« Léo, tu te souviens de la réaction de grand-père ? Il était rouge comme un coq à cause de la colère. » Léo a ri : « Depuis quand es-tu devenu si mauvais ? Ne me disais-tu pas d'être poli avec grand-père ? »Emma a soupiré : « Oui, tu as raison. De toute façon, il est toujours mon grand-père, le parent le plus proche. Mais ce qui s’est passé aujourd’hui est trop exaspérant. Je ne sais vraiment pas ce que j’aurais fait si je n’ai pas eu de l’aide des trente propriétaires dans la Résidence Empire. »En parlant de cela, Emma est devenue encore plus perplexe : « En fait, je ne comprends pas non plus ce qui s’est passé. Léo, je ne sais pas pourquoi les autres ont été refusés par les propriétaires, mais si je pars, ces derniers accepteront de signer. »Léo lui a répondu : « Parce que... Tu es tellement belle qu’ils sont tous captivés par ta beauté, n'est-ce pas ? »Emma a tapoté la tête de Léo : « Toi, tout ce que tu fais, c'est de dire des bêtises toute la journée pour me rendre heureuse.
Après avoir quitté la rivière, Léo a pris un taxi et est arrivé à la Clinique de Roussel, où il a vu de loin un grand tissu rouge couvrant quelque chose.Dès qu'il est entré dans la salle, Félix l’a accueilli d’un air joyeux : « Docteur Martin, enfin vous voilà ! Vous m'avez fait attendre depuis longtemps ! » Léo a souri : « Monsieur Lemaire, pourquoi vous me demandez de prendre le cadeau en personne ? »Nydia a secoué légèrement la tête : « C'est un objet très important, ce n'est pas quelque chose que les gens ordinaires peuvent simplement avoir. » Léo était confus, vu qu'ils parlaient du cadeau de manière mystérieuse, il ne devinait exactement pas quel était le cadeau.Félix l’a conduit à l'extérieur et a pointé du doigt le tissu rouge : « Ouvrez-le et montrez-le au docteur Martin ! »Les serveurs ont immédiatement arraché le tissu rouge, révélant à l'intérieur un coupé ayant une carrosserie bien profilée !C’était un cabriolet à toit ouvert Ferrari !Les portières du cabriolet s’o
Les deux parties se sont regardées et se sont figées.Le jeune homme était Joseph Roux, un pilote de course professionnel de F1.La Ferrari était le leader de la F1, mais l'équipe a décliné après qu’un accident de route ait frappé leur champion l'année précédente. Cela a permis aux autres équipes de le rattraper.En fait, l’écart de puissance entre la Lamborghini et la Ferrari était très petit, et surtout la Lamborghini a engagé un excellent pilot de course à prix astronomique, ce dernier représentant la Lamborghini a successivement remporté le championnat.Tout le monde ne s'était pas attendu à rencontrer un pilote de course de F1 de Lamborghini dans un tel endroit.Félix a dit avec dédain : « Mec, ne sois pas trop arrogant ! Une bonne voiture n’est rien du tout ! »À ce moment, une voix légèrement douce est sortie de l'intérieur de la Lamborghini : « Même si ma voiture n’est pas bien, elle est toujours meilleure que la tienne, n'est-ce pas ? »Ceci dit, un autre homme en est sorti.C
La voiture roulait à mi-chemin lorsque Joseph a aperçu la Ferrari dans son rétroviseur et n’a pu s'empêcher d'être amusé.« Ha, ha, quel chien enragé ! Comment oses-tu me rattraper ? Te prends-tu pour qui ? »Ceci dit, il a fortement appuyé son pied sur l'accélérateur et sa vitesse a grimpé en flèche, dépassant largement la Ferrari derrière lui.Après tout, c'était un pilote de course professionnel de F1, sa classe était totalement supérieure aux pilotes de course que Léo avait rencontrés auparavant. Il n’avait pratiquement aucun problème sur la voie droite, même dans les virages, il était presque parfait. En y ajoutant les superbes performances de la Lamborghini, cela lui a permis de rester en tête. Pour Léo, il n'y avait aucun moyen de le rattraper.Dans la Ferrari, Félix a secoué la tête à plusieurs reprises : « Docteur Martin, laissez tomber ! Bien que vos compétences médicales soient excellentes, lorsqu'il s'agit de techniques de conduite, l’autre partie est un pilote de course p
