Semua Bab Contrat et Mariage: Bab 81 - Bab 90

Point de vue de BellaMon travail en tant que secrétaire de Maxime était épuisant et éreintant. J’étais la seule personne à gérer tout ce qui se passait dans son bureau, en prenant en charge les tâches que Arien ne pouvait plus gérer.C’était gérable parce que le salaire était élevé, mais j’ai eu seulement deux semaines sans heures supplémentaires au cours de mon premier mois de travail pour lui.Le temps que je passais avec mon fils, que je savais avoir besoin de ma présence, diminuait de manière constante. Je me retrouvais souvent à me coucher tard et à me lever tôt à cause de ces rêves soudains et perturbants qui perturbaient mes pensées.Qui était cette « chérie » ?Au fil du temps, il semblait que l’homme dans mes rêves développait un bégaiement. Ce qui m’agaçait encore plus, c’était la manière sensuelle dont il disait « chérie ». J’avais souvent l’impression que ma féminité était remise en question, et je ne comprenais pas pourquoi.J’ai pincé le pont de mon nez, essayant de bloq

Point de vue de Maxime« Chéri. » La manière dont Bella l’avait dit était si sensuelle, exactement comme Sarina le faisait lorsqu’elle était excitée.Quand Bella avait gémi plus tôt, j’avais fait de mon mieux pour ne pas l’embrasser.Je savais que c’était mal — d’abord, nous étions au travail, et elle était mon employée. Deuxièmement, je savais qu’elle avait un mari et un enfant.Mais quand j’ai entendu ce mot, je n’ai plus pu me retenir.Sarina me manquait tellement, surtout lorsque nos regards se croisaient. C’était comme si j’étais emporté par son regard, tout comme Sarina l’avait fait avec moi.C’est à ce moment-là que j’ai fait quelque chose que je ne devais pas — j’ai capturé ses lèvres avec les miennes.J’ai senti sa surprise et la légère poussée comme si elle voulait m’arrêter. Mais cela n’a pas suffi à me faire reculer, et j’ai senti qu’elle ne voulait pas vraiment que je m’arrête non plus.Puis elle a répondu à mon baiser, tout comme Sarina le faisait. Elle a sucé mes lèvres,

Point de vue de BellaQu’y avait-il chez Maxime qui faisait que son regard m’atteignait si profondément ? Je ne comprenais pas pourquoi il me manquais chaque fois que je ne le voyais pas.Après ce qui s’était passé entre nous dans son bureau, j’ai essayé de me comporter de manière détachée en sa présence. Il semblait faire de même, bien qu’il paraisse mal à l’aise d’une manière que je ne pouvais pas vraiment définir.Je ne pouvais pas démissionner — j’avais besoin de ce travail pour mon fils, qui nécessitait des médicaments spéciaux.Pendant plusieurs jours, nous nous sommes comportés comme si nous ne nous connaissions pas.Néanmoins, j’ai remarqué qu’il semblait vouloir initier des conversations qui n’avaient rien à voir avec le travail. Il était doué pour se retenir, et je ne pouvais pas comprendre comment il y parvenait.Pendant ce temps, je luttais, incertaine qu’il ait remarqué.Il y avait des choses que je voulais lui demander, mais je ne pouvais pas me résoudre à entamer la conv

Point de vue de MaximeMes yeux se sont écarquillés à ses mots, et pendant un moment, j’ai oublié ma curiosité sur la manière dont elle était entrée.« Répète ça », ai-je exigé.« Répéter quoi, monsieur Salonga ? » a-t-elle demandé, perplexe.Ses yeux se sont agrandis et elle a couvert rapidement son visage avec ses deux mains.« Ce que je voulais d-dire… » a-t-elle balbutié.Je me suis souvenu soudain de Sarina, qui avait dit quelque chose de similaire à Las Islas lorsqu’elle m’avait montré sa manière unique de me faire plaisir.« Qu’est-ce que c’est, Bella ? » l’ai-je encouragée.« M-Mais peut-être que je voulais dire... si je pouvais essayer de vivre ici dans votre condominium parce qu’il est si grand et beau... »Elle a finalement trouvé quelque chose à dire, mais son regard glissait constamment sur moi — de ma poitrine jusqu’à l’impressionnante bosse à peine couverte par ma serviette.« Es-tu sûre que tout ce que tu veux, c’est expérimenter la vie dans mon condominium, et pas être

Point de vue de BellaMax et moi étions allongés — je veux dire, monsieur Salonga.Merde, je ne savais même plus comment l’appeler. Peut-être juste Maxime.Je ne savais même pas pourquoi j’avais dit « chéri ». Ça m’avait échappé, et maintenant je ne pouvais pas lui faire face quand il m’appelait comme ça aussi.Qu’est-ce qui se passait ? Étais-je la seule autorisée à prononcer le nom d’un autre homme alors qu’il n’était pas le mien ?Ce n’était même pas vraiment un nom, mais quand même, nous avions tous les deux nos époux.La différence, c’est que le mien était vivant, tandis que lui était encore en deuil et ne pouvait pas passer à autre chose après sa femme décédée.J’ai secoué la tête et fermé les yeux.« À quoi pensais-tu ? » a-t-il demandé soudainement.Je me suis tournée pour le regarder, croisant son regard. La manière dont il me regardait était différente — un mélange de bonheur, de confusion et d’espoir.« À rien », ai-je répondu.« Pourquoi as-tu crié comme ça ? » a-t-il deman