All Chapters of Contrat et Mariage: Chapter 61 - Chapter 70

Point de vue de Maxime :Mon bonheur n’avait pas de limites après ce qui s’était passé entre Sarina et moi.Nous avons à peine dormi, car je n’ai plus retenu mes envies. J’étais complètement fou d’elle, incapable de me contrôler lorsqu’elle se montrait aussi réceptive.Je l’ai aimée encore plus pour ce qu’elle a fait pour moi.Honnêtement, je ne m’y attendais pas, surtout après qu’elle m’a dit un jour qu’elle ne gémirait jamais.Rien que l’idée qu’elle puisse gémir ou, mieux encore, me faire une fellation... Mais maintenant, je sais qu’elle apprécie pleinement tout ce que je lui fais chaque fois que nous faisons l’amour.La posséder de toutes les façons possibles a été ma manière de lui prouver mon amour.La façon dont je lui faisais ressentir à quel point j’étais fou d’elle montrait qu’elle était la seule femme spéciale que je désirais profondément. Si les "langages de l’amour" étaient réels, c’était sûrement le mien. « Hum… »J’ai regardé ma femme endormie, blottie contre moi, sa tê

Point de vue de Maxime : « Où est-ce qu’on va, Maxime ? » m’a demandé Sarina.C’était nos deux derniers jours à Las Islas, et j’ai voulu lui présenter Martin avant notre retour à Pearlisia.Elle n’arrêtait pas de poser la question depuis un moment, mais je n’ai pas voulu lui répondre tout de suite. J’ai préféré que ce soit une surprise.Peu de gens connaissent l’existence de mon frère et moi, c’est un secret bien gardé au sein de la famille.Si ma grand-mère avait eu son mot à dire, elle aurait enterré ce secret à jamais. Elle a toujours détesté le fait que ma mère ait eu un enfant hors mariage avant d’épouser mon père, une chose qu’elle ne lui a jamais pardonnée. « Tu ne peux pas juste attendre un peu, ma chérie ? On y est presque, et toutes tes questions auront une réponse très bientôt », ai-je dit, mi-amusé, mi-agacé.Pourquoi cette femme est-elle si impatiente ? Elle est infirmière, non ? Elle doit bien avoir de la patience, surtout avec les patients difficiles ou pénibles. « Je

Point de vue de Sarina :Je fixais Maxime, qui n’osait toujours pas croiser mon regard. Nous étions de retour à l’hôtel, et il n’avait rien dit depuis que nous avions quitté la maison de Martin.Maintenant, alors que nous étions assis sur les côtés opposés du lit en nous préparant à dormir, je me demandais à quoi il pouvait bien penser.Est-ce que ce ne devrait pas être moi qui évitais son regard, après toutes les moqueries que je lui avais faites quand je pensais qu’il était aveugle ? Pourtant, j’avais aussi toutes les raisons d’être énervée contre lui pour m’avoir fait passer pour une idiote.Cette pensée m’a fait plisser les yeux tandis que je le fusillais du regard.Comme par hasard, il a levé les yeux vers moi à cet instant précis, ses yeux s’écarquillant avant de détourner rapidement le regard.Je n’ai plus pu me retenir.« Maxime ! » Ma voix a résonné, assez forte pour qu’il ne puisse pas prétendre ne pas avoir entendu.Il a sursauté, pris au dépourvu, avant de se mettre à parle

Point de vue de Maxime :Je n’avais demandé que trois mots, mais elle m’avait donné deux phrases complètes. Je ne tenais plus en place tellement le bonheur que je ressentais était immense.Elle m’aimait j’étais aimé par Sarina Sanchez-Salonga !Après avoir prononcé ces mots, elle s’était endormie paisiblement, tandis que moi, je ressemblais à un idiot, assis là à la regarder dormir.J’ai posé ma tête sur l’oreiller, me sentant comme un adolescent qui venait de croiser son coup de cœur dans les couloirs du lycée.Merde ! J’étais un homme adulte, je ne devrais pas agir comme ça. Je devrais savoir comment gérer la situation, surtout avec tout ce que je ressentais pour Sarina.J’ai pris une grande inspiration, puis je lui ai déposé un doux baiser sur le front avant de décider de dormir.Il était presque matin, et j’avais besoin de repos pour pouvoir partir plus tard et profiter de notre dernière journée ici à Las Islas avant de retourner à Pearlisia.Je voulais être en forme pour explorer

Point de vue de Maxime :« Trouvez-la ! » ai-je crié aux agents de sécurité de l’aéroport après avoir réalisé que ma femme avait disparu.Je n’ai pas pu rester en place, et je n’ai pas su quoi faire. Cela faisait déjà quatre heures que j’attendais, espérant avoir des nouvelles de Sarina.J’ai fait les cent pas près des points de contrôle de sécurité pendant qu’ils ont continué leurs recherches, interrogeant quiconque aurait pu voir ou entendre quelque chose.« Max ! » a appelé André en arrivant avec Allan. « Qu’est-ce qui se passe ? »Je me suis tourné vers lui. Je savais qu’il avait des connexions ici, à l’aéroport, et des liens avec les autorités de Las Islas.« Je ne sais pas… Elle est partie aux toilettes, et j’attendais dehors, mais elle n’est jamais ressortie », ai-je répondu, la voix tremblante.« Respire, mec, respire », a dit André en tapotant doucement mon dos.Comment aurais-je pu rester calme ? Elle seule pouvait me faire ressentir ça… Bordel !Tout allait bien entre nous.