All Chapters of Mon époux matrilocal fabuleux: Chapter 111 - Chapter 120

« Max, non, non, Frère Max... » August ne s’est pas résigné : « Tu ne te rappelles pas ce que tu m’as dit dans l’après-midi ? Tu vas m’abriter ! Tu m’as promis en personne. »Max a tressailli. Il a injurié : « Je t’abrite la merde ! Frappez-le ! Vous serez renvoyés s’il se tient encore debout aujourd’hui. »Les gardiens qui s’étaient rués, restaient tous bouche bée. Le spectacle était trop compliqué qu’ils n’arrivaient pas à comprendre.Max faisait plus loin en lorgnant Natalie avec respect. Le regard glacial de cette dernière l’a fait trembler. Il a repris en grinçant les dents : « Merde ! Chien ! T’es aveugle ? Tu ne connais pas cette demoiselle ? Elle est mon supérieur immédiat ! Tu m’emmerdes en me la faisant embêter ! »Quoi ?Les badauds étaient tous ahuris. Même August oubliait de crier. Il a ouvert la bouche, en observant Natalie avec effarement. L’homme tel que Max était déjà puissant comme un dieu. Cette femme était son supérieur immédiat, alors elle devrait... ?!Et je l’a

Derrière lui se tenait Natalie, d’un air nerveux. Une fille aussi charmante qu’elle ne manquait pas d’attirer beaucoup d’attention, en suivant Louis.« Monsieur le président, je n’ai pas bien instruit les hommes comme il faut. Je vais certainement rectifier l’équipe sous ma direction dans l’avenir. » Natalie, en voyant que Louis ne faisait que jouer avec des portables, s’est mise à parler derrière lui en s’inclinant. « Vraiment ? » A dit Louis distraitement : « Ce n’est pas la première fois. »Natalie, par inquiétude, était sur le point de verser des larmes. Elle a dit : « Monsieur le président, pardonnez-moi cette fois-ci, s’il vous plaît. Vous m’avez attribué des bienfaits comme ceux de mes parents auxquels je dois ma vie. Je me voue corps et âme à vous ! Que vous me redonniez une chance ! »Louis a dit tranquillement : « Au fait, je ne vous accuse pas. Vous avez travaillé pour la Société Boucher avec assiduité pendant des années. Vous m’avez construit la base de développement avec

Lombard était aussi surpris.Voilà tout ? Que voulait dire « Les Nébuleuses ont quand même un peu de bon sens » ?Par la suite, elle ne devrait pas accepter la carte de visite et l’inviter chaleureusement à prendre un verre à quelque part ? Enfin, tout viendrait à point à qui savait attendre ?Au monde des adultes, l’échange était si simple et direct.Mais qu’est-ce que cette demoiselle voulait ? Elle me dédaignait ? Et c’était en raison de l’homme pauvre et misérable à côté d’elle ?Finalement, Lombard a posé ses yeux sur Louis avec attention. Il a adressé un sourire dans une seconde. « Mademoiselle, vous n’osez pas accepter mon invitation à cause du monsieur à côté de vous ? Soyez raisonnable ! Ça se rapporte à votre carrière. On n’aurait qu’une seule chance pour toute la vie. Il n'y aurait pas de médicament du regret à vendre dans ce monde. »Natalie était en train de montrer à Louis les fonctions de ce modèle. Les balivernes interminables de Lombard l’ennuyaient. Elle ne s’est pas

« Mademoiselle, je vois bien que vous êtes passionnée par ce portable. Permettez-moi de vous en payer ? » Lombard profitait de cette occasion en s’avançant. Il a sorti sa propre carte bancaire, disant « par carte », de sorte que Natalie n’ait pas le temps de le refuser.« Misérable, vous savez ce que c’est la carte d’argent ? Je vous propose d’être plus professionnel si vous continuez à vous vanter. On vous croirait davantage si vous sortissiez une carte d’argent. La carte d’or noir ? Peuf ! » Lombard abaissait ses regards sur Louis, en triomphant.« Wow ! C’est la carte d’argent. À ce qu'on dit, il faut plus d’un million de dépôt pour en posséder une ! »« C’est Monsieur Girard qui est le vrai fortuné ! Et discret ! »« C’est le jour et la nuit ! »« ... »Louis était sur le point de s’évanouir par fureur. Il avait vraisemblablement des centaines de milliards d’euros dans la carte. Pourtant, il était méprisé par un type dont la richesse n’atteignait que des millions ! Tout ça c’était

Il n’osait pas bouger. Bien que Natalie soit d’un caractère généreux, elle n’était jamais tombée amoureuse, selon les connaissances de Louis.Je lui avais fait ça ! Si l’esprit lui est revenu plus tard, il ne serait pas étonnant qu’elle m’abatte d’un couteau...En ce moment, Natalie s’est mise à parler en balbutiant : « Mon...monsieur le président, vous m’avez assez embrassée ? »« Hélas ! » Louis a relâché ses bras à la hâte. Il n’avait pas remarqué qu’il venait d’enlacer Natalie de ses bras dans l’inconscience.Louis avait la mine empruntée. Il n’a pas d’autre choix mais de lâcher Natalie. Celle-ci s’est levée rapidement, encore d’un air timide.Il fallait dire que c’était trop déconcertant.Natalie est devenue plus timide, disant : « J’ai entendu parler que vous mariez madame Boucher depuis trois ans... »Louis a gardé le silence pour un instant, puis il a dit : « Bon, ne parlez plus de ce sujet. Je vous emprunte la chambre d’amis pour cette nuit. Demain, vous m’aidez à arranger la