Lahat ng Kabanata ng Mon époux matrilocal fabuleux: Kabanata 231 - Kabanata 240

Pour dire vrai, M. Royer ne voulait pas confier la comptabilité de la société à Christina parce qu’elle aurait une position inébranlable dans la famille Royer, au point de menacer celle de Jacques !Toutefois, il n’avait pas le choix pour le moment car la famille Royer serait sur le point de faire faillite si Christina ne prenait pas l’ initiative de tout régler.« Papi, ne te fie pas à elle ! Comment elle pourrait résoudre un problème aussi grave ! La Société Boucher nous a même envoyé une lettre de l’avocat ! Je crains que cette femme soit complice de la Société Boucher depuis longtemps. Elle tente d’arracher le pouvoir à la famille Royer ! »Jacques avait l’air angoissé maintenant. Il avait vivement désiré rejeter la responsabilité sur Christina. Mais il n’avait beaucoup de peur que M. Royer accepte la condition proposée par Christina.Une fois que Christina aurait la main sur la comptabilité, Jacques aurait des difficultés à revenir au pouvoir dans la famille Royer. Même son statut

Après un long silence, Christina a respiré à fond : « Madame Masson, je comprends ce que vous dites. Mais croyez-moi, s’il vous plaît, la famille Royer ne l’a pas fait exprès car le projet de centre commercial est important pour nous. »Natalie n’a pas parlé pendant quelques instants, puis elle a adressé un sourire, disant : « Si c’était une autre personne qui me le demandait, je l’aurais fait renvoyer par les gardiens. »« Cependant, monsieur le président m’a dit avant que je ne vous voie, que le Souvenir de Mortefontaine lui plaisait beaucoup. Par suite de quoi, il vous accorde cette faveur encore une fois. Il espère que la famille Royer tire une leçon de cette affaire et qu’il n’aura pas d’incident à l’avenir. »« Si cela arrivait encore, le président ne vous donnerait pas de nouvelle chance ! » C’était tout ?Le président m’a accordé la grâce ?Louis n’avait fait qu’en parler de manière distraite. Christina, bien qu’elle le croie, n’était pas convaincue. Néanmoins, la Société Bouc

M. Royer a a esquissé un léger sourire . Au lieu de lancer un regard sur Jacques, il a repris : « Christy est un talent magnifique de notre famille. Elle est déjà très occupée par le poste de directrice du projet de centre commercial et celui de directrice financière ! Tenant compte de son fardeau, j’ai décidé de lui chercher un assistant. »« Jacques, j’ai bien réfléchi et tu es le plus qualifié pour ce poste. Tu seras le vice-président de la famille Royer dès aujourd’hui. Il faut que tu secondes Christy à toute force et que tu travailles pour la famille Royer, compris ? »Sur ces mots, tout le monde sur place se regardait, pétrifié. Personne n’avait imaginé que M. Royer aurait promu Jacques au poste de vice-président en ce moment crucial.Il était à noter que Jacques, au lieu d’accomplir des mérites, avait provoqué pas mal d’ennuis à la famille Royer récemment. La famille manquait de faire faillite à cause de lui à maintes reprises ? Et il serait le vice-président de la Société Royer

Après tout, il n’était qu’un étranger à la famille Royer. Il pouvait seulement faire quelques remarques au moment crucial. Mais, en effet, peu de personnes arrivaient à changer l’idée de M. Royer, après qu’il prenne une décision.D’ailleurs, selon M. Royer, Christina ne ferait probablement pas de bêtise.Elle dépendait, elle aussi, de la famille Royer. Elle ne vivrait pas de jours heureux si la famille Royer était ruinée.M. Royer a respiré à fond en secouant la tête. Puis il a déclaré : « Au fait, ce qui m’inquiète le plus, c’est que Christina exerce de plus en plus d’influences... C’est une fille, en tout cas, c’est-à-dire une perdante d’argent. Au cas où elle serait le président directement, en accomplissant de grands mérites, notre famille serait la famille Royer ou la famille Boucher ! »Comment by Service communication: Comprends pasDéjà expliqué, M. Royer sousestime les filles.Comment by Service communication: Comprends pasChristina n’est pas tout à fait de la famille Royer,

« C’est offert par ton cousin. » a dit Louis avec désinvolture.« Vincent ? Impossible ! Cette voiture coûte au moins deux millions ! Comment pourrait-il te l’offrir ? » a rétorqué Virginie avec mépris. Ce Louis aimait trop se vanter. Il avait loué une voiture quelque part et disait qu’elle lui était offerte par autrui ? Misérable !C’était normal d’aller à la soirée des anciens copains d’université dans une voiture de luxe louée. Mais ce gars ne comprenait pas qu’il fallait trouver une excuse raisonnable. Comme il s’habillait mal, personne ne le croirait même s’il disait que cette voiture était à lui.Louis s’ennuyait à s’expliquer en conduisant la voiture. Il avait dit la vérité, mais personne ne le croyait.La Porsche roulait à toute vitesse vers une villa thermale en banlieue.Cette villa thermale jouissait d’un grand renom dans la ville de N. On déclarait que sa source thermale avait l’effet de lutter contre la fatigue et de révéler la beauté. Un nombre considérable de personnes y