All Chapters of Au revoir, ma vie antérieure misérable !: Chapter 511 - Chapter 520

Tous trois ont simultanément dirigé leur regard vers Julie. Julie a répondu : « Oui, il est parti pour l’étranger. » Béatrice a demandé : « Alors quand revient-il ? » Elle s’est souvenue que lorsque Gabriel avait joué au basketball la dernière fois, il lui avait arraché un jus d’orange et dit qu’il lui en achèterait un nouveau plus tard, mais jusqu’à présent, il ne l’a pas fait.« Il reviendra peut-être quand sa mère se sera rétablie », a répondu Julie. Bastien a haussé des épaules et a dit : « Après son départ, beaucoup de filles ont commencé à avoir le béguin pour Cédric, à cause de ça, il se présente peu dans la classe pour éviter les filles. » Après une demi-heure de promenade, il était un peu plus de huit heures. Le téléphone portable de Julie dans son sac a sonné.En l’entendant, les autres qui étaient en train de bavarder étaient silencieux.En voyant l’appelant, Julie a décroché le téléphone et a répondu : « Oui, j’ai fini, tu pourras me prendre à la porte de l’écol

« Victor, arrête-la. »Après avoir entendu l’ordre venant de l’interphone, Victor a choisi de ne pas l’écouter et de ne rien faire.Julie a continué à persuader Enzo : « Je suis plus précieuse qu’elle, et je suis la fille de François Dubois. Laissez-la partir, s’il vous plaît. »« C’est vous ! Vous êtes de connivence avec eux ! », a répondu Enzo en la regardant, il a soudainement poussé un rire horrible : « J’ai vraiment de la chance ! Bien ! Venez à moi ! Ne jouez pas de tours avec moi, sinon, je la tuerai. »« Non...Julie, ne fais pas ça ! », s’est écriée Béatrice.Julie l’a consolée et a répondu : « Ne t’en fais pas, Béatrice, je ne te laisserai pas être blessée, crois-moi ! » Furieux, Roland a crié par l’interphone : « Victor ! »Tous les regards se posaient sur Julie. Sans se presser, Victor a répondu : « Monsieur, si elle meurt, vous pourrez faire ce que vous voulez, personne ne pourra vous menacer de nouveau avec elle. »Roland a dit : « Fais ce que je t’ai demandé ! Sinon, t

À ces mots, Chrétien a souri et a hoché la tête : « D’accord, quoi que tu fasses, je te soutiendrai toujours...ma future madame Verne ! » Ne sachant pas combien de temps s’est écoulé, ils ont bavardé de beaucoup de choses. Par exemple, qu’est-ce qu’ils vont manger demain matin ? Après l’obtention du diplôme de Julie, où voyageront-ils ? Quelles sont les attentes concernant leur avenir ? Etc. Lorsque Chrétien a baissé la tête et l’a regardée, il a découvert qu’elle s’était déjà endormie, mais elle fronçait encore les sourcils dans son sommeil et semblait ne pas bien dormir. Chrétien a écarté ses longs cheveux qui avaient couvert son visage, et lui a fait un bisou, puis il l’a horizontalement portée dans ses bras, est monté à l’étage, et est retourné dans la chambre. Depuis ces jours, ils partageaient la même chambre et dormaient dans un même lit, mais ils n’ont pas encore fait l’amour. Pour l’instant, il s’est contenté de la serrer dans ses bras. Il l’avait attendue si longtemps,

Julie n’a pu s’empêcher de se demander : « C’est vraiment la vérité ? Mais pourquoi Roland voudrait-il le tuer ? Pour aider la police ? Ce n’est pas logique. Roland semblait haïr l’homme à mort, sinon, il n’aurait pas demandé à Victor d’emmener une bande de personnes pour l’arrêter. »Avant de venir à l’hôpital, Julie s’était rendue dans un magasin de fleurs et avait acheté un bouquet de tournesols, qui était le dernier bouquet du magasin. Lorsqu’elle est arrivée dans la chambre de Béatrice, elle a vu que la famille de Béatrice était là, ainsi que Cédric et Bastien. Béatrice était en train de manger une pomme, une pêche dans l’autre main.En voyant qu’elle avait un si bon appétit, Julie se sentait soulagée, mais elle était encore un peu coupable, parce que sans elle, Béatrice n’aurait pas été hospitalisée. Dès que Béatrice a vu Julie, elle s’est épanouie comme une fleur : « Julie ! »Chrétien n’aimait pas les endroits bondés, il attendait donc dehors avec Yves.Julie est entrée

« Ne bouge pas », a répondu Roland en lui saisissant la main, puis il a pris le téléphone portable tendu et a dit : « Bonjour, papa. »Tout en parlant, il l’a repoussée et s’est levé, se dirigeant vers le couloir.Même s’il parlait d’une voix basse à François, Jade a vaguement entendu un peu ce qu’il avait dit au téléphone, au moment où la porte a été fermée, elle a entendu un nom Lana. François a dit : « Aller aux États-Unis pour se former au management te sera très favorable, c’est vraiment une bonne occasion de connaître plus de gens dans le monde commercial. Quant à ton poste, je m’en suis déjà occupé pour toi. »À ces mots, Roland a répondu : « C’est votre décision ou celle de la famille Leduc ? »« Lana sera la future héritière de la famille Leduc, tu es mon fils, j’attends plus de toi que de Julie, j’espère que tu pourras me comprendre. Cette affaire est alors décidée, après que Julie se fiance avec Chrétien, tu iras aux États-Unis avec Lana pendant six mois, en même temps, je