, d’un salon richement décoré et d’une terrasse ensoleillée. C’est le harem. Un monde à part, doré, silencieux, sans âme véritable.Elles peuvent se retrouver toutes dans une grande cour centrale, pour bavarder, rire ou échanger sur moi, j’imagine. Certaines d’entre elles, je ne connais même pas leur prénom. Elles sont arrivées vierges, comme le veut la tradition. Offertes en cadeau diplomatique ou venues de leur plei
Prince Samir Une fois nue je lui demande : - Approche Elle s'approche de moi timidement .je l'ai fait couché sur le lit alors que sa tête se pose sur mon genou , mes mains caressent ses cheveux , je sens son cœur battre plus rapidement , elle est nerveuse , j'aime bien cette période avant l'acte , où l'attente pour moi est un délicealors que pour elle c'est une pression énorme , elle sont un peu inquiètes et elle se demande si tout va bien se passer , Si elles n'auront pas mal , si je serai doux ou encore si elles seront traumatisées àvie . Je suis un professionnel dans le dévergondage des jeunes filles en jeunesfemmes . Je tourne sa tête vers moi , son regard s'accroche au mien , mais elle baisse immédiatement les yeux . Je ricane intérieurement , elle est vraiment timide , ma main descend pour toucher sa poitrine bien dressée avec les pointes bien roses qui appellent mes lèvres . Je me penche pour poser mes lèvres sur ses tétons , elle émet un petit bruit dans sa gorge . J'
CristalJe suis détenue dans une grange, qui sent le sang séché, je n'ai pas peur carj'ai toujours un tour dans ma manche. Je ne sais pas qui m'a kidnappé, mais avec toutes ces personnes que j'ai volé , le rang est Long .Je suis attachée, et mes geôliers viennent d'entrer, quand je vois l'homme en face de moin, il faut reconnaître que je pris peur : c'est un homme cruel, inhumain, qui tue pour un oui ou un non.Je dois bien gérer sinon je risque de mourir ici aujourd'hui, car cet homme n'a rien d'humain . - Tu voilà, petite voleuse ! Tu m'as faitfouiller dans tous les Etats Unis sans te trouver, il fallait que je vienne en Grèce pour te retrouver ma belle ! Il se rapproche de moi et je commence à couler des sueurs froides . - Où est mon argent ? salope ? - Je...je vais vous rembourser, je le jure....Il me donne une belle gifle qui me fait tomber avec ma chaise par terre .- Stop , Ferme-la , tu passes ton temps à mentir, je veux mon argent et je le veux maintenant ! Il se tou
Cristal - Prince des ténèbres, vous savez que je ne me tiens jamais tranquille, si vous me vendez vous risquez de faire une mauvaise affaire, car je suis sur que mon nouveau propriétaire va vous appeler quelques jours plus tard pour réclamer son argent, vous savez que j'attire les problèmes comme le miel attire les Ours.Je le vois qui prend quelques minutes pour réfléchir à mes propos . - Tu te crois maligne, Mademoiselle la voleuse, hé bien, tu vas quand même rester avec moi, jusqu'à la récupérer attention totale de mon argent . Pendant ce temps, tu recevras un traitement à la hauteur de ton acte . Il se tourne vers ses soldats, pour leur demander :- Embarquez-la dans le Jet et faîtes très attention à elle, elle est aussi sournoisequ'une hyène . Elle est très dangereusesi par votre faute , elle s'échappe, vous n'aurez pas assez de minutes pour la raconter . Nous partons .Ouf, je l'ai échappé belle cette fois ci, la mort n'est pas pour moi aujourd'hui.Je rigole intérieurement
Prince Samir Une fois nue je lui demande : - Approche Elle s'approche de moi timidement .je l'ai fait couché sur le lit alors que sa tête se pose sur mon genou , mes mains caressent ses cheveux , je sens son cœur battre plus rapidement , elle est nerveuse , j'aime bien cette période avant l'acte , où l'attente pour moi est un délicealors que pour elle c'est une pression énorme , elle sont un peu inquiètes et elle se demande si tout va bien se passer , Si elles n'auront pas mal , si je serai doux ou encore si elles seront traumatisées àvie . Je suis un professionnel dans le dévergondage des jeunes filles en jeunesfemmes . Je tourne sa tête vers moi , son regard s'accroche au mien , mais elle baisse immédiatement les yeux . Je ricane intérieurement , elle est vraiment timide , ma main descend pour toucher sa poitrine bien dressée avec les pointes bien roses qui appellent mes lèvres . Je me penche pour poser mes lèvres sur ses tétons , elle émet un petit bruit dans sa gorge . J'