On était au début de septembre et la brise d’automne était très froide. Les feuilles mortes des arbres tombaient sur les larges épaules. Léo Martin se tenait sous un vieil arbre, regardant l’immeuble de bureaux du Groupe Fantaisie. Il y a de cela deux mois, François Martin, PDG du Groupe Fantaisie, avait eu une dette énorme de 1,2 milliard d’euros à cause d’une rupture de fonds, le Groupe Fantaisie avait été hypothéqué par Aron Bernard, le patron du Groupe Ciel-Bleu. «Frère, ils se sont associés pour me piéger, je ne peux plus vivre. Frère, je suis désolé, je ne veux plus vivre. » avait dit François avant de sauter du toit d’un immeuble à minuit deux mois plus tôt. Il était mort sur le coup. Un talent commercial avait ainsi succombé. Le monde des affaires était comme un champ de bataille et les personnes sensées pouvaient constater que François n’était qu’une pauvre victime. Léo a pris une profonde inspiration dans le vent froid et a incliné la tête pour regarder les étoiles q
Sur la scène, Aron a regardé Léo avec un air méprisant, il aimait vraiment la sensation d’humilier les gens en public. Cependant, Léo demeurait insensible aux moqueries. Mais Aron pensait que Léo était trop effrayé pour pouvoir parler et il le provoquait en reprenant la parole : « Désolé, je suis un homme très franc, je suis vraiment désolé si tu as été blessé dans ton amour-propre fragile. En fait, je sais très bien pourquoi tu es venu ici aujourd'hui. Tu veux simplement utiliser la mort de ton frère pour m'extorquer de l’argent, n’est-ce pas ? J'ai déjà rencontré beaucoup de types comme toi. » Aron a haussé les épaules et a repris : « Cependant, je peux te donner de l'argent, à condition que tu sois prêt à dire trois fois devant tout le monde cette phrase : François mérite de mourir. Je promets de te donner ... Humm ...cinq mille euros, ça te va ? » C’était une humiliation, une humiliation flagrante ! Des rires fusaient de toutes parts, tout le monde a ri comme une baleine, cert
Pascal a fait un petit sourire, il a compris ce que Léo voulait faire. «À propos, je viens de recevoir un avis de l’administration. Paris, Nord-Calais, Côté-Mer, ces trois régions seront fusionnées et nommées collectivement la Région de Sud-Fleuve, et vous serez le premier responsable de cette région. Bosse, c'est vraiment un poste lucratif !» a dit Pascal. «Pour l'instant, ça ne m’intéresse pas, allons-y.» a répondu Léo en regardant par la fenêtre. «Eh, où allons-nous ?» a demandé Pascal. «Puisque je suis de retour, alors je vais faire un tour à la maison » a dit Léo. Une demi-heure plus tard, la voiture s'est lentement arrêtée. Léo a dit à Pascal de partir. Puis, il est entré seul dans la Résidence Noblesse et s’est dirigé vers une villa un peu ancienne. Il a frappé à la porte à plusieurs reprises. «Qui est-ce ?» a demandé une femme d’âge moyen en ouvrant la porte. C’était Susanne Leroy, qui était aussi la belle-mère de Léo. Elle s'est d'abord figée pendant quelques secon
Lorsqu'ils sont entrés dans la salle de l'hôtel, ils ont vu des tables bien apprêtées avec des vins fins et des mets raffinés. Les gens buvaient et se parlaient joyeusement. Emma a conduit Léo à une table située au bout de la salle, souriant à un vieil homme et criant : «Grand-père !» Ce vieil homme était Mathias Dupont, l'actuel chef de la famille Dupont. Il a dit en plissant les yeux: «Emma! Pourquoi tu es venue aussi tard ? Tu m’as beaucoup fait attendre, viens vite, assieds-toi.» Mathias a repris quand il a vu Léo: «Qui est-ce ?» «C'est Léo, mon mari.» a répondu Emma en baissant la tête. Elle était un peu timide. «Oh ?» a repris Mathias en regardant Léo de haut en bas. «J'ai entendu dire que tu étais parti rejoindre l'armée, mais je ne m'attendais pas à ce que tu reviennes aujourd'hui, viens, assieds-toi.» «Merci, grand-père.» a dit Léo en s’assoyant. Paul Dupont, qui était assis de l’autre côté de la table a demandé d'une voix sinistre : «Léo, mon beau-frère, tu es pa
