karna tu meri hifazat

Elle se fait pourchasser, entre par hasard dans sa cabine et devient son remède. Après une nuit torride, elle plante sans hésitation son poignard dans sa poitrine et part à l’autre bout du monde. Mais elle ne se doute pas que l’homme était devenu accro à elle et l’a poursuivie jusqu’à Grenoble. Il essaie par tous les moyens de la traîner dans la débauche avec lui. « Maxime Lenoir, qu’aimes-tu chez moi ? » « Tes yeux charmants, ton nez sculpté, tes lèvres douces, et surtout quand tu es au-dessous de moi… » « Tu envies juste mon corps, séparons-nous. » L’homme attrape la fille, l’enlace et bouche sa bouche avec la sienne. « Jamais on ne se séparera, sauf si je meurs. » Tout le monde dit que l’héritier des Lenoir est distant et austère, sans désirs sexuels. Emilie Joyce regarde l’homme, qui a l’air satisfait, avec les jambes encore tremblantes, elle ne pense qu’à quel point tous ces gens ont tort, il est en réalité un loup toujours affamé.