Semua Bab Patron Irrésistible : Prisonnière de Ton Charme: Bab 71 - Bab 80

Ces filles ont vraiment réussi à me remonter le moral. Après quelques éclats de rire et plaisanteries, nous avons décidé d'aller nous amuser dans la salle de jeux à l'étage. L'endroit ressemblait à un vrai casino, immense, avec toutes sortes de tables de cartes, roulettes et machines à sous. Il y avait tout ce qu'on pouvait imaginer. Melissa est allée échanger de l'argent contre des jetons au comptoir avant de nous en distribuer.« Allez les filles, amusons-nous ! » a-t-elle déclaré avec enthousiasme.« Oh, on va bien s'amuser! » Tess a attiré notre attention vers une table de poker au fond de la salle, entourée de femmes. « Oh, Rick va le payer cher ! » a-t-elle ajouté en voyant une femme collée de manière bien trop intime à l'épaule de Rick.« Cet imbécile de Fred, je le savais ! Espèce de traître, tu vas le regretter ! » Les yeux de Melissa étincelaient. « Ce soir, il va morfler ! » « Et cette salope accrochée à mon chéri ? Oh, il va le payer très très cher. » Virginie a plissé les

Ce week-end a été trop intense, et dès le début de cette nouvelle semaine, je me sentais déjà épuisée. Mais j'avais décidé d'essayer de pardonner à Alexandre. Les filles, elles ne voyaient pas les choses de la même manière. Selon elles, il devait souffrir un peu plus avant que je ne le reprenne, pour qu'il apprenne sa leçon et ne me blesse plus.Je suis arrivée au bureau et me suis dirigée vers mon poste de travail. L'ambiance y était déjà très animée. Même si ce travail n'avait rien à voir avec mes études, je l'appréciais bien – l'ambiance était détendue et l'équipe, géniale. J'avais tant étudié à l'université, et pourtant, aujourd'hui, mon diplôme semblait condamné à prendre la poussière. Ça me serrait un peu le cœur. Mais j'avais un fils à élever, alors pas question de perdre du temps à me plaindre.À peine avais-je allumé mon ordinateur qu'une tasse de café m'attendait sur mon bureau. J'ai levé les yeux pour voir Virginie, le visage illuminé par un grand sourire.« Cat, t'as pas ho

Point de vue d'AlexandreUne demi-heure plus tard, je suis arrivé chez Pascal, le cœur rempli de colère. Je me demandais comment j'avais pu laisser cette escroquerie dans l'entreprise atteindre un tel niveau, au point d'affecter ma relation avec la femme que j'aimais. J'étais aussi furieux d'avoir dû quitter Catherine pour cette réunion.« Désolé d'avoir bouleversé tes plans, Alexandre, mais nous ne pouvions plus attendre. Il est impératif que nous décidions vite comment agir », m'a dit Alan en me saluant.« Ce n'est rien, Alan. Je veux juste régler cette histoire une fois pour toutes, chasser ces traîtres de mon entreprise et reconquérir ma Catherine », ai-je répondu avec lassitude. « Mais qu'est-ce qui est si urgent ? » « Tu connais déjà Leda, n'est-ce pas ? » a demandé Alan.« Oui, elle travaille avec Mme Margot comme serveuse dans les étages supérieurs », ai-je dit. « Oh non, ne me dis pas que Mme Margot est aussi mêlée à ce scandale ? » « Non, Alexandre. Heureusement, tous les a

Point de vue d'AlexandreCe que Mme Margot m'a révélé m'a stupéfié, mais elle a continué son récit. Chaque nouvelle découverte m'a glacé le sang : ces événements s'étaient déroulés sous mon nez sans que je m'en aperçoive.« Vous connaissez ces détectives que vous avez engagés pour retrouver une jeune femme ? » a-t-elle demandé. J'ai hoché la tête.« Eh bien, ce qui a attiré mon attention, c'est de les voir toujours chuchoter avec Céleste après vous avoir rencontrés. Le dernier détective, je l'ai vu un jour au petit café près du bureau en compagnie de Johnson et Céleste.Le patron est un ami, j'y vais souvent. J'ai seulement entendu Johnson dire qu'il était très satisfait de ses services. Or, je vous avais entendu déclarer à Pascal que ce détective n'avait rien trouvé et que localiser cette femme était impossible. Comment pouvait-il être satisfait alors ? » Mon Dieu, Mme Margot était une vraie bombe ! Elle en savait trop, détenant presque toutes les réponses à nos énigmes. Cette conve

Après avoir quitté le magasin, les garçons nous ont emmenés au restaurant du troisième étage. L'endroit était vraiment sympa, avec une ambiance agréable.« Mon Dieu, les gars ! Je ne sais même pas comment vous remercier ! Rien qu'avec ce que vous avez acheté, j'ai atteint mon objectif mensuel. Merci infiniment ! » « Ce n'est rien, Sandie. Ces robes sont magnifiques, on les adore toutes », a répondu Melissa pour la réconforter.« À vrai dire, Sandie, c'est à nous de te remercier. Tu as rendu nos filles éblouissantes », a ajouté Pascal en souriant, son regard se posant sur Virginie.« Sandie, est-ce que tu aimes travailler dans cette boutique ? » a demandé Alexandre.« Oui, j'aime bien. Mais ce n'est pas un travail que je veux faire à long terme. C'est épuisant, tous les clients ne sont pas aussi adorables que ces filles, et les horaires avec les week-ends et les jours fériés, c'est vraiment pas l'idéal », a expliqué Sandrine.« Tu voudrais venir travailler pour moi ? » a lancé Alexandr