Novels by Richard

Face à face, avec l’étoile.SARAH : waouh, que vous êtes merveilleux, superbe, splendide, bien habiller vraiment, bonjour.RICHARD : salut de moi, merci beaucoup pour le compliment mais c’est pareil chérie, j’adore le vert et jaune, mais surtout la rose que tu es…Ok, dis-moi comment tu vas et comment s’est passée ta nuit et tout le reste ?SARAH : peut-être avant tout je dirai Dieu est vivant, je vais bien comme vous, vous allez bien j’espère? Pour moi c’est à moitié et laisse-moi profiter vous parler sur ma présente situation qui risquerait d'handicaper ma vie toute entière...Depuis trois ans nous sommes dans une relation compliquée avec monsieur Jordan j’ai entendu parler des témoignages contre-amour, les maux qui touchent et qui blessent le cœur mais j’ai laissé passer des soup

Mais avant de vous dire la suite de Sarah laisse – moi vous signaler sur le mot ‘’Yaya’’ cet mot est utilisé ici en République démocratique du Congo . Qui voulait dire tout simplement grand frère ou grande sœur c’est un mot souvent employé pour les lingalaphones, les personnes qui parlent le lingala , l’une des langues officielles de la R.D.Congo donc après le Français , c’est le lingala . voilà tout pour Yaya .Vers 22h du samedi, le même jour de la rencontre, sur mon lit avec un sentiment affectif sur la belle image de la soirée, je me suis dit comme j’ai fini à manger laisse moi faire l’essentiel.( Appelé la jolie fille, je l’ai appelé pour savoir si elle était bien arrivée, Jl’ai appelé , pas des réponses, appeler à plusieurs repri

Un bon samedi, très agréable je me lance dans le batail d’amour pour chercher cette fleur rose colorée dans un jardin paradisiaque.Toujours positif en ayant la chance de la croiser, habiller comme un prince d’une tenue charmante d’une couleur bleue- ciel, d’un chapeau tout rose avec une chaussure honorable, bref c’était très romantique comme au style français.Un après-midi de ce samedi je me trouve au lieu d’un grand restaurant luxueux public ou la plupart du monde était en couple deux à deux qu’ils étaient mignons ces couples adorables et séduisants, assieds chacun d’eux les uns d’une bouteille de whisky les autres avec de la bière dit on les gouts et les couleurs ne se discutent pas; donc c’était un endroit vraiment waouh.Et moi assied à coté d’eux car j’étais seul

Marianne remplit de peur, d’émoi sur les paroles d’Henri. Elle a peur même de s'asseoir au salon, toujours dans la chambre car elle évitait le fait de se voir à tout moment avec son père Henri, car les femmes tout en premier elles savent le but d’un homme à son premier pas. Et restant discrète et se dit de voir la suite car elle était déjà avertu de ce genre d’aventure.Les jours évoluent, Maria dans la profondeur de crainte des hommes…Patrick : bonjour madame, comment vas-tu ?Marianne : salut monsieur, je vais bien.Patrick : J’espère que tu as besoin d’aide, un verre par exemple ?Marianne : Une aide, un verre qui t’aurai dit ça? Loin de là monsieur.Patrick : Non, c’est pas grave. Je peux avoir l’accès pour un mot?Marianne : ok volontier, vas y.Patrick : merc

Et comme le monde nous reserve tant des surprises bonnes ou mauvaises, monsieur Okandjo très émouvant au besoin de sa nièce, sept mois plus tard il se dit d’aller regarder dans ses palmiers et voir ceux qu’il va récolter pour vendre et répondre au besoin de Maria, comme les congolais ont un adage sur la vie qui dit ‘’ Ngombe ya maskini haizalake’’ pour dire la vache d’un pauvre ne mets jamais bat et si elle donne naissance, elle met bât à un mort. Après les conseils sages de monsieur Okandjo le 25/11/2017 il est victime du massacre toujours dans la même aventure tragique qui envahissait cette ville pendant longtemps. Marianne redevient orpheline de tous ses parents. Et ne sait plus quoi faire, sa douleur s'alourdit et à moment de souffrance sont rares qui viennent t’assister. Elle avait peur de raconter ni de s'approcher aux gens car la plupart cherchait à

Dans une contrée lointaine vivait une fille excellente de beauté , la superbe dans son élégance avec une taille brésilienne à la forme de natives de la province du Kasaï occidental, qui n’arrêtait d’attirer la plupart des hommes de son entourage. Quand elle se baladait sa démarche révélait une certaine phenixité .Elle avait l’habitude de passer chaque jour vers le soir sur la route principale pour respirer de l’air et tous les hommes avec qui elle se croisait devront faire signe de vus quand elle galopait comme une jument du roi Artur et sa fiancée Gainière dans leur jardin amoureux. D’une manière je dirais qu’elle faisait frissonner le corps tout entier.Mais la pire des choses que les hommes ignoraient était qu’au dedans de cette jolie Nana se cachait une horrible souffrance du monde, d’où elle pouvait pl