La voiture roulait à mi-chemin lorsque Joseph a aperçu la Ferrari dans son rétroviseur et n’a pu s'empêcher d'être amusé.« Ha, ha, quel chien enragé ! Comment oses-tu me rattraper ? Te prends-tu pour qui ? »Ceci dit, il a fortement appuyé son pied sur l'accélérateur et sa vitesse a grimpé en flèche, dépassant largement la Ferrari derrière lui.Après tout, c'était un pilote de course professionnel de F1, sa classe était totalement supérieure aux pilotes de course que Léo avait rencontrés auparavant. Il n’avait pratiquement aucun problème sur la voie droite, même dans les virages, il était presque parfait. En y ajoutant les superbes performances de la Lamborghini, cela lui a permis de rester en tête. Pour Léo, il n'y avait aucun moyen de le rattraper.Dans la Ferrari, Félix a secoué la tête à plusieurs reprises : « Docteur Martin, laissez tomber ! Bien que vos compétences médicales soient excellentes, lorsqu'il s'agit de techniques de conduite, l’autre partie est un pilote de course p
Les deux parties se sont regardées et se sont figées.Le jeune homme était Joseph Roux, un pilote de course professionnel de F1.La Ferrari était le leader de la F1, mais l'équipe a décliné après qu’un accident de route ait frappé leur champion l'année précédente. Cela a permis aux autres équipes de le rattraper.En fait, l’écart de puissance entre la Lamborghini et la Ferrari était très petit, et surtout la Lamborghini a engagé un excellent pilot de course à prix astronomique, ce dernier représentant la Lamborghini a successivement remporté le championnat.Tout le monde ne s'était pas attendu à rencontrer un pilote de course de F1 de Lamborghini dans un tel endroit.Félix a dit avec dédain : « Mec, ne sois pas trop arrogant ! Une bonne voiture n’est rien du tout ! »À ce moment, une voix légèrement douce est sortie de l'intérieur de la Lamborghini : « Même si ma voiture n’est pas bien, elle est toujours meilleure que la tienne, n'est-ce pas ? »Ceci dit, un autre homme en est sorti.C
Après avoir quitté la rivière, Léo a pris un taxi et est arrivé à la Clinique de Roussel, où il a vu de loin un grand tissu rouge couvrant quelque chose.Dès qu'il est entré dans la salle, Félix l’a accueilli d’un air joyeux : « Docteur Martin, enfin vous voilà ! Vous m'avez fait attendre depuis longtemps ! » Léo a souri : « Monsieur Lemaire, pourquoi vous me demandez de prendre le cadeau en personne ? »Nydia a secoué légèrement la tête : « C'est un objet très important, ce n'est pas quelque chose que les gens ordinaires peuvent simplement avoir. » Léo était confus, vu qu'ils parlaient du cadeau de manière mystérieuse, il ne devinait exactement pas quel était le cadeau.Félix l’a conduit à l'extérieur et a pointé du doigt le tissu rouge : « Ouvrez-le et montrez-le au docteur Martin ! »Les serveurs ont immédiatement arraché le tissu rouge, révélant à l'intérieur un coupé ayant une carrosserie bien profilée !C’était un cabriolet à toit ouvert Ferrari !Les portières du cabriolet s’o
« Léo, tu te souviens de la réaction de grand-père ? Il était rouge comme un coq à cause de la colère. » Léo a ri : « Depuis quand es-tu devenu si mauvais ? Ne me disais-tu pas d'être poli avec grand-père ? »Emma a soupiré : « Oui, tu as raison. De toute façon, il est toujours mon grand-père, le parent le plus proche. Mais ce qui s’est passé aujourd’hui est trop exaspérant. Je ne sais vraiment pas ce que j’aurais fait si je n’ai pas eu de l’aide des trente propriétaires dans la Résidence Empire. »En parlant de cela, Emma est devenue encore plus perplexe : « En fait, je ne comprends pas non plus ce qui s’est passé. Léo, je ne sais pas pourquoi les autres ont été refusés par les propriétaires, mais si je pars, ces derniers accepteront de signer. »Léo lui a répondu : « Parce que... Tu es tellement belle qu’ils sont tous captivés par ta beauté, n'est-ce pas ? »Emma a tapoté la tête de Léo : « Toi, tout ce que tu fais, c'est de dire des bêtises toute la journée pour me rendre heureuse.
