All Chapters of M. Leroy, désolé, votre femme est décédée: Chapter 51 - Chapter 60

Céleste était née belle, même si elle se taisait en pleurant, elle restait extraordinairement belle, ce qui faisait pitié aux autres.Adam l’a appelée à voix basse : « Madame, M. Louis vous attendez. »Céleste a repris alors ses esprits et a tendu la main pour toucher son visage mouillé de larmes.« Adam, je dois avoir l'air vraiment laid en ce moment, n’est-ce pas ? »Adam avait été avec Louis pendant de nombreuses années et avait vu Céleste dans sa forme vibrante. Elle ressemblait à une fleur qui se dirigeait vers le déclin avant qu'elle ne s'épanouisse complètement en seulement deux ans.« Non, Madame, vous êtes jolie sans égale. »En disant cela, Adam lui a tendu une serviette.Céleste a essuyé ses larmes et a dit : « Autrefois, ce que je détestais le plus, c’étaient les gens qui aimaient pleurer, mais maintenant, je me suis rendu compte que je suis devenue ce que je détestais le plus. Tout a changé. » Adam a croisé son regard qui recélait de la tristesse et lui a répondu comme

Céleste a été d'abord perplexe quant à la raison pour laquelle Sarah réagissait si fortement et était tombée même sur un terrain plat, mais il s’est avéré que c'était pour créer la situation actuelle.Elle savait déjà que Louis était sur le point de revenir, pas étonnant que l'enfant apparaisse ici, pas étonnant qu'elle tombe avec Charles dans ses bras, même à cet angle de chute, Charles serait certainement blessé !Afin d'atteindre son but, Sarah était si cruelle qu'elle a utilisé l'enfant comme monnaie d'échange.Au moment où elle a vu que Charles était sur le point de tomber, Céleste a attrapé Charles à temps pour qu'il s'écrase violemment sur son corps.Une partie du poids se trouvait sur le bras où elle installait la perfusion, et le médecin lui avait expliqué à maintes reprises qu'elle ne devait pas soulever de choses lourdes, et encore moins faire mal au bras.Cependant, Céleste s’en fichait après avoir vu la chute de Charles, même si ce dernier n'était pas un nouveau-né, après

Jean ne savait pas ce que Céleste avait traversé pendant ces quelques jours. Avant, elle avait manifestement un fort désir de vivre, mais maintenant, ses yeux n'avaient ni soif de vie, ni désir de mort.Elle avait l’air extrêmement calme en ce moment.« C'est à cause de Louis ? Il t'a fait mal à la main ? »Céleste a secoué la tête et a répondu : « Non. »« Alors c'est aussi à cause de lui, n'est-ce pas ? La femme talentueuse que je connais ne devrait pas être comme ça. »En regardant la neige voler par la fenêtre, Jean a soupiré et a dit :« Peut-être qu'il t'a aimée cet hiver-là, mais cet hiver, il a déjà choisi quelqu'une d'autre, tu ne devrais pas t'attarder sur le passé. »Aux yeux des badauds, Céleste était aveuglée par l'amour et s'est perdue. Cependant, personne ne connaissait la rancune entre elle et Louis.Céleste savait au fond de lui que Louis ne l’aimait plus. Même s'il abandonnait sa vengeance, la mort de Clément le plongerait dans la douleur pour toujours.Maintenant qu

Louis n’a pas révélé son mensonge maladroit, il s’est placé devant la table à manger et a dit : « Lave-toi les mains et viens manger. »La lumière tombait sur son corps. Sans costume formel, le cachemire duveteux lui apportait une touche de chaleur, même son visage avait l’air moins froid. Louis portait encore le tablier que Céleste avait acheté il y avait trois ans.Céleste a souri en courant vers lui et a vu une table pleine de plats épicés qu’elle aimait auparavant.Si Louis faisait attention aux repas que Sophie préparait ces jours-ci, il aurait dû savoir que ses goûts avaient changé. Il s’avérait qu’il ne faisait plus autant attention à elle qu'avant.Même s’ils faisaient de leur mieux pour déguiser leur vie dans le passé, leur relation n’était plus ce qu'elle était. Beaucoup de choses se sont terminées en silence, comme l’amour.Le silence et l'éloignement de Louis étaient les preuves les plus évidentes. Bien que Céleste ne puisse plus manger les plats épicés et gras, elle av

Chapitre 41Céleste a posé la corbeille à fleurs et a expliqué : « Je suis son amie, je la vois et je vais partir. »« Ce n'est pas nécessaire, l'inconnu va l'irriter, mademoiselle Durand, partez s'il vous plaît. »Carmen a mis un oreiller dans les bras de Céleste et a dit, l'air attristé à en mouri