Point de vue : Prince SamirJe finis par sortir de ma chambre, le pas lent mais assuré. C’est l’heure du dîner, et tout le monde le sait : personne n’a le droit d’y manquer. Pas si ma mère veille. Elle a l’œil acéré et une langue affûtée comme une lame. Il vaut mieux éviter son courroux. Même moi, son fils adoré, je n’y échappe pas.Mes concubines, quant à elles, n’assistent jamais aux repas royaux. Elles ont leur propre espace, un coin du palais pensé spécialement pour elles. Chacune possède une petite maison, équipée d’une chambre luxueuse, d’une salle de bain en marbre, d’un salon richement décoré et d’une terrasse ensoleillée. C’est le harem. Un monde à part, doré, silencieux, sans âme véritable.Elles peuvent se retrouver toutes dans une grande cour centrale, pour bavarder, rire ou échanger sur moi, j’imagine. Certaines d’entre elles, je ne connais même pas leur prénom. Elles sont arrivées vierges, comme le veut la tradition. Offertes en cadeau diplomatique ou venues de leur plei
CristalTu me supplieras de rester avec toi, et je te dirai non. Non, mon prince, tu n'es pas assez bien pour moi !Je me promène dans ce manoir comme si j'étais la reine des lieux. De couloir en couloir, j’ouvre chaque porte avec un mélange d’excitation et de curiosité. C’est devenu mon nouveau passe-temps : explorer. Je veux découvrir tous les secrets de cette immense bâtisse. Et ce que je découvre dépasse mes attentes. Il y a des chambres bien plus grandes, bien plus luxueuses que celle qu'on m’a attribuée. Certaines avec des cheminées en marbre, d'autres avec des canapés de velours et des lits à baldaquin. De vrais bijoux !J’hésite principalement entre deux. Une avec vue sur le jardin, et une autre avec une salle de bain digne d’un hôtel cinq étoiles. D’ici la fin de la journée, foi de Cristal, j’aurai ma nouvelle chambre. Et pas une avec des rideaux déprimants.En descendant les escaliers, mon pied rate une marche, et boum. Je percute ce que je crois être un mur. Un mur... vivan
PrinceJe traverse la cour sans un mot, sans un regard pour quiconque. J’ai besoin de silence. De solitude. De clarté.Chaque bruit, chaque présence, me pèse aujourd’hui. Comme une chemise trop serrée autour de la gorge.Je monte les marches rapidement, pousse la porte de ma chambre, et la referme à double tour. Qu’ils crèvent tous dehors, j’ai besoin de respirer sans qu’on m’observe.Je me débarrasse de mes vêtements comme s’ils me brûlaient la peau. Ces boubous amples et traînants m’étouffent.Je préfère de loin être nu, ou simplement vêtu d’un pantalon léger.Je m’installe dans mon fauteuil en cuir, celui près de la fenêtre, là où la lumière du jour vient mourir sans bruit.Je prends mon téléphone. Il est temps de faire des appels. D’obtenir des réponses.Il y a trop de choses qui m’échappent en ce moment. Et ça, je déteste.---PerleJe sors enfin du métro, et mes pieds sont en feu. Je sens chaque os, chaque nerf, comme si mon corps m’envoyait une alarme rouge clignotante : Repos
Prince des ténèbresJe sors avec le bout de papier qu'elle m'a donné . Je me dirige vers mon bureau , j'ai des appels à passer . J'appelle mon bras droit ( Drew ) pour qu'il puisse rester avec la sale voleuse pendant mon absence ,- Ne te fi pas à son air délicate , elle est très sournoise .- Ne peux-tu pas prendre quelques autres ? Je ne suis pas fais pour du babysitting . - Je le sais bien , mais, si je prends quelqu'un d'autre elle est capable de l'embobiner . Je sais qu'avec toi, elle auras moins de mal à faire la conversation . - Très bien mais dépêche toi, de lui attribuer quelqu'un d'autre , surtout si tu as l'intention de la garder pendant longtemps .- Très bien , commence déjà à lui chercher, la personne la plus adéquate .Qui résistera à son charme . Si Vous mettez la main sur sa sœur , envoyé la moi où vous savez , j'aurais besoin d'éclaircir quelques affaires personnelles . Je repars lui donner les dernières consignes .Je me rends dans sa chambre et la retrouve les y