Est-ce que c’était l'attitude de demander de l’aide à quelqu'un d’autre ? Léo a ricané dans son cœur et se disait : « Grand-père est encore si arrogant même s’il se trouve dans une situation difficile. »Et ensuite Léo s’est levé, a pris la main d’Emma et s'est apprêté à partir, ce qui les a surpris tous les trois. Ils avaient été punis pendant trois heures pour attendre qu’Emma se réveille, et maintenant Léo et Emma étaient sur le point de partir sans rien faire, c’était une plaisanterie ? « Léo, que fais-tu ? » a crié Mathias avec inquiétude.Léo a répondu avec indifférence : « Certaines personnes peu éduquées sont restées dans le bureau, alors l’air ici n’est pas bon, je vais sortir pour faire une promenade avec Emma. » C'était évidemment une réprimande aux trois. Mathias n’était rien pour lui.À ces mots, Mathias était tellement en colère qu’il a même voulu tuer Léo immédiatement. Mais pour l'instant, il devrait le supporter car il voulait lui demander de l'aide. Il a poussé un
« Si un ou deux propriétaires n’ont désigné qu’Emma, je croirais que ce serait possible. Mais le problème est que trente propriétaires désignent Emma en même temps, les choses ne peuvent pas être aussi simples. »« D'ailleurs, ces trente personnes, y compris des femmes et des hommes de soixante-dix ans, auraient-elles pu faire quelque chose comme ça ? Paul, Bella, vous ne direz plus encore de telles bêtises à l’avenir, vous comprenez ? » Bella et Paul ont hoché la tête.Bien que Mathias déteste Emma, c'était après tout sa propre petite-fille, s’il lui était arrivé quelque chose de honteux, ce ne serait pas seulement Emma qui serait déshonorée, mais toute la famille Dupont.C'était pourquoi Mathias ne permettait pas à Bella et aux autres de dire des bêtises comme ça. La raison pour laquelle les trois ne pouvaient pas comprendre le comportement des propriétaires était qu’ils ne savaient pas que le nœud du problème venait de Léo et non d’Emma. Comment pouvait-on penser au résultat corre
Et ensuite, Paul a exposé les travaux de la rénovation en détails d’une manière très polie et appropriée.Oscar l’écoutait attentivement à l'autre bout du fil et n’a rien dit.Paul était sûr qu’il pouvait le persuader d’accepter la modification. Parce que cette modification était une bonne chose pour les propriétaires, il ne trouvait aucune raison pour qu’Oscar puisse le refuser. Cependant, les choses ne se déroulaient pas comme prévu. Oscar lui a répondu d’un ton peu aimable : « Je ne l’accepte pas. »Paul a changé de teint, son sourire se figeant, il n’a vraiment pas compris pourquoi il lui a refusé et s’est demandé : « Pourquoi ? Il est fou ou quoi ? »Paul l’a encore voulu persuader, mais Oscar lui a répondu fermement : « Je l'ai dit, je refuse, ce n’est pas la peine de m'en reparler. De plus, je ne répondrai à aucun appel de quelqu'un d'autre dans votre famille Dupont autre que Madame Emma Dupont, vous comprenez ? »« Mais, monsieur Lefort, c'est... »Bip, bip, bip, l'interlocut
Paul s’est levé et est allé préparer la proposition de projet.D’un air satisfait, Mathias a pris une gorgée de café et a regardé Bella en souriant : « Tu es également ma petite-fille comme Emma, tu me rends toujours heureux et doux, et alors Emma, elle me met toujours en colère ! »Bella a souri : « Vous me flattez, grand-père. »« Hé, ce n’est pas la peine d’être modeste. C'est dommage que tu sois une fille, si tu étais un homme, je t'aurais déjà donné ce poste de patriarche de la famille. Hélas, Paul n'est pas aussi bon que toi dans tous les domaines, je m’inquiète pour lui. »« Grand-père, Paul est juste impulsif, mais il n'est pas mauvais. »Mathias a soupiré : « J'aimerais qu'il puisse être équilibré comme toi. »De l’autre côté.D’un air mécontent, Emma est retournée à son bureau, jetant le plan du projet par terre et le piétinant avec ses talons hauts pour évacuer sa colère. Elle n’a jamais été aussi mal à l'aise que maintenant ! Peu importe qu’elle a été brimée par les autres
Alors que les trois baignaient dans l’allégresse et que Emma était furieuse, des pas clairs venaient à leurs oreilles. Immédiatement après, l'homme que Mathias a détesté le plus est apparu, c’était bien Léo. Il se tenait à côté d’Emma avec le même calme inaltérable sur le visage, et a tendu la main pour tenir la main froide et tremblante d’Emma.« Bonjour, grand-père. »Mathias a reniflé froidement : « Bonjour. »Et ensuite, Léo a esquissé un sourire et a dit quelque chose qui a déconcerté les personnes présentes.« Grand-père, pour mon défunt frère François, il vous a fallu beaucoup de peine pour préparer deux zones de planification de cimetière, vous m’avez beaucoup aidé, merci ! »Deux zones ? D’un air perplexe, tout le monde s’est regardé. Paul a ricané : « Léo, tu as dit des bêtises ? »« N'est-ce pas ? » Léo a dit, faisant semblant d'être perplexe, « non seulement la Résidence Empire va être transformée en zone de planification du cimetière, mais un autre terrain serait spéciale