Semua Bab Les Héritiers des Milliardaires: Bab 251 - Bab 260

J’ai éclaté de rire devant ce vieux fou.« Qu’est-ce que tu sais de la différence, toi ? »« Laisse-moi t’expliquer la différence. Ensuite, tu pourras me dire si Adrian t’aime ou s’il est amoureux de toi. Aimer quelqu’un, c’est avoir de l’affection pour lui, vouloir son bien, se soucier de lui. C’est un sentiment d’attachement. Par exemple, une mère aime ses enfants, ou tu aimes ta sœur. Tu ne veux pas qu’il leur arrive du mal. Aimer, c’est un choix que tu fais chaque jour. Mais être amoureux, c’est une toute autre histoire. Être amoureux, c’est tomber amoureux de la même personne chaque jour. C’est dans les petites choses qu’elle fait pour toi. Chaque jour, elle te prouve qu’elle t’aime encore, comme au premier regard. Elle imagine un avenir avec toi, elle veut une intimité unique, elle a ce désir de vraiment te connaître, profondément. » expliqua Andrew en me regardant.« Dis-moi, est-ce qu’Adrian t’offre des fleurs ? Est-ce qu’il te demande ce que tu veux faire de ta vie ? Est-ce qu

Avril…J’attendais mon taxi pour aller à l’aéroport quand quelqu’un a frappé à la porte. Je suis allée ouvrir… et je suis tombée sur le même homme que l’autre jour, celui de l’accident.« Je peux vous aider ? » ai-je demandé.« Mademoiselle Donnell, M. Black m’a demandé de vous conduire à l’aéroport », a-t-il dit.« Merci, mais ce ne sera pas nécessaire. J’ai déjà commandé un taxi. » ai-je décliné poliment.« Je crains que vous ne deviez annuler, mademoiselle. M. Black a insisté pour que ce soit moi qui vous accompagne. »J’ai poussé un soupir, regardant l’homme d’un certain âge qui se tenait devant moi.« Très bien. Donnez-moi juste quelques secondes. »J’ai pris mon téléphone et annulé le taxi. Non mais pour qui il se prend, à me donner des ordres comme ça ?Je suis retournée dans mon appartement, j’ai attrapé mon sac, puis je suis ressortie pour le suivre. Il m’a conduite jusqu’à un SUV noir. Il m’a ouvert la portière arrière, et je suis montée à bord. C’est là que je l’ai vu : M. B

« Ça va ? » lui ai-je demandé. Elle semblait pâle, presque comme si elle avait vu un fantôme.« Oui, ça va. »« Tu as mis un peu plus de temps, alors je suis venu vérifier. Qu'en penses-tu ? »« Ça a l'air bien. Mais ça doit coûter une fortune pour entretenir cet avion, » a-t-elle répondu.« Oui, ça coûte cher, mais bon, c'est mieux que de voler avec une compagnie commerciale. Je déteste ça parce que les gens ne me laissent pas tranquille. » C'est ça, la partie que je déteste dans la célébrité. J'étais humain comme tout le monde qui marche sur cette terre.Elle a ri. « Je suppose que ce n'est pas agréable d'être un milliardaire célèbre. »J'ai secoué la tête. « Tout sauf ça. Je n'ai pas de vie privée. Il y a toujours la presse ou quelqu'un qui me suit. »Nous avons bientôt atterri et nous sommes dirigés vers une voiture qui nous attendait pour nous emmener à l'hôtel. Mes employés ont souri dès que je suis entré dans le hall. Je les ai salués d'un signe de tête et d'un sourire.Nous som

Adrian…J'ai regardé Jason quand April est sortie précipitamment du bureau. Je voulais savoir ce qui l'avait déclenchée. « Adrian, ce ne peut pas être une coïncidence. Elle avait les mêmes gestes, le même ton qu’Ashley. Pourquoi a-t-elle paniqué en voyant cet endroit ? »« Je sais. J'ai déjà demandé à Harry de faire une vérification de ses antécédents, et j'ai aussi obtenu un échantillon de ses cheveux. Je fais un test ADN en ce moment même. La première fois que je l'ai vue, j'ai cru que j'avais perdu la tête. Je vais aller au fond de cette histoire une bonne fois pour toutes. » Je me suis promis de découvrir qui était vraiment April et ce qu'elle faisait à Lyon.« Comment vas-tu lui expliquer tout ça une fois que tu sauras qui elle est vraiment ? » a demandé Jason en allant s'asseoir.« Je ne sais pas. Je vais probablement la ramener chez moi. Je ne la laisserai plus jamais partir. »Jason a éclaté de rire. « Tu ne changeras donc jamais, hein ? Mais sérieusement, il faut qu'on découvr

April…Je suis restée allongée dans le lit, enveloppée d’un sentiment de paix. J’ai étiré les bras, sentant l’immensité du matelas sous moi. En ouvrant les yeux, j’ai été ravie de découvrir la pièce dans laquelle je me trouvais. Je me sentais comme une princesse allongée dans ce lit gigantesque. Je me suis levée et je suis allée jusqu’à la salle de bain.Je suis restée plantée devant mon reflet, à m’observer, admirative… mais la personne en face de moi était une étrangère. Je ne me reconnaissais pas. Avant même que je comprenne ce qui se passait, je me suis retrouvée au sol, tremblante.Je n’avais aucune idée de qui j’étais. Les souvenirs d’hier me sont revenus comme une tonne de briques. Je me souviens d’Adrian me disant que j’étais sa femme, sa femme morte. J’ai été choquée sur le coup, mais il était convaincu que ce n’était pas une coïncidence, que quelqu’un, quelque part, savait exactement ce qui s’était passé l’année où sa femme était décédée. Il était déterminé à découvrir la vér