Cristal - Sale voleuse où es-tu ? Viens ici ! - Non , je suis bien ici, je vois très bien d'ici . - Ce n'était pas une proposition , c'est un ordre , viens ici ! Je m'approche doucement de lui, il me rapproche de lui en me prenant par la taille . - Veux-tu m'aider un peu ? - Heu...non sans façon .L'odeur de la chaire brûlée est partout dans la cellule , j'ai la nausée à être aussi proche de l'homme j'ai du mal à le regarder . - Regarde le ! - Non.- Ouvre les yeux immédiatement . J'ouvre les yeux qui se posent directement sur les blessures de l'homme . Mon ventre ne tient plus , je vomi tout ce qui se trouve dans mon ventre , même si, je ne me rappelle plus la dernière fois que j'ai mangé .Il me regarde d'un œil comique .- Si tu as fini de gerber , reviens ici.- Non , je ne peux pas , s'il te plaît , pas ça ! - Tu es vite passé au tutoiement, dit donc . Maintenant approche ! j'essuie ma bouche avec ma manche .Puis je me rapproche d'eux , que vais-je devenir ? Il est sa
CristalSa voix est rauque, presque un grondement contre ma nuque. Je sens son souffle chaud caresser ma peau, ses mots glissent dans le creux de mon oreille comme une lame affûtée.— J’espère qu’une "bonne copine" ne te fait pas ce genre de frissons dans le dos, souffle-t-il.Je retiens mon souffle. Il est trop proche. Beaucoup trop. Mon dos est écrasé contre sa poitrine, et chaque respiration me fait sentir la dureté de son torse. Je ferme brièvement les yeux.— Je ne vois pas de quoi vous parlez.— Bon Dieu, tu me fais chier avec tes vouvoyements. Tu peux arrêter ça ? Ou tu penses que j’suis trop vieux pour que tu me tutoies ? T’as peur de froisser un vieillard ?— Je le fais juste par respect… pour vous, monsieur. Dites-moi, vous avez quel âge ? Si ce n’est pas indiscret.Il s’immobilise brusquement. Ses mains qui, jusqu’à présent, caressaient le bas de mon dos, cessent tout mouvement. Un silence pesant s’installe avant qu’il me retourne d’un geste sec. Je me retrouve collée à lui
CristalJe commence à me réveiller, j'ai très mal à la mâchoire, je tends mon bras pour me toucher, mais je reste bloquée dansmon mouvement, je regarde ce qui m'empêche de bouger, et ce que je vois me mets dans une rage folle ! Il n'a pas osé ? Non ? Il m'a menotté au lit ! Mais il est malade ce mec ! comment peut-on enchaîner une femme comme ça au lit, comme si j'étais une criminelle de haut niveau ! Ce ténébreux est vraiment un vrai taré !Et je remarque que je suis nue ! Le salaud, l'indécent , le pecno ! Il ne perd rien pour attendre .Je regarde autour de moi pour mieux comprendre mon entourage et détecter d'éventuelles opportunités de pouvoir m'enfuir d'ici ! La chambre est belle, pas très grande , mais assez confortable .J'observe toujours autour de moi , je remarque de petites caméras cachées .Pour quelqu'un d'autre, ça aurait pu passer inaperçu, mais pour moi qui ai comme métier voleuse , je fais attention à tous ces détails . Car c'est très important de faire toujours
Prince des ténèbres Nous repartons aux Etats Unis pour récupérer la sœur puis nous rentrons au Bercail .J'ai demandé à mes informaticiens de faire des recherches sur elle et savoir si ce que cette menteuse pathologique dit est vrai. Car à ce que j'ai pu savoir , cette fille en plus d'être une grande voleuse est une menteuse pathologique . Elle a à son actif plusieurs vols de haute qualité , cette fille est une mythomane . Il ne faut jamais croire à tout ce qui sort de sa bouche . Je me plonge dans mes activités futures sur mon ordinateur, car tout doit être planifier avec la plus grande minutie .Je ne fais jamais aucune erreur dans mes activités , tout doit toujours séparéil ne doit jamais y avoir de quiproquo .PerleNous continuons le service, mais, on dirait qu'il y a un problème , car il se pourrait que le prince n'est pas encore arrivé . Ha ces princes, ils se comportent toujours comme le nombril du monde , on les attend à 20 h et ils sont capables de s'amener à 24 h , ils