Semua Bab Ma Femme, Ma Secrétaire: Bab 241 - Bab 250

« Qu'est-ce qui ne va pas chez toi ? »« Tu ne me feras pas taire, Lucie. Commence à parler. »Je tire ma couette sur mon corps à nouveau, en l'ignorant. Ce gros casse-pied qu’il est, il l’arrache encore une fois. Je la lui reprends et soudain, ça devient un jeu de lui tirer la couette et moi de la lui reprendre.Il tire la couette avec moi jusqu'à ce que sa force cède et qu’il tombe sur le lit avec moi. Par dépit, Cole me frappe même la tête avec un oreiller.Mes yeux s’écarquillent sous la douleur sourde que cela provoque, mais d'un seul regard à son visage et à son sourire en coin, je vois qu’il n’est pas désolé. Ma colère refait surface et en réponse, je saisis l'oreiller suivant et le frappe en plein visage.« Oh, tu l’as bien mérité. » Il grogne.Les prochaines minutes ne sont pas un souvenir dont je suis fière. C’est d’une puérilité extrême la façon dont nous nous lançons dans une bataille d'oreillers brutale, hurlant, criant, presque prêts à nous arracher les cheveux. Tou

LE POINT DE VUE DE LUCIELes affaires de Kaïs ont peut-être échoué, mais il est clairement toujours aussi têtu et borné. Bien sûr, quand je suis venue en courant ici — en enfreignant presque toutes les règles de circulation — je ne m’attendais pas à ce qu’il se jette directement dans mes bras.Je savais avant même de venir ici que ce serait difficile de convaincre un homme comme lui, qui a connu et eu de la richesse toute sa vie, d'accepter qu'il est toujours la même personne sans elle.Je ne lui en veux pas d'attacher sa valeur à son argent, mais je ne peux m'empêcher de ressentir une légère colère en moi. Qu’il soit encore aussi ignorant après toutes ces années.Il se retourne pour me regarder et je sais que je suis en colère, ma poitrine se levant et se repliant lourdement. Mon visage est rouge de colère.« Tu n’as rien à offrir ? Qu’est-ce que ça veut dire ? » Je sais ce que veut dire ce crétin, mais c’est à moi de lui donner une nouvelle chance de se ressaisir. Ses yeux bleus

LE POINT DE VUE DE LUCIEC’est officiel, Kaïs, avec son côté sauvage et passionné, est devenu mon préféré. Mon souffle se coupe lorsqu’il s’approche et effleure mes lèvres du bout de la langue, une invitation silencieuse avant même qu’il ne m’embrasse vraiment.Je m’ouvre sans hésitation, et il approfondit aussitôt le baiser. Sa langue explore la mienne avec une intensité brûlante, et lorsque je la capture entre mes lèvres, il laisse échapper un grognement rauque qui m’arrache un frisson.Curieuse de le provoquer à nouveau, je renouvelle le geste. Cette fois, en plus de ce son délicieux, il presse son corps contre le mien, ne laissant aucun espace entre nous alors que la chaleur monte rapidement.C’est comme si nous pouvions nous fondre l’un dans l’autre. Sa poitrine et son estomac ne sont pas les seules choses dures alors que je m'accroche désespérément à lui pendant qu'il embrasse avidement la lumière du jour vivante de moi.Il est dur contre le tissu en denim de son pantalon, si

Le fait d’avoir passé toute la nuit blottie contre Kaïs me fait sursauter au réveil le lendemain matin quand je ne sens plus son corps chaud contre le mien. Pour couronner le tout, son côté du lit est déjà froid, ce qui signifie qu’il est levé depuis un moment.Je suis toujours nue sous les draps, puisque Kaïs a insisté pour qu’aucun de nous ne porte quoi que ce soit après la douche hier soir. Correction : après qu’il m’a encore prise contre le mur de la douche hier soir. Il l’a fait, puis s’est occupé de moi une fois de plus.Ensuite, il nous a séchés avec une serviette, m’a portée dans ses bras et m’a déposée sur le lit. Là, il a recouvert mon corps nu du sien, si chaud, et m’a embrassée jusqu’à ce que je m’endorme. L’expérience était si agréable que j’ai même rêvé de Kaïs.Ne pas le voir dans le lit ce matin, alors que le soleil n’a pas encore franchi les rideaux, serre un peu ma poitrine d’une pointe de panique.Je m’enveloppe dans le drap en quittant le lit.La chambre est impecca

« D’accord, ça va peut-être paraître un peu bizarre, mais je me suis dit que ce serait sympa de faire quelque chose qui ne coûte rien. Quelque chose qui nous permette d’apprendre à mieux nous connaître », dis-je en plongeant la main dans ma poche.Elle lève un sourcil, intriguée. « Je suis curieuse. »Je sors une feuille pliée avec une liste préparée plus tôt. « Je l’ai appelé… “On se découvre, version 2.0”. On se pose des questions, mais rien de prévisible ou d’ennuyeux. Juste des trucs aléatoires, et on répond honnêtement. »Elle sourit, déjà conquise. « Ça a l’air amusant. À toi de commencer. »Je baisse les yeux vers ma liste, m’éclaircissant la gorge. « Bon, question numéro 1 : Si tu pouvais voyager n’importe où dans le monde maintenant, ce serait où ? »Lucie réfléchit en sirotant son vin, puis sourit doucement. « Paris. Je sais, c’est cliché, mais j’adorerais découvrir de sublimes créations. Assister à la Fashion Week, visiter le musée de la mode, rencontrer des gens incroyables