All Chapters of Panique ! J'ai laissé mon ex à son amour, il est devenu fou: Chapter 601 - Chapter 610

Il était tout simplement impossible de se concentrer suffisamment pour réfléchir à ce que ses paroles voulaient vraiment dire.Clermont a levé légèrement la main, et Tristan s’est avancé pour relever un intrus.D’un geste nonchalant, Clermont a tapoté du bout de sa matraque électrique la caméra de surveillance devant lui, levant un peu le menton. Toute son attitude respirait l’arrogance et l’insolence pure.« Le prix à payer pour cette leçon a été élevé. Je suppose que tu as bien compris cette fois, Senno Valrin ? »…À l’autre bout de la caméra, Senno Valrin était là.Le boss de la famille Valrin, l’un des clans mafieux locaux.Au départ, il avait promis à Bauson de se débarrasser de Clermont.Mais maintenant, les choses sont devenues vraiment intéressantes.Il a fixé l’écran, regardant Clermont avec cette posture indomptable et ce regard défiant.« Je veux le rallier à moi. Un homme comme lui… S’il travaille pour moi, je pourrai écraser les autres clans et devenir le roi ici. »Ne pa

Clermont a ri.« C’est justement la condition qu’il a posée. »« Mais ce qui m’intrigue le plus, c’est comment il a réussi à faire exploser l’endroit où je retenais Janvier. »Cet endroit était abandonné, presque personne ne savait qu’il y enfermait quelqu’un.À l’époque, Bauson s’était enfui à l’étranger pour mettre la main sur l’héritage des Hugo, allant jusqu’à abandonner Estina.Il n’avait clairement pas eu le temps d’organiser ça.Mais allez savoir pourquoi, Clermont n’arrivait pas à croire que Janvier, qui vivait dans l’ombre, soit mort aussi facilement.« J’enquête encore, mais une chose est sûre : Janvier ne peut pas être en vie. L’usine chimique est complètement partie en fumée, et tous tes hommes qui gardaient les lieux sont morts. Lui, il était enfermé à l’intérieur. À moins d’être un immortel, c’est impossible qu’il s’en soit sorti. Et surtout, on a retrouvé des restes humains sur place. L’ADN a été identifié. »Clermont a mis ses doutes de côté pour l’instant et a dit :«

« Laisse tomber, je préfère ne pas savoir. »En voyant son expression, j’ai tout de suite compris. Baptiste avait forcément dit quelque chose de blessant. Lui demander de répéter, ce serait comme remuer le couteau dans la plaie.« Bois ta soupe au gingembre. »Cécile a pris le bol et a soufflé dessus avant d’en boire une gorgée. Elle m’a regardée prendre la théière avec les décoctions et a demandé :« Qu’est-ce que tu as ? »« Rien. »Je lui ai raconté ma visite à l’hôpital et ma rencontre avec le docteur.« Je n’y peux rien, je ne contrôle pas. Alors je prends des médicaments. »Cécile a tendu un doigt et m’a tapoté le front.« Je voulais aller voir ce qui se passe pour toi, et toi, tu ne veux pas. Pire, tu t’es alliée avec Clermont pour que Baptiste me brise le cœur. »Je me suis excusée :« Je voulais juste que tu sois en sécurité. Si Clermont lui-même s’est retrouvé piégé, alors toi… »« C’est bien la première fois que je vois Clermont faire des compromis. »Puis, elle a secoué la

« Clermont, regarde bien sur quel territoire tu te trouves ! Avec une arrogance pareille, tu fonces droit dans le mur ! »Clermont s’est nonchalamment frotté l’oreille.« Alors voyons voir… est-ce que tu en as seulement les moyens ? »PAH, PAH, PAH…Des applaudissements soudains ont résonné dans la pièce.Clermont n’a même pas daigné jeter un regard.Ce type… rien qu’un coup d’œil, et il en avait la nausée.« Vraiment intéressant. »Senno l’a fixé droit dans les yeux, d’un regard perçant, insistant.Si insistant que Clermont en a ressenti un malaise physique.Tristan, lui, n’avait pas besoin qu’on lui fasse un dessin.S’il était devenu le plus fidèle bras droit de Clermont, c’était parce qu’il savait lire ses expressions mieux que quiconque.Et là, il n’avait aucun doute : Clermont ne supportait pas Senno.Il était même à deux doigts de lui coller une balle entre les deux yeux.Tristan a donc immédiatement pris la parole :« Notre seule condition, c’est l’héritage des Hugo. Tu nous don

« Clermont ! »Il a immédiatement répondu :« Je suis là. »« … »J’étais à la fois en colère et bouleversée.Son visage affichait un sourire, mais des gouttes de sueur perlaient déjà sur le bout de son nez.Quand M. Richard a nettoyé sa plaie, j’ai clairement vu ses sourcils se froncer.Même s’il essayait de se contrôler, son corps réagissait instinctivement à la douleur.J’ai détourné le regard, lui tournant le dos.D’une part, parce que je ne supportais pas de voir ça.D’autre part… parce que j’étais énervée.Clermont a jeté un regard à M. Richard et lui a fait signe d’accélérer.Le professeur a terminé rapidement, puis nous a laissés seuls dans la chambre.Clermont a attrapé ma main.Je l’ai aussitôt repoussée.Il a laissé échapper un léger grognement de douleur.J’ai sursauté et me suis retournée instantanément.« Ça va ? »« Très bien. »Il m’a agrippée par la taille et m’a attirée contre lui.J’ai voulu me dégager, mais sa voix rauque m’a stoppée net.« Chloé, j’ai mal. »Je n’a