sensible

J'ai aimé Luc Dupont pendant dix ans, mais il a dit : « Elle ne m'intéresse pas. » Et puis il a passé ses jours et ses nuits avec une autre femme… En tant que son amie d'enfance pendant dix ans, lui et moi n'avons pas eu de bons résultats, alors je ne voulais plus être son second choix. Plus tard, j’étais sur le point de me marier avec une autre personne. Au milieu de la nuit, Luc a frappé à ma porte en disant : « Claire Moreau… » « M. Luc, puis-je vous aider ? » Ensuite, la voix sexy d'un homme est venue de la chambre à coucher : « Chérie, où as-tu mis mes sous-vêtements ? » En entendant cela, Luc a titubé et a craché une bouchée de sang devant moi… Peu de temps après, je suis tombée sur le blog de Luc : « Il y a des gens à qui l'on manque pour la vie. Ce n'est pas parce qu'elle t’aime maintenant qu'elle t’aimera toujours. Alors, chéris-la. »

Après six ans de relation, Antoine Moreau a enlacé sa nouvelle amourouse et a demandé à se séparer de Bénédicte Dubois. Sans faire de scène, Bénédicte a pris sa valise, accepté une somme faramineuse comme indemnité de rupture et a quitté les lieux sans hésitation. Les amis de Antoine ont tous parié sur le temps que Bénédicte tiendrait cette fois-ci. Car tout Brest savait à quel point Bénédicte aimait Antoine, au point d’en perdre toute dignité et toute fierté. Ils étaient persuadés qu’elle supplierait de revenir sous trois jours. Cependant, trois jours ont passé, puis encore trois… et c'était Antoine qui ne tenait plus. Pour la première fois, il a cédé et a appelé Bénédicte : « Tu as assez fait de caprices ? Si oui, reviens à la maison… » Mais il a entendu un homme rire doucement à l’autre bout du fil : « M. Moreau, on ne peut pas faire marche arrière une fois l’arc tendu. Et il n'y a pas de médicament du regret à vendre dans ce monde. » « Passe-moi Bénédicte Dubois, je veux lui parler ! » « Désolé, ma petite amie est fatiguée. Elle vient de s’endormir. »