All Chapters of Je suis un milliardaire : Chapter 81 - Chapter 90

« Daniel, comment se fait-il que vous vous connaissiez ? Tu n’avais pas besoin d’apporter autant de gâteaux. Assieds-toi vite ! »La mère de Eva s'appelait Claire Blanc. Elle était le vice-président de la société qui avait beaucoup d’expérience dans les relations sociales. Elle savait bien la puissance de la famille Eber, bien qu’il y ait cette rumeur qui circulait que Daniel soit une mauvaise personne et qu'il ait fait quelque chose de méchant il y a quelques jours. De tout évidence, il était encore très jeune, c’était l'âge auquel on pouvait se permettre de faire des erreurs. De plus, la famille de Daniel contrôlait presque tous les magasins de la rue commerciale de Savoy, donc leur puissance est montée rapidement. Si cette fois, sa société pouvait obtenir le soutien fort de la famille Eber, alors la crise actuelle ne serait-elle pas levée ? Mais ayant entendu les paroles de Claire, Daniel a jeté un regard froid à Charley : « Je le connais ! Bien sûr que je connais cette personne

« Charley, viens ici ! »Lorsque Charley est arrivé en bas du dortoir de Léa, il y avait effectivement pas mal de gens rassemblés. Il y avait des garçons et des filles aussi des officiers de police, même Juliette et le moniteur de Adrien étaient tous là. On peut dire que c'était très vivant. Dans la foule, Louis a fait signe de main à Charley. Charley s'est approché. C'est seulement à ce moment qu'il a vu les silhouettes de Léa et Adrien. On aurait dit que les deux s'étaient battus, Léa avait des marques de gifles sur le visage et ses cheveux étaient en désordre. Elle était en train de le gronder en pleurant. Quant à Adrien, il était détenu par la police et était menotté. Il était si effrayé que son visage était pâle. L'un des officiers de police a discuté avec les deux moniteurs pour savoir ce qui se passait. « Qu'est-ce qui se passe ? », a demandé Charley, étonné.« Tu ne le sais pas ? Putain de merde, Charley ne t’es-tu pas toujours demandé pourquoi cet Adrien est devenu si

Aux yeux de ce jeune monsieur Marchand, l'immense rue commerciale n'était rien ! Alors, cette famille Marchand, à quel point était-elle puissante ? Viviane et d'autres filles présentes étaient sur le point de devenir obsédées. Celle qui deviendra la petite amie de ce jeune maître Marchand, ce ne serait-ce pas génial. « Mais Daniel, tu es sérieux ? Tu n’as pas exagéré ? La famille Marchand à ces mots doit être vraiment très très puissante ! »« Si c'est une grande famille, on devrait tous pouvoir la voir sur Internet ! » Pour être honnête, certaines des filles n'y croyaient pas non plus. Daniel a souri, « Ceux que tout le monde connaît ne sont pas les plus puissants ! Vous pouvez y penser, ces grands groupes qui sont très populaires sur Internet maintenant ont certainement des soutiens des groupes plus forts et plus puissants. Donc, derrière chaque grand groupe, il y a un consortium qui les soutiennent. Et ce soi-disant consortium, c'est ce que j'appelle la grande famille dont on n'

Charley a été très surpris lorsqu'il a vu que Léa travaillait comme serveuse dans ce restaurant de luxe. Pas étonnant qu'elle ait disparu ces derniers jours. Donc c’était parce qu’elle avait trouvé un emploi ici. Mais plus que ça, il était heureux pour elle. Comment dire, bien qu'elle avait maintenant une attitude hostile envers lui, cependant après cet incident, elle n'est pas tombé ou égarée, au contraire, elle a trouvé un travail décent. Avoir un bon emploi à temps partiel pour gagner de l'argent, C’était pas mal.Comparé à d'autres, il préférerait sa situation actuelle.« Charley, pourquoi es-tu là ? Ce restaurant n’accueille que les clients riches ou possédant un haut statut ? C’est pas un restaurant ordinaire ! Sors ! », Léa a dit d'une voix froide. « Léa, connais-tu cette personne ? »Les deux ou trois serveuses, camardes de Léa, qui avaient le même âge que Charley, sont venues à l'unisson. De toute évidence, elles étaient dans la même situation qu'elle : En troisième année

« Tu es malade ou quoi ? Tu as dit que toute la rue commerciale Savoy t’appartient ? Quelle blague ? Tu es si éhonté. »Les filles considéraient le jeune homme devant elles comme un imbécile. Yves, il a éclaté de rire. On pouvait utiliser « se tordre de rire » pour le décrire. La rue commerciale Savoy, située au centre-ville, c’était le secteur le plus cher et le plus prospère de Savoy. Comment ce Charley osait dire que cette rue commerciale lui appartenait ? Charley a épuisé un sourire amer. Et juste à ce moment-là, son téléphone portable a sonné. Il a jeté un coup d’œil sur l’écran, c'était Pascal qui l’appelait. « Monsieur le jeune maître Marchand, vous êtes arrivé ? » « Oui, Pascal, je suis arrivé. Et maintenant, je suis dans le hall ! », Charley a dit sans beaucoup d’émotions. « Bien ! Bien ! Je vais aller vous accueillir immédiatement, avec Monsieur le directeur Barnard, et Monsieur le directeur Maurice du Bureau de l'éducation. Dès qu'ils ont appris que vous alliez invest